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Thème : Philippe Val

A 50 ans, si t’as pas deux Rolex, t’as pas été directeur de Charlie Hebdo et de France Inter

Vincent MORET

En rentrant dans la nuit de lundi à mardi d’un séjour à l’étranger, Philippe Val, ex-directeur de Charlie Hebdo et de France Inter, a découvert que son domicile avait été cambriolé.

Outre deux Rolex et un pistolet, les cambrioleurs ont dérobé deux ordinateurs contenant des données sensibles, notamment les coordonnées téléphoniques de Nicolas Sarkozy et de François Hollande. Le journaliste, bénéficiait pourtant d’une protection policière. Le mieux serait qu’il se fasse dorénavant protéger par les services état-uniens de l’OTAN. Ils lui doivent bien ça (1). En attendant, il serait bien que quelqu'un du Grand Soir (Théophraste aux multiples emplois ?) soit chargé de mission pour établir la liste des lecteurs qui ont versé à la souscription 2015 d’un « Je suis Charlie » dans le besoin. Il faudrait essayer de les faire rembourser ou de faire transférer leurs dons sur le compte du GS. Vincent MORET Note (1). Depuis la liquidation de la Yougoslavie, il n’est pas une guerre de l’OTAN, des EU, de la France, que Charlie Hebdo n’ait approuvée, pas une occasion qu’il ait laissé échapper de calomnier les pays d’Amérique latine qui résistent aux EU, avec, par (…) Lire la suite »

Philippe Val a déjoué un complot : Acrimed gangrène la formation des journalistes !

Martin COUTELLIER

Ayatollah responsable de l’épuration du journalisme, des médias et de la critique des médias, Philippe Val, patron licencieur (de Siné, Porte et Guillon) et chasseur de têtes, n’est jamais en panne d’inspiration : la liste est longue de ses mensonges et calomnies d’une insondable bêtise. Et elle vient de s’allonger...

Il y a peu, parmi les facteurs qui expliqueraient selon lui « la crise que traverse le journalisme », Philippe Val avait découvert celui-ci, sans doute le principal : « On peut relever l’intérêt des jeunes journalistes pour l’idéologie de Bourdieu selon laquelle les dominants ont toujours tort et les dominés toujours raison » [1]. Pierre Bourdieu, c’est connu, a soutenu une pareille imbécilité ! Mais c’est dans le Causeur du mois de février que nous découvrons une nouvelle façon originale de présenter, toujours en le dénigrant, le rôle qu’a pu jouer la critique radicale des médias, et en particulier Acrimed. Élisabeth Lévy déclare (p. 93), non sans déploration sous-entendue, « [que] la dénonciation de "l’islamophobie" bat son plein » : une occasion pour Philippe Val d’affirmer avec un sens subtil de l’à-propos : Si elle n’était produite par un psychiatre [2], cette prose inquiéterait véritablement pour les capacités intellectuelles de son auteur. Mais, en grand penseur qu’il est (…) Lire la suite »