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Je fais un rêve !

Messieurs les rédacteurs,

Fidèle lecteur jusque dans les années 2000, j’ai assisté à une lente mais inexorable dérive de la presse nationale et je voulais vous lancer un cri du coeur.

Je viens de lire plusieurs articles sur des sites d’informations alternatifs et ce que j’y ai lu est tout simplement alarmant,
bien entendu pas une ligne dans vos colonnes !

Alors permettez-moi de m’interroger ?
Je me pose de plus en plus de questions sur nos démocraties qui n’en ont que le nom à la réflexion .

Force est de constater qu’il y a une puissance dominante, les états-Unis
et que ce régime quasi totalitaire dans bien des domaines a une influence nocive et pernicieuse jusque dans les presses nationales.

Messieurs les journalistes je crois que l’on exerce de sérieuses pressions sur vous,
c’est la seule conclusion qui s’impose comme une évidence à tout bien y réfléchir !

Je me rappelle d’un éditorialiste ayant écrit : « nous sommes tous des américains » après les attentats du 11 septembre …
Avez-vous informé votre lectorat sur l’état réel de l’amérique ?

Alors par delà les pressions que vous subissez, je fais un rêve :
Le rêve que tous ensemble vous vous rebelliez,
nous sommes à la croisée des chemins,
le pire est devant nous
et je pense que vous feriez oeuvre de salubrité journalistique à informer vos lecteurs sur ce qui se passe réellement dans le monde …

Patrice Sanchez

URL de cet article 11292
   
Le cauchemar de Humboldt de Franz Schultheis
Bernard GENSANE
Bien qu’un peu long, ce compte-rendu rend à peine justice à la richesse de cet ouvrage indispensable à ceux qui veulent comprendre pourquoi, par exemple, la première contre-réforme imposée par Sarkozy fut celle des universités. On pourrait commencer par cette forte affirmation de 1991 de sir Douglas Hague, universitaire britannique de haut niveau, professeur de sciences économique, spécialiste du " marché de l’éducation " et, ô surprise, ancien conseiller de Madame Thatcher : (…)
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Si notre condition était véritablement heureuse, il ne faudrait pas nous divertir d’y penser.

Blaise PASCAL

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