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2004-04-26

Conférence - débat : "Où en sont les mouvements antiguerre aujourd’hui ?"

Un an après l’invasion de l’Irak, ceux qui se présentaient comme les libérateurs de la population irakienne ne peuvent plus cacher ce qu’ils sont : des ennemis. En Irak, du nord au sud, l’ensemble du pays se soulève actuellement contre l’occupation.

Le 20 mars, un an après le début de la guerre, 3 millions de personnes ont manifesté dans plus de 50 pays pour exiger le retrait des troupes : 1 million à Rome, 100 000 à New York, 50 000 à San Francisco et dans plus de 200 villes américaines, 200 000 à Barcelone, 100 000 à Londres, 30 000 à Tokyo, 10 000 à Paris, 2 000 au Caire...

"Où en sont les mouvements antiguerre aujourd’hui ?"

lundi 26 avril 19H

avec :

 Salma Yaqoob (stop the war coalition - Grande Bretagne)

 Miguel Benassayag (philosophe - No Vox)

 Gilbert Achcar (collaborateur au Monde diplomatique - ACG)

 Nahla Chahal (CCIPPP - Campagnes Civiles Internationales de Protection du Peuple Palestinien)

à Sciences Po.- 27 rue Saint-Guillaume - 75007 Paris. métro ligne 4 Saint-Germain des Prés ou ligne 10 et 12 Sèvres-Babylone. Amphi : Emile Boutmy.

 Organisée par ACG (Agir contre la guerre) et Adala (Association de Sciences Po pour l’égalité et la justice en Israël et Palestine)

5 juin

Mobilisation à Paris contre la venue de Bush, Blair, Poutine... infos sur http://agircontrelaguerre.free.fr

URL de cet article 1502
   
La face cachée de Reporters sans frontières - de la CIA aux faucons du Pentagone.
Maxime VIVAS
Des années de travail et d’investigations (menées ici et sur le continent américain) portant sur 5 ans de fonctionnement de RSF (2002 à novembre 2007) et le livre est là . Le 6 avril 2006, parce que j’avais, au détour d’une phrase, évoqué ses sources de financements US, RSF m’avait menacé dans le journal Métro : " Reporters sans frontières se réserve le droit de poursuivre Maxime Vivas en justice". Au nom de la liberté d’expression ? m’étonné-je. Quoi qu’il en soit, j’offre aujourd’hui (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

"Acheter un journaliste coute moins cher qu’une bonne call-girl, à peine deux cents dollars par mois"

un agent de la CIA en discussion avec Philip Graham, du Washington Post, au sujet de la possibilité et du prix à payer pour trouver des journalistes disposés à travailler pour la CIA. dans "Katherine The Great," par Deborah Davis (New York : Sheridan Square Press, 1991)

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