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Appel de soutien à AG45.

Depuis décembre 2001 le regroupement d’associations AG45, occupe avec l’aval de la SNCF un bâtiment de la cour du Maroc au 45-47 rue d’Aubervilliers Paris 18ème.

La SNCF ayant aujourd’hui décidé de vendre ce terrain et les bâtiments de la cour à la ville de Paris, demande aux occupants de bien vouloir quitter les lieux avant le 1er octobre 2003.

* Compte tenu du travail produit par ces associations qui ont eu à charge la réfection complète du lieu, nous demandons à la SNCF de surseoir à sa demande pendant quelques semaines, le temps que se mette en place une véritable négociation avec les nouveaux propriétaires.

* Compte tenu des missions que se sont données les associations qui occupent le bâtiment, à savoir :

- Maintenir et développer un secteur non marchand de
communication
- Organiser une transversalité entre des structures de médias
- Permettre une accessibilité de proximité aux médias et aux nouvelles technologies

* Compte tenu de la somme d’expériences acquises concernant directement plusieurs centaines de personnes, sans distinction de genre, d’âge ou d’origine, qui participent à la vie de ce lieu unique de par la diversité de ses missions.

* Compte tenu de la nécessité de trouver des liens d’expression et de débat pour le mouvement social, ainsi que pour l’ensemble des minorités habitant Paris et sa région.

Nous demandons à la Mairie de Paris De permettre le maintien de La Maison des Médias AG45 Cours du Maroc, rue d’Aubervilliers

Amicalement

Pour AG 45
Emmanuel Saunier

AG45
« LA MAISON DES MEDIAS LIBRES »
Co-errances
Les périphériques vous parlent
Radio FPP 106.3 Fm
Réseau 2000
ZALEA TV

Pour signer ce appel en ligne :
http://www.lapetition.com/sign1.cfm?numero=780

URL de cet article 994
   
Putain d’usine, de Jean Pierre Levaray.
« Tous les jours pareils. J’arrive au boulot et ça me tombe dessus, comme une vague de désespoir, comme un suicide, comme une petite mort, comme la brûlure de la balle sur la tempe. Un travail trop connu, une salle de contrôle écrasée sous les néons - et des collègues que, certains jours, on n’a pas envie de retrouver. On fait avec, mais on ne s’habitue pas. On en arrive même à souhaiter que la boîte ferme. Oui, qu’elle délocalise, qu’elle restructure, qu’elle augmente sa productivité, (…)
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Je n’ai aucune idée à quoi pourrait ressembler une information de masse et de qualité, plus ou moins objective, plus ou moins professionnelle, plus ou moins intelligente. Je n’en ai jamais connue, sinon à de très faibles doses. D’ailleurs, je pense que nous en avons tellement perdu l’habitude que nous réagirions comme un aveugle qui retrouverait soudainement la vue : notre premier réflexe serait probablement de fermer les yeux de douleur, tant cela nous paraîtrait insupportable.

Viktor Dedaj

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