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2004-03-23

Recalculés ASSEDIC : tous aux procés !

JUSTICE POUR LES RECALCULES !

Les recalculés demandent justice !

 Mardi 23 mars dès 16 h, devant le palais de justice à Paris, procès des recalculés. M° CITE

Une première vague de 23 plaignants demande des comptes à l’Unédic. . . et au gouvernement qui a agréé une amputation des droits de 7 à 14 mois !

Croissance molle, licenciements massifs toujours en cours : quelles sont les raisons de cet acharnement pour la programmation de la misère ?

Rendre disponibles les chômeurs et précaires aux "propositions" dévaluées des emplois selon le Medef ? L’aiguillon du besoin pour flexibiliser la main d’oeuvre !

Le chômage, la précarité sont des armes dont les effets dévastateurs se font sentir, également pour les salariés encore occupés, et les fonctionnaires dont la "sécurité de l’emploi" est chaque jour entamée.

Par solidarité et par compréhension de leurs intérêts bien pesés, ne peut-on espérer une mobilisation réelle des syndicats, syndiqués et travailleurs occupés. Une grève ? Un arrêt de travail motivé ? Une minute de silence pour réveiller les consciences politiques ? Une convergence des luttes, pour cause de convergence des intérêts réels et concrets.

La grande majorité des salariés va payer cher la destruction programmée des acquis sociaux conquis de haute lutte par le mouvement ouvrier historique.

Nous le savons : rien ne fut octroyé, tout fut conquis. Il est plus que temps de défendre ensemble les "avantages" que détruit le libéralisme déchaîné et en gagner de nouveaux.

Soyons nombreux et déterminés

 le 23 devant le palais de justice. Rencontrons-nous pour organiser la riposte.

 Et, le mardi 30 mars, 18h 30 à la bourse du travail, 3 rue du château d’eau : amplification du réseau "convergence des luttes."

*** *** ***

AC ! Agir ensemble contre le Chômage ! 42, rue d’Avron, 75020 Paris -

www.ac.eu.org

ac@ras.eu.org.ns

Tel : 01 43 73 36 57 - Fax : 01 43 73 00 03 -

URL de cet article 1412
   
Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

"cette cloture a été placée pour votre protection. Ne vous en approchez pas, ne tentez pas de la traverser ou nous vous tirerons dessus".

panneau (en anglais) accroché sur une cloture de fils de fer barbelés qui entoure la ville d’Abu Hishma (Irak)

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