Le feuilleton de la guerre juridique (lawfare) contre les dirigeants progressistes d'Amérique Latine continue. Après Lula, Dilma Rousseff, Rafael Correa et Jorge Glas c'est au tour de l'ancienne présidente d'Argentine et actuelle vice présidente, Cristina Fernández de Kirchner d'en être victime dans le cadre de la future présidentielle de 2023. Le juge (ou plutôt vendepatria agent de l'impérialisme) réclame 12 ans de prison et une inéligibilité à vie. Ses partisans ont même été réprimé par la police. Pendant ce temps là l’ancien président Mauricio Macri qui a ravagé le pays se promène librement. Elle a reçu le soutien des autres dirigeants progressistes latinoaméricains et de Jean Luc Mélenchon.