Il est l’un des hommes les plus influents de l’Union européenne. À côté de lui, Hollande, c’est du pipi de chat. Il est proche de la retraite, mais gageons qu’il sera remplacé par un clone aussi dingue que lui de la mondialisation libérale, du capitalisme financier le plus débridé. Selon lui, ne pas accepter cette mondialisation est une stupidité politique et économique, et aussi « une attitude moralement indéfendable ».