Merci de votre texte,ceux qui cogittent partout,dans les luttes,n’ont nulle part voix au chapitre du programme revolutionnaire mondial ,donc du debat mondial a instaurer contre toutes les institutions (..),qui bloquent en permanence l’emergence de ce debat .
La contradiction entre une gestion privée,y compris des syndicats,restreinte aux oligarchies et les outils de gestion et de communication socialisés a l’echelle mondiale comme internet, est devenue explosive :
Les liens des centrales syndicales, de la grande bourgeoisie et de l’Etat bourgeois en France
lundi 15 novembre 2010, par Robert Paris
Rosa Luxemburg : "La lutte de la classe ouvrière contre la classe capitaliste est nécessairement une lutte politique. Les intérêts de classe de la bourgeoisie ne peuvent manquer d’engendrer une volonté de réduire les syndicats à une activité mesquine et étroite dans le cadre du système existant."
"En réalité, toute la tâche de la bourgeoisie consiste à liquider les syndicats, en tant qu’organes de lutte des classes, et à les remplacer par la bureaucratie syndicale comme organe de direction de l’État bourgeois sur les ouvriers."
Léon Trotsky
dans "Les syndicats à l’époque de décadence impérialiste"
1- L’intégration des appareils des centrales dans un réseau d’organisme de collaboration de classe
Même si le syndicalisme est déjà au quotidien une école de réformisme et de collaboration (une fabrique de négociateurs, tampons entre patrons et salariés), les militants syndicalistes d’entreprise ne ressemblent en rien à l’appareil qui ne fait que participer à des organismes de cogestion de l’Etat et des entreprises. Un nombre très important de membres de l’appareil ont des fonctions de hauts fonctionnaires ou de patrons et aucun rôle militant. La mentalité va bien entendu avec...
http://www.matierevolution.fr/spip.php?article1776
Une porte de sortie pour ceux qui souhaitent en sortir, se placer en capacité d’imaginer la société future, de penser une rupture ?
...... Il suffit de donner A CHAQUE CITOYEN le pouvoir d’investir l’argent PUBLIC comme l’argent privé,dans des biens collectifs,le commun (entreprises socialisées,associations,cooperatives municipales,organismes sociaux etc),dans l’utilité publique,dans le sans but lucratif au service de l’interet general, ce droit ne doit plus etre le privilege exclusif des elus,des technocrates comme des banquiers philantropes.
Un euro par jour - à investir réellement - apprendra à chaque ENFANT où PLACER son argent PUBLIC ou/et de
poche, dans quel projet, pour quel plan de financement qu’il aura pu lire sur Internet,avec l’affichage et la notation sociale des conditions salariales et de travail de chaque entreprise ainsi finançée,etc.
A partir de 14 ans, 300 euros (ou en monnaies fondantes alternatives) d’argent PUBLIC ,par mois à INVESTIR où bon vous semble (vous et la totalité des citoyens de la Terre)
– nouvelle usine
- nouvelle chaîne de production,vehicule et velo a energie solaire,eolienne a condensation permettant de receuillir l’eau ,etc
– pepiniere de cooperatives alternatives innovantes
– fertiliser le Sahara
– dans la recherche pour le ... paludisme ou le SIDA
etc etc...
Chaque citoyen, sans dividende de bourricots, sans profit, sans retour matériel (il est surveillé par la publicité de son investissement sur le Web),devient cogestionnaire reel de l’argent PUBLIC et des BIENS COMMUNS.
Pendant ce temps, les politiciens ne TOUCHENT PLUS A LA CLÉ du coffre.
Les subventions politicardes sont finies, les comportements de LAQUAIS serviles (et MUETS sur ce qui fâche) envers de nouveaux oligarques seront dépourvus de sens (de fonctionnalité)....
Voilà le défi