Oui, les temps ont changé, pas toujours en mal d’ailleurs.
La Russie et la Chine occupent lentement mais avec justesse le Goban face à une écurie occidentale, celles des mondialistes, qui persévère toujours et encore à vouloir avancer sur les cases de son jeu de dadas.
De toute évidence, c’est le jeu de Go qui se développe en faveur du camp multipolaire, soit le camp complexe parce qu’humain aux variables infinies et ajustables. Alors que pour les Étasuniens, les Britanniques, les Macron et les Scholz, le scénario devient complexe avec trois points de surchauffe, surchauffés précisément grâce à ces joueurs, la Syrie, l’Ukraine et maintenant Israël et le territoire palestinien, sur le Golan, de nouveaux pions s’associent et se solidifient, réduisant en cela dramatiquement les avancées géopolitiques euro-américaines des cinq derniers siècles qui se sont faites principalement au détriment des populations locales (colonialisme).
Cela se passe en Amérique du Sud et en Amérique centrale. Ce n’est pas le résultat d’une colère passagère de (…)Lire la suite »