La presse se fait l’écho de la récente opération de l’armée turque pour évacuer des soldats qui se retrouvaient encerclés par l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL, Daesh) dans le mausolée où est inhumé un ancien chef militaire seldjoukide, grand-père du fondateur de la dynastie ottomane.
La SFIO, c’est la version ancienne et longue du Parti Socialiste, celle qui avait voté les pleins pouvoirs à Philippe Pétain, celle qui ne voulait pas clore le chapitre colonial de l’histoire de France, celle qui avait lancé la France dans l’expédition de Suez en 1956 pour essayer de détruire le pouvoir nassérien avec l’aide du Royaume Uni et du régime sioniste . La SFIO que le général de Gaulle avait écartée sans ménagement du pouvoir.
Le chef du gouvernement turc, Recep Tayyip Erdogan, a fait beaucoup pour contribuer à la chute du régime syrien. Or, non seulement ce régime est toujours en place, avec Bachar al-Assad à sa tête, mais il a engrangé et continue à engranger des gains substantiels aussi bien sur le terrain politique que sur le terrain militaire.
Les évolutions politiques en cours depuis la chute du mur de Berlin devraient nous inciter à réfléchir sur ce que nous appelons gauche, droite, fascisme, antifascisme, laïcité etc. Parce qu’on tend à employer ces mots comme des totems, sans jamais s’interroger sur ce qu’ils recouvrent vraiment.
L’entité sioniste est en passe de réaliser un vaste programme d’expulsion des palestiniens autochtones du Naqab pour leur substituer des colons, Ces derniers pourront par exemple venir de Grande Bretagne, pays dont les ressortissants de confession juive sont conviés, subventions à l’appui, à venir s’établir dans la région une fois celle-ci nettoyée ethniquement.
C’est le genre d’informations dont la presse hexagonale n’aime pas trop parler : chaque fois que l’Iran [ce pays supposé comploter la production de l’arme atomique] est dans une action en justice avec des intérêts occidentaux, les tribunaux lui donnent raison.