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Guerre (slam/poésie)

« La mort d’un homme est une tragédie.

La mort d’un million d’hommes est une statistique. »

Les massacres s’invitent dans mon salon

Guerre tribale

Guerre physique

Guerre psychologique

Guerre civile

Même si les armées sont régulières

L’égorgement est durable

L’Humain se perd

En Confettis de vie

Confluence de sanguinolance

L’orage déchire le ciel

La destruction s’abat en rafales

Affrontement vénérable

Apologie de la violence

Quand les mitraillettes éjaculent la mort

On compte les macchabées

Et puis on s’endort

Dans un bled paumé,

D’un pays perdu

Une de ces 270 zones de conflit

Où les armes s’acharnent

Et les généraux ont la trique

De leur trip sanguinaire

Et ils pissent sur les charniers qui puent

D’inconnus réveillés dans leur lit

Par le vacarme

De la soldatesque qui leur a mis les tripes à l’air

Dans les ruelles le sang gicle

Couvre feu sur la ville

Il ne fait pas bon être humain

Quand on fuit les balles

Les missiles de la douleur

En se disloquant sur une mine antipersonnel

Demain n’est rien

Face aux escadrons de la fin

Armés par les dealers de canons

Cela ne vaudra pas un article

Guernica vaut que dalle

Tout ceci est loin,

Je bouffe mon hamburger.

Du site :
http://recueildepoemesvagabonds.wordpress.com/

URL de cet article 12710
   
« Cuba mi amor », un roman sur le Che de Kristian Marciniak (Rebelion)
Leyde E. Rodri­guez HERNANDEZ
Publié chez Publibook, une maison d’édition française, le roman de Kristian Marciniak : « Cuba mi amor » circule dans Paris ces jours-ci. Dans un message personnel adressé au chroniqueur de ce papier, l’auteur avoue que Cuba a été le pays qui lui a apporté, de toute sa vie, le plus de bonheur, les plus grandes joies et les plus belles émotions, et entre autres l’orgueil d’avoir connu et travaillé aux côtés du Che, au Ministère de l’Industrie. Le roman « Cuba mi amor » est un livre (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

La contribution la plus importante d’Obama a été d’embellir, de vendre à l’opinion publique et de prolonger les guerres, et non de les terminer. Ils l’ont bien vu pour ce que sont réellement les présidents américains : des instruments permettant de créer une marque et une image du rôle des États-Unis dans le monde qui puissent être efficacement colportées à la fois auprès de la population américaine et sur la scène internationale, et plus précisément de prétendre que les guerres barbares sans fin des États-Unis sont en réalité des projets humanitaires conçus avec bienveillance pour aider les gens - le prétexte utilisé pour justifier chaque guerre par chaque pays de l’histoire.

Glenn Greenwald

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