L’affaire Woerth est une affaire difficile d’autant plus que Nicolas Sarkozy semble désormais mis en cause. Afin d’aider à la résolution de cette affaire et en respectant la présomption d’innocence, vous pouvez apporter votre concours.
La justice française s’est récemment « honorée » en faisant appel à des témoins anonymes et rémunérés favorisant ainsi la condamnation à des peines de 3 à 15 ans de réclusion criminelle dans l’affaire de Villiers-le-Bel.
Ne pouvant croire que notre pays accepterait une justice à « deux vitesses », nous pensons que, dans l’affaire de prise d’intérêt concernant nos représentants du peuple, une même procédure pourrait s’avérer fructueuse. Aussi, dans un souci citoyen, nous proposons cet appel à témoignage.
Nous sollicitons donc tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, seraient susceptibles d’apporter leur concours en émettant leur témoignage anonymement et contre forte rémunération d’adresser directement leurs informations par téléphone au 01.49.27.49. 27. N’oubliez pas de demander la rétribution qu’accorde désormais la police française dans les affaires difficiles.
Soyez nombreux à faire votre devoir républicain.
(Évidemment, ceux qui considéreraient qu’un tel principe de délation anonyme et rémunéré puisse constituer un odieux scandale dans un pays se prétendant démocratique n’ont pas tort, et peuvent même se mettre en colère. Nous ne nous laisserons pas toujours faire. )
La contribution la plus importante d’Obama a été d’embellir, de vendre à l’opinion publique et de prolonger les guerres, et non de les terminer. Ils l’ont bien vu pour ce que sont réellement les présidents américains : des instruments permettant de créer une marque et une image du rôle des États-Unis dans le monde qui puissent être efficacement colportées à la fois auprès de la population américaine et sur la scène internationale, et plus précisément de prétendre que les guerres barbares sans fin des États-Unis sont en réalité des projets humanitaires conçus avec bienveillance pour aider les gens - le prétexte utilisé pour justifier chaque guerre par chaque pays de l’histoire.
Glenn Greenwald