Un groupe séparatiste ouïghour qui a contribué à renverser le gouvernement de Bachar al Assad a [déclaré son intention->https://economictimes.indiatimes.com/news/international/us/after-toppling-syrias-bashar-al-assad-uyghur-fighters-warn-xi-jinping-say-next-stop-china-vow-to-free-east-turkistan/articleshow/116320211.cms?from=mdr] de retourner au Xinjiang afin de [mener des opérations militaires->https://www.telegraph.co.uk/world-news/2024/12/13/uyghur-fighters-in-syria-vow-to-come-for-china-next/] contre [la République populaire de Chine->https://www.reuters.com/article/world/uighur-is-fighters-vow-blood-will-flow-in-rivers-in-china-idUSKBN168492/]. L’annonce suggère que Washington et ses alliés se préparent à ouvrir un autre front dans une guerre globale qui a déjà plongé de grandes parties de l’Europe de l’Est et du Moyen-Orient dans le chaos. L’annonce a été la plupart du temps ignorée par les médias occidentaux, mais les analystes pensent que nous sommes peut-être entrés dans une nouvelle phase de la lutte de l’Amérique pour préserver son hégémonie décroissante, une phase dans laquelle la probabilité d’un affrontement direct entre les États-Unis et la Chine a considérablement augmenté.
« Mercredi dernier, lors d’une réunion du Deputies Committee à la Maison Blanche, les fonctionnaires du Département d’Etat, de la CIA et les chefs d’état-major ont discuté de frappes militaires limitées contre le régime (d’Assad)... Pour contourner l’opposition résolue de la Maison Blanche d’éliminer le régime d’Assad sans une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies, il a été proposé de procéder à des frappes secrètes à l’insu de l’opinion publique ». - Washington Post