Israël commet le plus grand massacre de journalistes du 21ème siècle, Reporters Sans Frontières regarde ailleurs
A tout instant il se passe quelque chose à RSF, hélas pour le pire. Après avoir demandé l'interdiction de la diffusion de deux chaînes russes par le satellite européen Intelsat, voilà que nos petits soldats de l'OTAN applaudissent le vote d'une loi ukrainienne qui censure la presse "sur le chemin de la dictature".....
Mes amis, et des organisations de soutien aux Palestiniens m'ont découragé alors que j'écrivais ce texte sur les turpitudes de RSF. Leur refrain me chantait : "tout le monde sait que cette organisation est un outil de l'Occident. Ton papier ne nous apprendra rien. Tant pis, j'ai écrit quand même. Car le dernier "Bilan" publié par RSF est une honte contre l'humanité.
Ménard puis Deloire, les Roux et Combaluzier de Reporters sans Frontières ont toujours trouvé un moyen de nous divertir. Cette fois Deloire, fâché des messages de jeunes journalistes lancés sur les réseaux sociaux, entend poursuivre ces confrères, donc l'avenir d'une profession moribonde, en diffamation. Comme un malheur voyage toujours accompagné, ce malheureux "dirigeant" de RSF s'est pointé pour une réunion au ministère de l'Intérieur... où la porte lui a été claquée au nez . Reviens, Ménard !
Le 24 mars, j’ai reçu un courriel de Daniel Bastard contenant un communiqué de presse de RSF intitulé « Si la presse chinoise était libre, le coronavirus ne serait peut-être pas devenu une pandémie ». Le 25 mars et le 26 mars, j’ai reçu, de la part de Cédric Alviani, un autre texte de RSF intitulé « Ces héros de l’information que la Chine a étouffés ».
Enfin les planètes sont alignées : RSF reçoit un million de dollars d'une organisation israélienne pour sa "défense de la démocratie" (ne rions pas dans ce cimetière). Ce Prix est une justice pour cette ONG qui supporte l'OTAN et toutes les guerres menées par les États-Unis.
Mercredi 24 avril 2019 au matin, Eleazar Díaz Rangel, l’un des plus grands journalistes vénézuéliens, une sorte de symbole respecté pour son honnêteté et la conception qu’il avait de l’information, est décédé à l’âge de 87 ans à l’hôpital militaire de Caracas. Depuis quelques jours, il recevait un traitement sous respiration assistée.
J’avais eu le privilège de le rencontrer.
La fausse ONG Reporters sans frontières ne s’est pas améliorée en confiant Robert Ménard au FN pour se contenter d’une copie dont je prédis qu’elle finira politiquement mal.
Régulièrement, les médias, les partis politiques, les associations de défense des droits de l’homme se réfèrent au « Classement mondial de la liberté de la presse » établi par Reporters sans frontières.
Cette année, le rapport de cette organisation est affecté d’un sous titre : « La haine du journalisme menace les démocraties ». Vous suivez mon regard vers un leader politique français ?