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Thème : Goldman Sachs

Coronavirus et chloroquine : « Guérir les malades n’est pas un modèle d’affaires durable » selon Goldman Sachs

Julie LEVESQUE
Une polémique fait rage actuellement au sujet des traitements à la chloroquine et à l’hydroxychloroquine pour traiter le nouveau coronavirus. Didier Raoult, le plus grand expert mondial des maladies infectieuses transmissibles, a traité 4000 patients à l’hydroxychloroquine durant les 30 dernières années. Il estime que ce traitement est sécuritaire, peu coûteux, « curatif et potentiellement préventif contre le coronavirus ». Le directeur de l’IHU Méditérranée-Infection explique que ce nouveau coronavirus était « le 4e coronavirus testé pour la chloroquine ». Deux d’entre eux sont des coronavirus humains « qui circulent beaucoup en France et sont très communs ». Le troisième est le SRAS. Tous ces coronavirus peuvent être traités à la chloroquine. Il explique dans la vidéo ci-dessous qu’il est logique d’utiliser ce traitement puisque « la concentration dont on a besoin pour empêcher la culture du virus au laboratoire est une concentration que l’on peut atteindre avec les doses (…) Lire la suite »
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De la Troïka à Goldman Sachs, le pantouflage de Barroso fait des vagues [2/2]

Jérôme DUVAL
(Lire la première partie) Ex-président de la Commission européenne, désormais collaborateur de la banque Goldman Sachs, José-Manuel Barroso ne s’est jamais appliqué les politiques d’austérité qu’il a imposées aux autres... L’indécente prospérité de celui qui prône l’austérité À la tête de la Commission européenne durant une décennie pour faire appliquer des contres-réformes régressives en Europe, Barroso profite de la mise en place de la Troïka pour mener des politiques d’austérité antisociales là où celle-ci mène ses programmes. Le mot d’ordre : baisse des dépenses publique via des réductions de salaire et des retraites dans la fonction publique, pour honorer des objectifs macroéconomiques imposés de l’extérieur. Cependant, l’homme fort de l’austérité se garde bien de s’appliquer à lui même ce qu’il impose aux populations. À son poste de président de la Commission européenne (CE), il percevait un salaire mensuel de plus de 25 000 euros brut sans compter son allocation pour (…) Lire la suite »

Gangstérisme bancaire

M. SAADOUNE

Le fonds souverain libyen (Libyan Investment Authority - LIA) intente une action en justice contre le géant américain de la finance Goldman Sachs qu’il accuse d’avoir sciemment orienté ses placements vers des titres toxiques. Non seulement les Libyens ont perdu beaucoup d’argent dans l’affaire mais, suprême art du banditisme bancaire, Goldman Sachs s’est fait un pactole de 350 millions de dollars. Sur le dos des Libyens.

On l'a déjà signalé, ici, en 2011, la perte enregistrée par la LIA est digne de figurer dans le Guinness Book des records de l'absurde. On relevait déjà que le fonds libyen a été victime d'une malversation de la part de la banque, les spécialistes soulignant que les investissements à risques sont très « cadrés » de sorte que les pertes éventuelles ne dépassent pas les limites du raisonnable. Cela n'a pas été le cas pour la LIA qui a suivi les conseils de Goldman Sachs qui s'est abstenu de les informer de l'évolution désastreuse de leurs placements. Mais à l'évidence, la Libye a attiré beaucoup d'aigrefins. La LIA a décidé de poursuivre également la banque Société Générale qu'elle accuse de lui avoir donné des fausses informations ou d'avoir fait dans la rétention de l'information. La décision des responsables libyens d'engager des poursuites est sans précédent dans les annales. Et ils semblent engager une bataille judiciaire qui refuserait de faire de l'incompétence des (…) Lire la suite »

La Libye a-t-elle été arnaquée par la banque Goldman Sachs ?

oumma.com

Soupçonnée d’avoir joué un rôle majeur dans l’aggravation de la dette publique grecque, la banque d’investissement Goldman Sachs est désormais accusée par les responsables de l’Autorité libyenne d’investissement (LIA) d’avoir encaissé un pactole de « 350 millions de dollars sur une transaction d’un milliard de dollars ».

Les responsables de l'Autorité libyenne d’investissement (LIA), dont la principale mission consiste à gérer les revenus pétroliers de leur pays, étaient entrés en contact avec le groupe Goldman Sachs réputé pour ses activités spéculatives hautement rémunératrices. Sans véritable expérience de la finance internationale, contrairement aux goldens boys de Goldman Sachs qui en maîtrisent tous les mécanismes, les dirigeants de l'Autorité libyenne d’investissement ont été orientés sur "le marché des produits dérivés", ce qui a permis au géant étasunien de la finance d'encaisser un rapide et juteux bénéfice. Se sentant abusés, les responsables de l’Autorité libyenne d’investissement ont décidé de s'adresser à La Haute Cour de Londres, espérant ainsi obtenir une réparation pour ce préjudicie financier. Suite à cette mise en cause, Goldman Sachs s'est contenté de réagir par l'intermédiaire de son porte-parole en affirmant que la plainte est « sans fondement ». Lire la suite »