Le carcan de la dette publique, les conventions de prêt et les mémorandums assassins, soutenus par le système bipolaire à deux partis, Syriza et N.D. (Nouvelle Démocratie, parti de droite), ont eu et ont toujours des conséquences particulièrement dures et inhumaines dans le domaine de la santé : les coupes drastiques dans ce secteur critique continuent.