Pas besoin de chercher sur les médias sociaux ou le web pour voir combien de fois Julian Assange est décrit comme un violeur en série. Ni découvrir que Jacob Appelbaum aussi est décrit comme un violeur en série. Et Trevor Fitzgibbon ? Ouais, lui aussi décrit comme un violeur en série. Quelle est la probabilité que les trois personnages publics clés de WikiLeaks soient des violeurs en série ? Rétrospectivement, cela défie toute logique. Le subterfuge est si évident qu’il en est ridicule.
On retrouve la marque des Five Eyes (« Cinq Yeux » - réseau des services de renseignement des Etats-Unis, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande et Royaume-Uni), qui font partie de ce que la NSA appelle en interne son "réseau mondial", partout dans le dernier scandale d’espionnage qui a englouti la Nouvelle-Zélande, écrit Suzie Dawson, journaliste et militante néo-zélandaise en exil.