Je ne stigmatisera personne même si ma position exprimée soulèvera les critiques habituelles ; Mais avant tout remarquez que je ne critique personne... Chacun est maître de soi.
Tout d’abord je dirais que le vote "démocratique" c’est comme les vaccins. Certains sont vitaux, y compris pour la survie de l’espèce humaine, d’autres sont des placébos destinés à enrichir Big Pharma, et d’autres sont mortels mais continuent à être administrés malgré leur nocivité connue pour la même raison d’enrichissement que j’ai citée ci-devant.
J’ai participé à des élections diverses durant les quelques 50 années où j’ai été en âge de voter et de comprendre à quoi ça pouvait servir. En tant que militant de parti, comme syndicaliste, aux élections professionnelles et même en tant que candidat titulaire ou suppléant.
Au début avec enthousiasme, puis souvent par discipline, ensuite en choisissant le "moins pire" ou l’"antagoniste" à mon ennemi de classe.
Avec les Elections européennes j’ai d’entrée refusé d"y voter après la trahison du Traité Européen. Qu’on ai réussi à me faire voter pour des traîtres, des faux culs, des incapables, à la rigueur personne n’était censé le savoir d’avance, et surtout tout un chacun espérait élire un ou des personnages qui pourraient peut-être agir sur l’état des lieux.
Mais avec les Européennes et une Assemblée européenne SANS aucun pouvoir réel ni même annoncé, un Conseil européen de connotation fasciste nommé et imposé par les Maîtres de la Finance mondiale, appeler à "voter" pour un représentant à cette mascarade c’est tout bonnement prendre les gens pour des cons. Qu’ils ne sont pas même si quelquefois on pourrait y penser. C’est élire un brouillard qui laisse penser aux victimes que leur avis pourrait compter alors qu’ils se font enfumer et en plus paient des "élus" pour ne rien faire même si ce derniers le désiraient d’ailleurs.
J’ai donc cessé de mettre un bulletin dans une urne après la trahison du Vote pour Maastrich quand MES élus et ceux des autres ont sans bronché entérinée une décision scélérate qui rendait le vote souverain de plus de la moitié des Français nul et non avenu.
Et que dans cette moitié d’enfumés il y en ait eut qui étaient de mes antagonistes politiques non seulement ne m’a pas "gêné" mais au contraire m’a aidé à comprendre que finalement même les suppôts des partis ennemis se faisaient tordre par leurs représentants au même titre que moi-même. Je ne me suis pas gêné d’ailleurs de le faire remarquer à ces derniers à chaque occasion rencontrée.
Tant que les règles de la "démocratie" ou du moins la "supposée telle" seront énoncées, mises en oeuvre, et appliquées par une minorité scélérate, pour son confort et sa survie aux dépends d’une majorité de plus de 99% des citoyens penser ou laisser penser qu’on pourra changer quoi que ça soit sans autres mesures de coercition de masse relève totalement de l’insanité d’esprit, et de l’incantatoire. Et relève dans le cas ou en plus on fait pression et ou on stigmatise ceux qui ne désirent pas suivre parce qu’ils sont réalistes, de l’oppression mentale.
Alors "désolé", mais aujourd’hui je suis revenu à la bonne vieille notion de la nécessité de la Dictature du Prolétariat. "Dictature qui comme chacun n’a pas l’air de le savoir est tout bonnement la VRAIE démocratie. Celle ou une MAJORITE d’humains, (La Masse), possède en propre à travers SON ETAT et ses structures, et ses votes exprimés directement, le pouvoir de décision sur tout ce qui s’oppose à sont bien-être physique et moral ainsi qu’à son avenir.
Et qu’une partie minimale de ces humains pense le le contraire et souhaite créer son bonheur aux dépends de tous les autres ça me fait le même effet que si on me disait qu’il faut prendre en compte une tumeur cancéreuse parce qu’elle possèderait une vie en propre qu’elle développerait au dépends de toute la structure vivante ou elle est née et a prospéré.
On aurait pu espérer à travers une éducation raisonnée des masses et des militants que "le vote", même biaisé par le Système capitaliste, aurait pu mener ailleurs qu’à des voies de garage sociales et politiques. Mais le fait est que ceux qui nous font aujourd’hui la promotion de la pratique électorale morbide que nous subissons sont les mêmes, du moins du côté qui devrait être celui des travailleurs, que ceux qui ont détruites les structure d’éducation politico-économiques et les partis révolutionnaires eux mêmes de l’intérieur.
D’ailleurs si au lieu de lire, (et "étudier ???"), Robert Hue et ses fariboles de "Mutants", on avait un peu plus prôné aux militants de lire et comprendre en projection Georges Orwell (1984), Issac Asimov, (Fondation), et Ray Bradbury, (Fahrenheit 451), ça aurait certainement aidé bien plus vite à la compréhension du phénomène et à comment s’y préparer. :-)