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La catholicie et les autres

La catholicie est un pays presque imaginaire, dont les frontières sont essentiellement spirituelle, mais l’action bien présente. La catholicie à un état, interdit à tous, dont les archives sont secrètes, et sa superficie
inversement proportionnelle à son influence. La catholicie est puissante, des siècles d’asservissement des consciences lui permette de gronder les plus pauvres qui souhaiteraient s’équiper du latex produit sur leurs
terres.
La catholicie n’aime pas les femmes épanouies, elle abjure les hommes épanouis.

Son fond de commerce s’effiloche tel le Minitel face à l’Internet.

La catholicie produit les élites occidentales, Ignace de Loyola à construit les écoles, José Maria Escriva de Balaguer en fut le surveillant général. En catholicie, c’est sans arrières pensées que l’on place au sommet un égaré des
jeunesses hitlériennes, Benoit 4x4.
En catholicie, on a aucune honte des fourvoiements de quelques disciples auprès des pires. La catholicie à tout prévue : Un passage dans la cabane en bois, et tout est pardonné.
La catholicie à inventé le concept du paradis, de l’enfer, du bien et du mal. Le postulat peut paraitre respectable, mais le résultat est discutable, d’autant plus que l’Enfer est pavé de bonnes intentions. L’Histoire de la
catholicie est dégoulinante du sang des mécréants, des rousses, des sorcières, des handicapés mentaux, et de qui refusait la bonté incarnée par le message pseudo-humaniste de la catholicie.

"Laissez venir à moi les petits enfants" - Marc 10, 13-16

En catholicie, on aime les enfants. Les élites n’ont de cesse de montrer l’exemple. Et les enfants, on les aime de très près. Tant les miliciens et les anciens nazis trouvaient refuge, tant les enfants avaient hâvre
de paix au milieu des tonssures bienveillantes.
En effet, la catholicie produit un nombre incalculable d’instituts ou l’enfant, le petit d’Adam, pouvait se sentir en sécurité. Hors des brimades et violences auxquelles ils étaient coutumié, en des lieux spirituels ou le "bien" règne, l’enfant protégé devint un jouet. A tel point, que la seule question jamais posée, probablement tabou, est : L’église catholique, dans ses fondements de bonheur Universelle, est elle la filière incontournable de la pédophilie ?
La catholicie n’a jamais admis "aimer" ses "enfants". Maugréant ça et la en invoquant la déviance de quelques
religieux puceaux et frustré.
Néanmoins, force est de constater que des professions en contact avec les enfants - dans l’échelle des
accusés - les écclésiastiques battent des records d’infamie. Si les les dignitaires US s’en tirent à coups de
Billions de dollars, il n’en reste pas moins que ces scandales n’ont de cesse médiatique depuis plus de 15
ans.
En réalité, la catholicie pratique le droit de cuissage sur le vivant depuis sa génèse, et les
enfants sont les victimes privilégiés, notamment les orphelins et les pauvres gosses paumés.
C’est envers les plus faibles que la catholicie à toujours dévoilé ses déviances.

"Laissez venir à moi les écclésiastiques" - Sierra 12/04/10

Dès lors, il est impossible de faire l’économie d’une réflexion tant simpliste que de bon sens :
Serait il possible que la catholicie soit l’abri de filière(s) pédophile(s) quasi-historique, dans la même
veine que le protectionnisme des miliciens ?
Comment ne pas pointer du doigt tout ces religieux qui ont couvert ce qu’ils dénoncent dans leur prèches ?
Comment devant l’ampleur du phénomène en leur sein, ne pas deviner des siècles de saccage de l’enfance ?
A l’heure du ménage, la catholicie par ses voies naturelles préfère crier à l’antisémitisme, sujet bien établi
dans l’échelle de l’horreur et permettant de détourner l’attention primaire par simple pirouette.
Les concernés en I$raël s’offusquent, à juste titre, l’antisémitisme ne sert qu’a légitimer les exactions
contre les palestiniens, rien à voir avec les persistantes déviances du clergé.
Vaine tentative de dédouanement, mais au final, rien à craindre :
Tandis qu’a Outreaux on a engeolé jusqu’au suicide pour la carrière d’un jeune fou, nulle perquisition
ne vint perturber les évéchés, malgré la flagrance des délits. Fourni et répété jusqu’a la nausée.
Leurs prisons sont sprirituelle et la "justice" comprend la portée de la repentance encourue.
Peines "ad vitam" à peine compréhensible par le commun, le "vulgus pecum".
Le linge sale en famille, le Gaillot avouant honteusement aider le malade, les Monseigneurs interdits sur la
question, l’argent dégoulinant d’un pays ou la catholicie ne s’est jamais offusqué que sur le billet de
banque, il fut
imprimé "en dieu nous croyons". Tant de blasphème, tant de pardon.
La "justice" de la catholicie est ainsi faite. Et les croyants s’inquiètent avec peine et à peine de leurs
progénitures.

"Laissez moi essayer ma Kalachnikov" - Une victime anonyme - 1947

Il faut bien entendu, ne pas être mesuré et consensuel face aux souffrances de leurs victimes, surtout
envers la catholicie qui dicte ses préceptes meurtriers depuis 2000 ans, c’est d’ailleurs leur calendrier
que nous subissons sans broncher.
Le clergé comme tout citoyen à droit à la prison, il serait même nécessaire d’ajouter un traitement
de faveur concernant les "champions" de la morale : Aider les pauvres et transformer les presbytères
en lieu de vie pour les plus démunis.
Ne pas exiger des gardiens et fondateurs de la morale chrétienne une irréprochable existence -selon leur
propre choix -
reviendrait à accorder à une nation, le droit d’enfermer des gens sans autre forme de procès que celui d’une
inquisition
moderne, ou cette dernière remplacerait le droit canon par le droit des canons.
Silence gêné de la catholicie sur Guantanamo.
Silence même pas gêné de la catholicie sur l’écrasant triomphe des marchands du temple.
Silence éternel sur la misère et les privilièges du catholicisme.

"Quand je nourris un pauvre, on dit que je suis un saint. Mais quand je demande pourquoi il est pauvre, on me
traite de communiste"
Dom Helder Camara - Eveque de Recif - BRESIL.

Moi, je suis juste communiste.

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Le plus troublant pour moi était la soif de meurtre témoignée par les membres de l’US Air Force. Ils déshumanisaient les personnes qu’ils abattaient et dont la vie ne semblait avoir aucune valeur. Ils les appelaient "dead bastards" et se félicitaient pour leur habilité à les tuer en masse.

Chelsea (Bradley) Manning

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