Les États-Unis mènent clairement la danse. Les Nations Unies “organisent” le processus, & Washington assure la “coordination”. Ce qui signifie que les Nations Unies seront autorisées à servir le thé. Spirit's FreeSpeech - nov. 30
Le 27 novembre 2024 marque un tournant historique dans le conflit arabo-sioniste, avec l'acceptation d'un cessez-le-feu par l'entité sioniste, après plusieurs mois de violence et de souffrances. Ce moment souligne l'échec des politiques agressives de l'occupant et la résilience de la Résistance libanaise, qui a su repousser l'ennemi et affirmer sa victoire. Alors que les crimes de guerre continuent de hanter Gaza et le Liban, la communauté internationale ne peut plus fermer les yeux. Le poème "L'Aube de la Liberté" témoigne de cette victoire symbolique, célébrant la dignité et l'espoir retrouvés, dans une lutte qui ne s'arrête pas à la trêve, mais qui ouvre la voie à la liberté et à la réconciliation.
Le choix du gouvernement israélien de mener deux actions terroristes contre le Hezbollah et hier d'attaquer directement le Liban vise à élargir le conflit au Moyen-Orient et tend à déclencher la Troisième Guerre mondiale.
« La tragédie de Majdel Shams n'a rien à voir avec la résistance » a rétorqué le cheikh chiite jaafarite Ahmad Kabalan.
Alors que les affrontements à la frontière israélo-libanaise se multiplient et que le niveau d’intensité des engagements ne cesse de croître, le spectre d’une guerre régionale plane à nouveau dans la région.
Nous nous souviendrons de Farah Omar et Rabih Maamari comme des héros, des défenseurs de la liberté d'expression et de la vérité. Leurs noms resteront à jamais gravés dans nos mémoires, et leur héritage continuera à nous guider dans la poursuite de la justice et de la paix. Aujourd'hui, nous pleurons leur perte, mais nous continuons leur lutte. Nous promettons de faire en sorte que leur sacrifice ne soit pas vain, et de continuer à lutter pour un monde où les journalistes ne sont plus pris pour cible, où la vérité est respectée et où la paix prévaut. Reposez en paix, Farah et Rabih. Vos vies ont été trop tôt interrompues, mais votre héritage vivra à travers nous. Nous continuerons à porter votre flambeau et à nous battre pour un monde meilleur.
La tragédie qui a frappé le Liban le 4 Août avec l'explosion du port de Beyrouth a été immédiatement dramatisée à outrance et instrumentalisée. Certes, elle est terrible et s'ajoute aux souffrances de ce pays que nous aimons tant. Pourtant la vraie question n'est pas là.