L’affaire Huawei était dès le début une histoire de « barbouzes » dans lequel le Canada a sous-traité pour les États-Unis une partie des basses œuvres en procédant à l’arrestation de Mme Meng Wanzhou, la première responsable financière du géant chinois Huawei (et fille de son fondateur Ren Zhenfei) le 1er décembre 2018.
Cette affaire est désormais close.
La responsable chinoise a été libérée en échange de deux espions canadiens détenus en Chine dont nous avions révélé les fonctions exactes en 2019.
Encore un peu et on aurait assisté à un bon vieux film poussiéreux en noir et blanc où des espions s’échangent sur un pont traversant une rivière sous la lumière blafarde de feux automobiles aux couleurs sobres...
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Le bras de fer continue et ne semble pas vouloir s’arrêter...
Lundi 20 mai, le ministère du Commerce des Étatsunis a levé une partie des restrictions imposées au géant chinois des télécoms Huwaei. Ce dernier peut conserver ses réseaux existants et fournir des mises à jour logicielles pour les possesseurs de ses appareils. Mais, dans le même temps, cette levée n’est que temporaire et doit s’achever le 19 août prochain. Il faut, aussi, rappeler que l’administration Trump a placé, jeudi 16 mai, Huawei sur liste noire. Concrètement, cela veut dire que la multinationale chinoise ne peut, pratiquement, plus opérer sur le territoire chinois et qu’elle ne peut pas non plus acheter des composants fabriqués aux Etats-Unis.
Mesures de rétorsion
Il est certain que cette mise au ban est liée aux négociations commerciales qui se déroulent actuellement entre Washington et Pékin. Des discussions qui semblent bloquées et qui poussent le locataire de la Maison-Blanche à utiliser tous les (…)Lire la suite »