Dans un monde de plus en plus parano, chaque jour apporte son lot de surprises et de...confirmations. Les événements en Irak, en Syrie, en Libye et aussi en Ukraine nous en apportent un témoignage au quotidien. Et c’est encore la chancelière allemande, Angela Merkel, qui semble, de loin, décrocher la timbale, qui est revenue, lors de sa visite, samedi dernier à Kiev, sur la crise ukrainienne et singulièrement sur le cas de la Crimée.
De Serbie, les médias, une fois de plus, n’avaient rien vu venir
Les leaders serbes ont conclu que Karadzic devait être sacrifié à un plus grand intérêt national, qui, de leur point de vue, signifie l’adhésion à l’Union européenne et à l’Otan