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Un dernier carré de fanatiques...

Un dernier carré de fanatiques (plus que clairsemé), se répand en vaines banalités, et du cerveaux de ces fervents passéistes, addict au cul-te du * « petit chef protecteur et volontariste » , suintent un concentré de bêtises pas piqué des hannetons.

Ces effluves ravageuses (mais, ne nous y trompons pas, elles sont un label de qualité,… du gagnant-gagnant, des bêtes de concours, les étalons de la bêtise, un concentré d’abrutis !) pourront-elles insuffler cette volonté de vaincre qui sied si bien au petit protecteur du peuple ? et seront-elles suffisantes pour pulvériser le record mondial de la bêtise, détenus par des umpistes ?

*certains médias ou courtisans affirment qu’il s’agit de « leader charismatique » ; quant à l’écrivaillon, Guaino, il bat le rappel pour son maître, déblatère à tout va et s’esbaudit : « (sarkozy) préside et qu’il ne sera que le candidat de la France, on rigole doucement… » dit l’auteur de cette phrase. Je rigole itou, mais plus bruyamment,… sarkozy,… la France ? C’est d’un vulgaire !

avertissement  : il n’est pas inutile d’apporter quelques éclaircissements, afin de dissiper touts malentendus inutiles, voire malveillants. Vous comprendrez pourquoi lorsque vous aurez pris connaissance de ce qui suit.

Près de deux millions neuf cent mille participants aux primaires (si on additionne le nombre des participants des deux tours) pour désigner LE candidat du parti socialiste (une forte secousse ébranle l’immobilisme politico-françaises, sans toucher les fondamentaux, c-à -d, l’essentiel de l’establishment).
Faut-il, comme le font certains caciques umpistes, cracher dans la soupe (électorale) et dénigrer si médiocrement l’initiative socialiste ?
Laissons ces faux-culs éructer si médiocrement leur bile,…

Démocratie participative quand tu nous tiens !

On remarquera tout de même deux choses ; la première, ces primaires ne sont pas une nouveauté (certains les situent à la fin du XIXe siècle et dans une zone géographique afférente aux moeurs politiques du "nouveau monde"), et en ce qui concerne la soi-disant "démocratie participative", là non-plus rien de nouveau, depuis l’antiquité l’invention de la Démocratie et de son pendant l’agora si chères aux (inventeurs) Grecs (les textes de Cornélius Castoriadis , sur la montée de l’insignifiance sont plus qu’éloquents). Déjà en ces temps reculés, on savait que la D émocratie ne pouvait réellement fonctionner que si elle était le fruit de décisions collectives, c-à -d, partagée par le plus grand nombre possible de citoyens, ce qui présentement, est loin d’être le cas, puisqu’à coup de bobards sémantiques (la rhétorique des embrouilleurs professionnels, tribuns et autres), (après une période « vote censitaire »), la machinerie électorale via les coquilles vides des partis institutionnels, n’avaient pas d’autre objectif que de faire élire leurs champions (le futur président-monarque), qui se contrefichaient pas mal des engagements pris lors de la campagne électorale (les promesses-programmes électorales qui n’engagent qui celles et ceux qui y croient), puisque les objectifs réels sont, (tus scrupuleusement) d’abord profiter de la légitimité de la fonction pour se servir premier (comme se fut le cas pour sarkozy, qui s’octroya d’emblée, 178% d’augmentation !) puis servir les membres du clan (des nominations à des postes clés, grassement rémunérés) et conjointement en faire profiter l’élite (ou supposée telle, de nombreux cadeaux électoraux, avantages en tous genres, des contrats mirifiques, etc.).

Leur démocratie ?

Leur démocratie, n’est plus que l’ombre d’elle même ; vaguement "représentative" mais plus sûrement, confisquée par l’élite (souvent autoproclamée), au profit du fameux 1%.

Que faire ?

Aussi, serait-il préférable que les 99%, c-à -d, l’écrasante majorité, ne se laissent plus faire, qu’elle reprenne possession de sa liberté et qu’elle prenne en main (le plus directement possible) ses propres affaires (sans intermédiaires, ni l’intervention intéressées de soi-disant "représentants", qui trop souvent ne représentent qu’eux-mêmes !).

Pour aller où ?

Si votre espoir est de créer la Démocratie réelle ("real democracia ya !"), pour vivre et progresser en paix (dans le respect de l’autre), il est toujours tant d’agir, de se rassembler (si possible) dans le calme et la bonne humeur.

Plus d’indépendance moins de contrôles étatiques.

Occuper pacifiquement tous les lieux publiques (comme c’est le cas actuellement par différents groupes ou organisations (sur le modèle des Tunisien(ne)s et des pays arabes en révolte contre leurs dictateurs, ou les ¡indignados !, ¡Los Indignados !, "real democracia ya !" espagnols, les "indignés" grecs, le réseau anglais "Occupy the Stock Exchange" , ou le réseau "15october.net" , le mouvement "Occupy Wall Street" , les réseaux "United for GlobalChange" et "Adbusters" , les "indignés" italiens, les "indignés" portugais, les "indignés" chiliens, les "indignés" israéliens, les "indignés" chinois, et tous les "indignés" du monde, rassemblés et en liaison permanente, dans au moins 951 villes à travers 82 pays), d’organiser des situations, de s’organiser en comités, en réseaux, en groupes autonomes, en communes, de créer du lien, des liens, et ne plus lâcher l’affaire. "real democracia ya !", les ¡ Indignados ! espagnol

Allez au bout du bout de la "real democracia ya !"  !

Les médias sont vachement déçus, la #révolution mondiale n’a ni leader charismatique, ni chef pour mener ses troupes à la victoire.

Why ?

C’est comme ça, chacun est libre et responsable de ses actes ou de ses pensées, pas besoin d’un chef qui dicte au peuple ses quatre volontés. Ce qui est bon ou mauvais pour lui… etc.

Les décisions se prennent collectivement (le plus grand nombre possible), plus de système pyramidale (ça fait mal à la nuque de regarder tout le temps en l’air, là haut le piédestal où le chef pose son séant, ou les talonnettes).

Un collectif horizontal pour prendre les décisions importantes, c’est mieux et plus sûr ! Pas moyen de se faire niquer par de soi-disant "représentants".

Nota bene : vous remarquerez que le nom Démocratie (réelle) porte un D majuscule, les autres appellations (participatives ou pas) ne sont qu’ersatz et pales copies à ce que devrait être la "real democracia ya !", "#démocratie réelle" , "démocratie réelle" .

Bien à vous. sergio

Après l’orgie de "démocratie participative"…

Après l’orgie de "démocratie participative" (une vieille antienne) tendance rue de Solferino (« désignation-du-gagnant-qui-mènera-les-troupes-jusqu’à -la-victoire-finale ! » - démocratiquement élu, puisqu’élu légitimement par le peuple (la caution légitimiste si chère aux fervents défenseurs de la démocratie "représentative", et pour cause… si rien ne bouge, c’est tout bénef !), mais à deux conditions, premièrement : signer un engagement (stipulant un soutien (sans faille ?) aux valeurs de la gauche) et secondement : s’acquitter d’une participation (à la "démocratie participative", légitimée par une participation populaire massive (au dernier recensement, ils étaient plus de deux millions huit cent mille votants, -),

Faut qu’ça saigne (let it bleed !),… bien fort !

Vu le succès qu’eurent les primaires socialistes, les crevards umpistes en étaient vert de rage. Ils en voulaient tout autant, sinon plus, et parlaient même de "revanche médiatique" (?) - sans que les *motifs invoqués fussent valables (étant donné que le petit chef de clan, le protecteur de la France (qui usent et abusent de formules à l’emporte pièce, dont la plupart évoquent de minables rapports de force,… en particulier celle du fort au faible. Il aime humilier ses subalternes, est-ce par sadisme, ou par vengeance ?), le volontariste (qu’il confond volontiers avec l’impuissance), s’étant refusé de céder aux sirènes de la démocratie participative, considérant qu’il ne pouvait y avoir qu’un seul candidat valable à droite comme à gauche - les autres ? d’insignifiants subalternes,… d’ailleurs, il les écrasera tous, il leur est bien supérieur en tout ! - Ca ne peut être que lui ! Il ne supporte pas que l’on puisse discuter de sa défaite, surtout en présence. Ca l’énerve, il s’emporte et ça déclenche d’irrépressibles accès de colère, qu’il ne peut (hélas pour l’entourage) réprimer. (l’impuissance que la novlangue transmute en (le) volontariste).

C’est un paranoïaque teigneux.

Le ras-le-bol (c’est un euphémisme) généralisé au sein du bastion umpiste déclencha le processus symptomatique habituel, que l’entourage maîtrise parfaitement bien. En périodes de crises paroxysmiques (l’incontinence verbeuse, ou postillonnage (que certains nomment « claviotage intempestif »), très symptomatique du déroulé opératoire) est souvent précédé d’irascibles colères. Le comportement colérique du (petit) chef de clan umpiste est dû en grande partie à la manifestation de jalousie haineuse, très en vogue (chacun(e) y va de son caca nerveux, pareil que celui du chef) au sein son équipe et tout particulièrement dans l’entourage, tel le clone cumulard (tout aussi teigneux que l’autre), Clopé.

* mis à part l’inusable argutie sur le "pluralisme" (radotage serait mieux approprié), que l’écrivaillon Guaino dépeint si bien quand il déclare : juger « un peu limite du point de vue de la déontologie journalistique » que la primaire ait « écrasé toute l’actualité » . Qu’en sait-il de la "déontologie journalistique", si ce n’est qu’à travers le prisme des médias soumis aux ordres du pouvoir ? ne parlons même pas de sa conception limitative et assez particulière de "l’actualité". Quand il aborde le phénomène des primaires (du parti socialiste) par le biais « L’esprit de nos institutions », on atteint là , le point de non retour de la bouffonnerie délirante (c’est en quelque sorte la continuité du discours de Dakar (entonné sans discernement par son maître), démesure verbeuse et relents racistes « …"l’homme africain" pas encore entré dans l’histoire… », ça ose encore se manifester, ça madame… et faire illusion ; ça déblatère sur la "déontologie journalistique" et pire encore, ça dénonce (une seconde nature sans doute ?) : « …un système de sélection « totalement incompatible avec l’esprit de nos institutions » . "L’esprit de nos institutions" repose essentiellement sur notre Constitution, la fameuse « Déclaration des droits de l’homme et du citoyen » , et l’Article premier : - Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits… etc., s’articule sur une reconnaissance universelle dont chaque membre de la famille humaine peut prétendre - de droits égaux et inaliénables - (reprise dans la « Déclaration universelle des droits de l’homme » ), y compris le droit d’entrer dans l’histoire de l’humanité (qui que se soit et ou que se soit). L’histoire universelle de la famille humaine ; l’histoire de l’autre c’est aussi notre histoire ! Est-ce assez clair môssieu Guaino ?

Quand-on rien à dire, il faut fermer sa g…… !

L’ump aurait retrouvé de la voix.

Qu’est-ce à dire ?

Rien, du vent, la cacophonie habituelle.

Mais encore ?

Qu’auraient-ils à dire de plus ?

Depuis quatre ans et demi qu’ils assènent leur sempiternel baratin ; le énième changement du petit chef protecteur et volontariste , de soi-disant succès internationaux (éviter d’y faire allusion, y compris à l’étranger, ça fait salement pouffer, tellement il est ridicule), le énième sauvetage de l’euro et de l’Europe ? (le "couple" franco-allemand, Merkel-sarkozy, aussi détesté l’un que l’autre dans leur pays respectif ; le second le serait peut-être un peu plus que l’autre ?)

Que faut-il en attendre ?

Rien !

Il paraît qu’ils vont occuper tout le champs médiatique…

Ah, bon ?

Depuis quatre ans et demi qu’ils envahissent et asservissent les médias publiques (le chef de clan, sarkozy, s’octroie le privilège d’imposer les nominations de directeurs de chaînes télés ou de radios d’Etat (quand il ne sévit pas dans les officines privées), selon son bon plaisir, c’est sans doute le sens de la pluralité qu’évoquait Guaino plus haut, lorsqu’il bavassait sur « la déontologie un peu limite » - la France est l’un des rares pays européens où ont (encore) cours de telles pratiques, pour expliquer aux Français que le programme socialiste serait LE grand malentendu (c’est vrai qu’ils nous prennent pour des manches, au point d’essayer de nous faire ingurgiter leur laborieuse logorrhée, con-textuelle et divagatoire).

Qu’ils se rassurent, tout le monde (ou presque) se fout de savoir ce que les caciques umpistes pensent du programme socialiste, et pour tranquilliser définitivement ces messieurs-dames du dernier carré de fanatiques sarkozystes, jamais il n’y a eut de malentendus entre eux et les Français, mais plutôt un faisceau de certitudes : première certitude, « il n’y a plus une once de crédibilité entre eux et * leur champion protecteur et volontariste ». Seconde certitude, le peuple français est raisonnable, au point de lui concéder encore un petit délai pour qu’il s’active promptement, car il ne pourra échapper à l’inéluctable départ des palais dorés de la république (dont certains lui confièrent imprudemment la garde), troisième certitude, avant que le peuple ne perde sa légendaire patience, il l’invite, lui et sa smala, à décamper au plus vite… (le plus tôt sera le mieux !)

*le chef de clan, protecteur et volontariste , sarkozy ; non seulement les Français ne peuvent plus l’encadrer, ce qui n’a pas l’air de le gêner outre mesure, puisqu’il envisagerait le plus sérieusement du monde de squatter le fromage, de plus, même les redevables les plus serviles commencent à quitter la galère sarkozyste qui prend eau de toute part. C’est dire si la situation est désespérée…

Ce cirque médiatique ne serait faire perdre de vue l’essentiel, la vraie vie, celle dont ni môssieu Guaino ou consorts (la cellule « Riposte ringarde » de quinze membres, tous caciques umpistes et ultra-cumulards, je vous fait grâce de leurs noms, ça n’a pas grand intérêt), ni le gagnant-qui-mènera-ses-troupes-jusqu’à -la-victoire-finale, ne semble se soucier.

La #révolution mondiale est en marche et rien ne l’arrêtera !

Les belles phrases, aussi rassurantes soient-elles, ne seraient rassurer ou résoudre les problèmes qui accablent le vaste monde.

"real democracia ya !"

A bientôt (jusqu’à la prochaine fois sans doute ?), et portez vous bien.

sergio

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Thierry Deronne, mars 2014

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