Les grecs ont très largement voté pour le "non", et alors, qu’en est-il sorti ?
RIEN.
A. Tsipras s’est sagement couché devant les exigences de la finance européenne oubliant qu’il vaut mieux mourir debout que vivre l’échine courbée !!
Les grecs vont aller toujours plus mal et devoir brader leur pays pour payer une dette impossible à résorber.
Je tire de ces événements la triste leçon suivante : VOTER NE SERT PLUS à RIEN.
Ce sont les milieux financiers et leurs suppôts gouvernementaux qui décident du devenir des peuples et des pays en passant outre à tous les vœux démocratiques des citoyens.
Et la finance s’est définitivement prouvé, avec la catastrophique capitulation sans condition d’A. Tsipras, qu’elle est toute puissante : préparons-nous à souffrir toujours plus, mes frères...
Syriza avait la lourde responsabilité d’être un modèle et un phare, sa faiblesse morale n’a fait que nous précipiter dans le gouffre.
Regardez les bourses européennes bondir alors qu’il y a - parait-il - une crise : c’est qu’un pays en festin, ça se fête !
Pauvres grecs. Et pauvres de nous.