Dans le tumulte des revendications qui modulent le tempo de l’été qui s’en va, il y a des voix qui s'élèvent pour bousculer les silences des metteurs en scène de l’indigence ; mais il y a aussi celles, en contre voix, qui résonnent, à basse voix, de toutes les faussetés médiatiques. Voix centenaires, voix littéraires, voix mercenaires et voix sanguinaires, toutes cherchent désormais des voies intermédiaires. On eût dit que les voies vénales, si prospères, le long desquelles, elles retentissaient sont devenues trop chargées d'affaires potentiellement pénales. Ce qui suggère des volte-face à mille temps. Mais, à danser le pétro sur un rythme aussi périlleux, on risque bien des faux pas.