Cette fin d’année 2024 est bien funeste. Entre la politique mortifère des faiseurs de guerres « made in USA » et l’effondrement soudain de la Syrie, et de facto du parti laïc Baas dirigé par le président Bachar El Assad, force est de constater que les forces du mal se déchaînent, au mépris comme toujours, de la vie humaine.
En cette fin d’année 2024, le spectre d’une Troisième Guerre mondiale s’intensifie. Avec la prise d’Alep par des terroristes, mettant en péril le gouvernement syrien, et l’escalade des préparatifs d’une guerre frontale avec la Fédération de Russie, les fêtes de Noël s’annoncent bien moroses. En effet, les dirigeants européens craignent que Donald Trump, à partir du 20 janvier 2025, arrête l'aide militaire à Kiev, et que de facto, l’ensemble des pays de l’UE soient obligés de financer la guerre par procuration contre la Russie. L’économie européenne, déjà chancelante, risque de sombrer définitivement dans un délabrement total.
La majorité des français et aussi des européens ignore que l’état profond mondial œuvre dans les coulisses. En effet, une direction générale de la mondialisation vient d’être créée au Quai d’Orsay. La volonté de dissoudre notre pays dans le fondu mondialiste anglo-saxon est belle et bien réelle. À la lecture des documents indiqués (1) et (2), nul ne pourra ne le contester. Une armada de technocrates, formatée très certainement par le programme « Young Global Leaders » créé par Klaus Schwab en 2004, (3) a délégation de signatures à la place de ministres, pour des actes, arrêtés, et décisions. En effet, une direction générale de la mondialisation a été dûment enregistrée au Journal Officiel le 20 septembre 2024.
Supprimées par Nicolas Sarkozy en 2002, elles sont à nouveau utilisées par la Direction générale de la sécurité intérieure – DGSI, depuis l’instauration des états d’urgence successifs, afin de proposer au ministère de l’Intérieur des assignations à résidence, perquisitions administratives et autres mesures d’exception.
Avec le départ possible de Bruno Le Maire en Suisse, pays de cocagne, il apparait nécessaire d’appréhender ce qu’est l’État profond français, mais aussi de comprendre les mécanismes de la dette réelle de la France. Dette que Bruno Le Maire a largement amplifié durant son long séjour à Bercy.
Plus « l’élite politico-médiatique » est corrompue, dépravée et pervertie, plus la société s’écroule et plus la majorité de la population s’enfonce dans une indifférence malsaine. Le chaos est proportionnel à l’absence d’éthique et de justice. Masquée par un vernis social où fleurent bon les concepts de « liberté infinie », du « chacun fait ce qui lui plaît » et surtout « de ne pas se mêler de la politique », la France n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Depuis l’intervention de la Fédération de Russie en Ukraine le 24 février 2022, Emmanuel Macron se pose en chef de guerre incontesté en Europe. Ce doit être une idée fixe chez lui, car le 16 mars 2020, au début de la « crise sanitaire », ce dernier martelait au peuple français : « Nous sommes en guerre, en guerre sanitaire certes. Nous ne luttons ni contre une armée ni contre une autre nation, mais l’ennemi est là, invisible, insaisissable, et qui progresse… » (1)
« Négocié par 194 États membres de l’OMS depuis 2021 et devant être adopté définitivement le 24 mai 2024, le Traité de l’OMS sur les pandémies menace gravement nos droits et libertés. En effet, sous couvert de nous préparer à une prochaine pandémie, ce traité va confier à l’OMS un pouvoir contraignant sur les pays, pouvoir qui lui permettra lorsqu’il déclarera une pandémie de forcer les États signataires à procéder à des confinements, ainsi qu’à d’autres mesures sanitaires (par exemple le port obligatoire du masque), voire de procéder à une vaccination de masse. Nous ne sommes donc dans la dernière ligne droite et pourtant rien ou presque ne filtre. »
« Plus d’un million de Gazaouis sont priés de partir. Cela veut dire abandonner une maison, des biens et commodités pour aller au sud de la bande de Gaza ou en Egypte. Plus d’eau, plus d’électricité, plus de nourriture, et presque plus de moyens de se soigner. L’eau potable s’épuise dans la bande de Gaza, vu que l’usine d’eau et les réseaux publics d’alimentation ont cessé de fonctionner ».
Avec la crise « sanitaire » qui a sévi dès le début 2020, où presque tous les gouvernements de la Terre ont obéi comme un seul homme à une folie « confinatoire et vaccinale », il apparaît de plus en plus évident que l’OMS, créée en 1948, règne en maître absolu dans l’élaboration des directives mondiales pour la santé.