Quatre jours après sa disparition et les louanges médiatiques qui l'ont accompagnée, il est utile de rappeler que Robert Badinter ne fût pas « que » l'infatigable abolitionniste de la peine de mort. Comme le décline l'analyste Abdalouahad Bouchal qui - à rebours des médias français - n'a pas la mémoire courte... en plein génocide perpétré contre les Palestiniens par l’État colonial d'Israël, co-financé par la France et les États-Unis (I'A).