Le Parti communiste chinois a été fondé en juillet 1921. Cent ans plus tard, la réussite spectaculaire de la Chine bouleverse les idées reçues. Après avoir libéré et unifié le pays, aboli le patriarcat, réalisé la réforme agraire, amorcé l’industrialisation, doté la Chine du parapluie nucléaire, vaincu l’analphabétisme, donné aux Chinois 28 ans d’espérance de vie supplémentaire, mais aussi commis des erreurs dont le peuple chinois a tiré les leçons, le maoïsme a passé la main. Ses successeurs ont tenu compte des inflexions de la vie internationale, mais sans jamais lâcher le gouvernail. Les Chinois ont multiplié leur PIB, vaincu la pauvreté, élevé le niveau technologique du pays de façon impressionnante.
En juillet 2021, le Parti communiste chinois fêtera ses 100 ans. C’est l’occasion pour Bruno Guigue de vous raconter son histoire et de mieux vous faire connaitre ce pays. Aujourd’hui, premier volet d’une série de 5 que nous publierons chaque dimanche : la période 1921-1927.
Retranscription de l’intervention en visioconférence de Rémy HERRERA du 6 novembre 2020 lors du débat organisé pour le centenaire du PCF.
Les trois questions posées initialement étaient :
– Pourquoi une rupture avec le capitalisme ?
– Pourquoi le choix d’une alternative socialiste ?
– Quelles leçons tirer de la Chine, du Vietnam, de Cuba ?
A propos du 50ème anniversaire de Mai-Juin 68, par Georges Gastaud, secrétaire national du PRCF. Alors qu’ils ont superbement ignoré le 170ème anniversaire de la Révolution populaire-républicaine de février 1848, dont la date coïncidait presque avec le 170ème anniversaire du Manifeste du Parti communiste, les médias du capital et de la fausse gauche « mettent le paquet » sur le cinquantenaire de Mai 68. Le hic, c’est qu’ils en exaltent les côtés faibles, voire négatifs, et qu’ils en dénigrent les points forts, qui comportent encore de grands enseignements pour nos combats anticapitalistes actuels.
Texte intégral du rapport présenté par le président chinois le 18 octobre 2017 (les lenteurs de la traduction expliquent que nous le donnions à lire en décalé).
Merci à Heyi ZOU, correspondant à Paris de la Télévision Centrale de Chine (CCTV) d’avoir répondu à notre demande et de nous avoir communiqué ce document que l’on ne trouvera pas dans les médias subventionnés.
LGS