• Un long article de Leonid Savin nous fournit une abondante documentation sur ces communautés chrétiennes partisanes du sionisme juif et d’Israël. • Leur poids d'influence sur la politique étrangère des EU est énorme.
Le président de la République a assisté à l'allumage d'une bougie de Hanoukka par le grand rabbin de France, suscitant une vive opposition de la gauche et de certains responsables religieux. Les soutiens de Macron ont défendu sa participation à la cérémonie, estimant qu'il ne s'agissait pas d'une atteinte à la laïcité.
L'État d'Israël est un lieu de diversité complexe, où la citoyenneté et la religion se mêlent souvent. Cependant, il est crucial de faire la distinction entre les citoyens israéliens et les personnes de confession juive. Cette confusion entre l'identité nationale et la religion a souvent conduit à des malentendus et à des préjugés. Dans cet article, nous explorerons les différences entre les citoyens israéliens et les personnes de confession juive en Israël, en mettant l'accent sur les aspects historiques, politiques, religieux et socioculturels. Nous analyserons également les défis de la coexistence entre ces différentes identités, les stéréotypes et préjugés qui en découlent, ainsi que les efforts déployés pour promouvoir la compréhension mutuelle et l'acceptation dans la société israélienne.
L’étymologie sémitique du mot « arabe » est « mixte », étant donné que pour la plus grande partie de son histoire, la région arabe a été un lieu où les peuples de différents continents venaient vivre ensemble.
Piétinant le droit international et le sort des Palestiniens, l'épouvantable Trump a choisi, pour les USA, de désigner Jérusalem comme capitale d'Israël. Hidalgo, qui prépare sa campagne électorale et est prête à toutes les bassesses, a jugé bon de baptiser une "Place Jérusalem", à Paris. Le tout en organisant une cérémonie réservée aux seuls membres de la communauté juive et à des élus de l'extrême droite israélienne. Hidalgo home.
L’adolescente palestinienne Ahed Tamimi était poursuivie pour avoir frappé un soldat étranger qui s’était introduit dans la cour de sa maison en Cisjordanie. Arrêtée quelques jours plus tard à 4 heures du matin, extirpée de son lit par l’armée israélienne, conduite menottée en Israël, elle est devenue un symbole de la résistance contre l’occupation. Elle a été condamnée à 8 mois de prison après avoir accepté de plaider coupable. Faute de quoi, elle risquait jusqu’à sept ans de prison.
De crainte que les médiacrates n’aient pas l’idée de vous en informer ni d’organiser des débats sur le sujet, nous donnons à lire ici un texte écrit sur du vécu. On y découvre comment dix députés, ceints de leur écharpe, menacés par une milice braillarde hurlant des slogans homophobes et des « Israël vaincra ! », ont quitté « la marche blanche » sur ordre de la police et sous le regard indifférent des hautes autorités, dont François de Rugy, président de l’Assemblée nationale.
LGS