Si vous possédez des bitcoins, rappelez-vous : vous faites partie d'une élite et d'une avant-garde ! Si vous ne les vendez pas et que vous les conservez suffisamment longtemps, vous pourriez bien recevoir une énorme récompense dans quelques années ! En effet, la valeur d’1 bitcoin pourrait monter jusqu’à 100.000 euros avant la fin de la prochaine décennie. Voyons pourquoi. Mais avant, revenons sur terre ; la plupart des gens n’ont jamais entendu parler des monnaies numériques aussi appelés crypto-monnaies et la quasi-totalité de ceux qui sont tombés sur le nom « bitcoin » ne peuvent décrire ce que c’est. Certaines institutions l’associent à de l'argent ; d'autres, prétendent que c'est un titre, une marchandise ou quelque chose qui n'existe pas mais… qui a une valeur. Cet article tentera de démontrer que le bitcoin est bien de l’argent tel qu’il est généralement représenté pour le profane.
Pour une énième fois, on me demande ce que je pense de Michel Onfray. « Facile ! » je réponds. On me regarde alors, ébaubi. Comment ? Par quel prodige serais-je capable de résoudre cette énigme ? Car c’en est une ! Cet homme divise les familles, l‘ensemble de la gauche, la petite bourgeoisie, les bobos, la mer rouge, les médias ; en bref : la so-cié-té ! C’est le Brexit de la matière grise, la pierre philosophale de la division !
Les vagues les plus meurtrières d’un tsunami ne sont jamais les premières. Le Brexit fut une surprise ; l’élection de Donald Trump est une vague inouïe qui vient de fracasser les espoirs doucereux d’une classe moyenne progressiste, socio démocrate et égoïste qui ne cache plus son mépris pour les pauvres et les laissés pour compte et pensait sans doute continuer le business as usual avec le clan Clinton.
Le 13 novembre 2015 au soir, les médecins et la brigade de Recherche et d’Intervention (BRI) arrivent au Bataclan. Ils n’en reviennent pas. Des victimes par dizaines sont couchées sur le sol, certaines souffrant de blessures par balles très hémorragiques, caractéristiques des zones de conflits ouverts que l’on voit à la télé. La France est sous le choc, atterrée par l’horreur et la surprise. Ces tueries à l’arme lourde – l’attentat de Charlie Hebdo était encore dans tous les esprits – sont nouvelles en France mais surtout, et c’est en cela que l’évènement est historique, elles touchent des gens comme vous et moi, des Français et Françaises paisibles.
Il y a une dizaine d’année, lorsque je décidai de travailler exclusivement sur Internet, mon idée sur le sujet était simple. Je venais de publier mon premier roman dans une maison d’édition parisienne qui se cherchait un « fond d’auteurs ». Je devais être le sept cent cinquante-deuxième... – la porte se referma juste derrière moi – mais puisque j’avais décidé de ne jamais dialoguer avec la bourgeoisie et ses rejetons employés dans les médias, je m’ôtai la possibilité d’en faire ma profession. Cette nouvelle certitude n’arrangeait pas mes affaires. Ceux qui croyaient en moi me disaient : « T’occupe pas du reste. Écris ! ». J’étais cependant très au fait des travaux de Pierre Bourdieu sur le capital symbolique et sa théorie des champs sociaux… Les conseils d’amis bienveillants ne changeaient rien à l’affaire ; tourner le dos à la bourgeoisie intellectuelle parisienne était un suicide littéraire, s’exclure de la vie intellectuelle de marché s’apparentait, ni plus ni moins, à montrer un atavisme de classe.
L’histoire du nucléaire de ces quarante-cinq dernières années est marquée par de belles conquêtes technologiques et par cinq accidents graves dont quatre catastrophes du type Fukushima. La fonte des réacteurs d’une centrale nucléaire – en d’autres mots : Armageddon- est une éventualité que les experts et les états sous-estiment systématiquement.
Metteur en scène légendaire jouissant d’une renommée internationale incontestée , Ken Loach a réalisé plus d’une soixantaine de films et de documentaires pour le grand et le petit écran. Lauréat de la Palme d’Or 2016 pour son film à caractère social : Moi, Daniel Blake, c’est un habitué de la croisette. En 2006, il reçoit sa première « Golden Palm » pour le film – bizarrement traduit en français – « Le vent se lève » [en anglais : “ The Wind that Shakes the Barley ”, LGS], une tragédie moderne qui retrace la vie de deux frères emportés dans le tourbillon de l’indépendance irlandaise ; un chef-d’œuvre. Au Royaume-Uni, le British Film Institute a nommé son long métrage Kes (1969) le septième meilleur films anglais du XXe siècle. La Berlinale le récompense en 2014 avec l’Ours d’or d’honneur.
Différencier l’homo faber de l’animal laborans. Selon Annah Arendt, une distinction est à faire entre l’œuvre et le travail.