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2004-03-23

Cinéma : Au nom de Bolivar

Cinéma L A C L E F présente :

Au nom de Bolivar

De AGNàˆS DENIS et PACO PEà‘A

Certains disent que le Venezuela s’est réveillé, d’autres qu’il court à l’abîme. Le Président Chávez tente depuis 1998 d’établir dans ce pays riche plein de pauvres, ce que Bolivar appelait "la reine de toutes les vertus : la justice". S’il s’appuie sur un mouvement populaire important, il doit faire face aux tentatives de déstabilisation organisées par l’opposition, les médias et le patronat.

Ce film a été tourné à la fin de la grève patronale de décembre 2002 et janvier 2003. En donnant la parole à différents acteurs de ce processus atypique, il tente de cerner les enjeux de cette "seconde indépendance" qui porte les espoirs de nombreux latino-américains.

Produit par LES FILMS DU TAMARIN en collaboration avec Citizen TV et la participation du Centre National de la Cinématographie.

 Cinéma L A C L E F

21, rue La Clef 75005 Paris
métro : Censier Daubenton - Téléphone : 01 42 17 45 55

Mardi 23 mars 2004 à 19 heures

URL de cet article 1405
   
Thomas Frank. Pourquoi les pauvres votent à droite ? Marseille : Agone, 2008.
Bernard GENSANE
Rien que pour la préface de Serge Halimi (quel mec, cet Halimi !), ce livre vaut le déplacement. Le titre d’origine est " Qu’est-ce qui cloche avec le Kansas ? Comment les Conservateurs ont gagné le coeur de l’Amérique. " Ceci pour dire que nous sommes en présence d’un fort volume qui dissèque les réflexes politiques, non pas des pauvres en général, mais uniquement de ceux du Kansas, dont l’auteur est originaire. Cela dit, dans sa préface, Halimi a eu pleinement raison d’élargir (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et, en un tour de mains, ils créeront assez d’argent pour la racheter. ôtez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais, si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.

Sir Josiah Stamp,
Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941,
2ème fortune d’Angleterre.

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