Une campagne médiatique d'une grande violence a été déclenchée en France contre Ségolène Royale, l'ex candidate aux élections présidentielles françaises de 2007. Pourquoi ?
Ceci est le texte écrit de mon éditorial du 5 décembre 2016 dans le cadre d’une émission culturelle d’une heure que j’anime tous les lundis sur Radio Mon Païs à Toulouse (1).
Là, je parle de Danielle Mitterrand, de Ségolène Royal, de Zoe Valdes, de Jacobo Machover, de faux dissidents, des médias, d’Amnesty International et des méthodes de fabrication des campagnes anticubaines.
Pour finir, je raconte pourquoi Jacobo Machover, ayant eu l’imprudence de faire une conférence à Toulouse, a décidé de ne plus mettre les pieds dans « la Capitale de l’Espagne républicaine ».
Hier (jeudi 9 octobre) la ministre de l’Écologie et du Développement durable a reporté sine die l’écotaxe poids lourds sous la pression des transporteurs.
Je n’aime pas les réseaux sociaux, même si je reconnais que parfois, ils peuvent contrecarrer des versions (trop) officielles de l’information.
Ségolène Royal a connu de cuisants échecs : Elle a loupé deux fois l’Elysée. Une fois comme Présidente, une autre fois comme première dame. Elle n’est plus députée. Alors que le pays entre officiellement en récession au premier trimestre, elle agite les bras – elle sait si bien le faire – et se pose en sémaphore politique dans la tempête et le bouillonnement gouvernemental. Seule.