Il annonce des révolutions, mais au-delà du néolibéralisme, il ne promet rien d'autre que la fuite en avant vers un conflit - peut-être nucléaire - qui ressemble plus à une crise de Cuba permanente qu'à la guerre froide.
Il est surprenant, dans le rapport de Mario Draghi sur l'avenir compétitif de l'UE, de constater la coexistence de certaines idées correctes sur le déclin européen et l'absence de profondeur historique.
Il n'y a pas d'autre moyen d'expliquer l'adhésion aveugle à un présent qui est appelé à changer, pour le meilleur ou pour le pire, mais qui, pour l'instant, est ce qu'il est : la course vertigineuse vers un éventuel conflit nucléaire qui n'a rien à voir avec la guerre froide et ressemble plutôt à une crise prolongée et mortelle de Cuba.
Il n'y a pas d'autre moyen d'expliquer l'adhésion aveugle à un présent qui est appelé à changer, pour le meilleur ou pour le pire, mais qui, pour l'instant, est ce qu'il est : la course vertigineuse vers un éventuel conflit nucléaire qui n'a rien à voir avec la guerre froide et ressemble plutôt à une crise prolongée et mortelle de Cuba.
Sans parler de l'effondrement climatique, qui n'est plus une menace mais une réalité, irrémédiable si les (…)Lire la suite »