Alors que la propagande des médias et de l'establishment politique contre la Chine s'intensifie, accusant cette dernière de tenter de "tyranniser" l'Australie sur des questions commerciales, le secrétaire d'État américain Mike Pompeo a lancé une menace brutale dimanche.
Les Etats-Unis "déconnecteraient tout simplement" l'Australie de ses réseaux de télécommunications, militaires et de renseignement si un gouvernement australien concluait un accord avec la Chine jugé dangereux pour la "sécurité nationale" des Etats-Unis, a-t-il déclaré.
Pompeo a lancé l'avertissement de Washington dans une interview sur la chaîne Sky News appartenant à Murdoch, rendant ainsi explicite et public le type de menaces qui sont généralement faites à huis clos.
Interrogé sur un vague "protocole d'accord" signé en 2018 par le gouvernement de l'État de Victoria pour participer au projet d'infrastructure global de la Chine dans le cadre de l'Initiative « La nouvelle route de la soie » (Belt and Road (…)Lire la suite »
Les États-Unis exercent de plus en plus de pression sur l'Équateur pour qu'il expulse le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, de son ambassade à Londres, où il a demandé l'asile politique en juin 2012. Il serait alors immédiatement arrêté par la police britannique et soumis à une procédure d'extradition pour faire face aux États-Unis à des accusations d'espionnage inventées de toutes pièces qui pourraient mener à son emprisonnement à vie ou même à son exécution.
Mercredi, le plus haut démocrate de la commission des relations extérieures de la Chambre des représentants a envoyé une lettre menaçante au président équatorien, Lenín Moreno, dans laquelle il insiste sur le fait que celui-ci « livre » Assange aux « autorités compétentes », condition préalable à l'amélioration des relations avec les États-Unis.
Dans une lettre bipartite, Eliot Engel, démocrate de New York et ancienne présidente de la commission des relations étrangères, et Ileana Ros-Lehtinen, républicaine de (…)Lire la suite »
Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks qui a fait connaître aux peuples du monde la vérité sur les crimes de guerre américains au Moyen-Orient et sur de nombreux coups d'État et intrigues de Washington pour des changement de régime dans le monde, est de plus en plus en danger.
Des décisions se préparent pour expulser Assange de l'ambassade d’Équateur à Londres, où il a cherché l'asile politique il y a près de six ans et a été contraint de vivre comme un véritable prisonnier. S'il est placé en garde à vue par les autorités britanniques, il risque d'être remis au gouvernement américain, qui cherche depuis longtemps à le traduire en justice pour des accusations d'espionnage pouvant entraîner la peine de mort.
Au départ, le journal britannique The Guardian avait publié certaines des révélations dévastatrices de WikiLeaks en 2010. Il s’est ensuite retourné violemment contre lui, comme d'autres médias internationaux. Maintenant, il lance une campagne infâme, agissant clairement de (…)Lire la suite »
WSWS, 20 juillet 2006.
A en juger par les médias internationaux, l'attaque du Liban et de Gaza par le gouvernement israélien recevrait le soutien quasiment unanime de la population israélienne. A en croire les citoyens israéliens interviewés, ils sont immanquablement en faveur de la guerre, répétant avec insistance que c'est le seul moyen de protéger le peuple israélien.
Malgré ce déluge de propagande en faveur de la guerre dans les médias israéliens, une opposition visible commence à apparaître. Quelque 2.000 personnes ont défilé dans la capitale commerciale israélienne de Tel-Aviv dimanche pour exiger des négociations avec le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais en vue de l'échange de prisonniers et la fin de l'offensive contre le Liban.
« Oui à la paix », « Arrêtez la monstruosité de la guerre », « Dites non aux bombardements brutaux de Gaza » et « Nos enfants veulent vivre » sont quelques slogans lancés par la foule de manifestants juifs et arabes organisés par (…)Lire la suite »