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Thème : George BUSH

La mise en examen de George W. Bush pour meurtre

Le livre qu’ils n’arrivent pas à cacher.

COLLINS, Michael
Le procureur et le président Vincent Bugliosi veut voir George W. Bush mis en examen pour meurtre. D'autres sont complices du crime, notamment le vice-président et Condoleezza Rice, mais Bush est la cible principale de ce célèbre procureur de Los Angeles (affaire Charles Manson) et auteur à succès (Helter Skelter et The Betrayal of America, par exemple). Sa détermination reste intacte devant le silence quasi total des grands médias. C'est directement auprès du public et via les médias alternatifs et l'internet qu'il se bat. Bugliosi présente un dossier dévastateur dans son livre « The Prosecution of George W. Bush for Murder (la mise en examen de George W. Bush pour meurtre - ndt) ». Alors que j'écris ces lignes, j'ai encore du mal à me remettre du choc ressenti à la lecture du titre et du nom de l'auteur. Procureur légendaire avec un passé presque parfait dans de grandes affaires criminelles, Bugliosi développe une des idées les plus révolutionnaires qu'on puisse imaginer (…) Lire la suite »

La liberté d’expression aux Jeux Olympiques : toute médaille a son revers

BRASCH, Walter
Le président Bush parlait exactement comme un progressiste. Ouais, vous avez bien lu. Bush. Progressiste. Dans la même phrase. A la nouvelle ambassade américaine de Beijing, le jour d'ouverture des Jeux olympiques, il a déclaré : "Chacun devrait avoir la liberté de dire ce qu'il pense". Sans même battre un cil, il a également dit à la planète entière, en s'adressant aux Chinois : "Nous avons la conviction que les sociétés qui permettent la libre expression des opinions tendent à être les plus prospères et les plus pacifiques". La veille, au Tibet, il avait affirmé courageusement : "L'Amérique est fermement opposée à la détention de dissidents politiques, de défenseurs des droits de l'homme et de militants religieux". Il a déclaré qu'il se prononçait "en faveur de la liberté de la presse, de la liberté de réunion et des doits des travailleurs, non pas par provocation vis-à -vis des dirigeants chinois mais parce que donner plus de liberté à son peuple, c'était la seule (…) Lire la suite »

Bush et les super-nanas - Pom-Pom-Boy en Chine

BRAUCHLI, Christopher
Ce fut une coïncidence affreuse et personne n'a eu autant de peine que moi pour Bush. Il avait fait un discours superbe en Thaïlande, mais manque de chance, le moment était mal choisi. Ca l'a fait passer pour l'idiot du village. Tout ça parce qu'il a prononcé son discours le jour même où le tribunal militaire de Guantanamo rendait son verdict dans l'affaire de Salim Ahmed Hamdan. Quand M. Bush était en Thaïlande, il a pensé que ce serait le moment idéal pour critiquer le bilan des droits de l'homme en Chine, dont tout le monde s'accorde à dire qu'il est terrible. L'ennui, c'est que l'annonce du verdict au procès d'Hamdan a rappelé à tout le monde que la Chine et Bush, qui tous deux se vantent de respecter les droits de l'homme, n'ont pas de quoi être fiers. A Guantanamo, un tribunal militaire a condamné le chauffeur d'Osama Bin Laden, Salim Ahmed Hamdan, pour "soutien matériel à une organisation terroriste". M Hamdan est la première personne à Guantanamo à être jugée par les (…) Lire la suite »

Président George W. Bush, pourquoi ne la fermez-vous pas ?

BANCROFT-HINCHEY, Timothy
En reprenant les propos de l'illustre Roi d'Espagne, dans sa réplique imbécile au Président Hugo Chavez, nous ne les employons pas ici comme une riposte à une diatribe mais plutôt comme une réponse à un imbécile. Président Bush, Pourquoi ne la fermez-vous pas ? Lundi, dans votre déclaration concernant les actions légitimes de la Fédération de Russie en Géorgie, vous n'avez pas mentionné une seule fois les crimes de guerre perpétrés par les forces militaires géorgiennes, avec le soutien de conseillers américains, contre des populations civiles russes et ossètes. Plutôt embarrassant, hein ? Président Bush, Pourquoi ne la fermez-vous pas ? Votre fidèle allié, Mikhail Saakashvili, annonçait un cessez-le-feu pendant que ses troupes, avec vos conseillers, se massaient à la frontière ossète, et l'ont traversée à la faveur de la nuit tombée et sont allés détruire (la capitale) Tskhinvali, en visant les infrastructures civiles comme l'ont fait vos propres troupes en Irak. Plutôt (…) Lire la suite »

George Bush : Une biographie non autorisée (extraits)

DIVERS
George Bush : Une biographie non autorisée par Webster G. Tarpley & Anton Chaitkin (extraits) Chapitre - II - Les visées politiques de Hitler Les avoirs de la famille Bush saisis pour relations commerciales avec l'ennemi. En octobre 1942, les États-Unis préparent leur première attaque d'envergure contre l'armée nazie. Prescott Bush (le grand-père de George W. Bush) est alors gérant associé de Brown Brothers Harriman. Son fils George, âgé de 18 ans, futur président des Etats-Unis, vient d'entamer une formation comme pilote dans l'aéronavale. Le 20 octobre, le gouvernement des États-Unis ordonne la saisie des opérations bancaires menées à New York par Prescott Bush au profit de l'Allemagne Nazie. En vertu de la Loi sur le commerce avec l'ennemi, le gouvernement prend le contrôle de la Union Banking Corporation, dirigée par Bush, et saisit les valeurs de Prescott Bush, E. Roland Harriman, trois hauts dirigeants nazis et deux autres associés de Bush. Les dirigeants nazis (…) Lire la suite »

Un Sarkozy chez Carlyle, l’autre décore Albert Frère : y a-t-il un lien ?

DEGREZ, Vincent

Pierre-Olivier Sarkozy, éminent financier, rejoint le géant du private equity Carlyle à New York. Peu avant, son demi-frère Nicolas décorait Albert Frère et son associé Paul Desmarais de la Grand’Croix de la Légion d’honneur. Ce dernier fait partie du board de Carlyle... Deux événements récents, en apparence anodins, ont un double point commun, l’un évident, l’autre plus difficile à repérer.

Carlyle, géant new-yorkais du private equity (76 milliards de dollars en gestion), vient d'engager Pierre-Olivier Sarkozy. Ce dernier était précédemment co-patron de FIG Investment Banking, une division du suisse UBS. Chez Carlyle, il deviendra, dès le mois d'avril, co-head et managing director du Global Financial Services Group. Cette section est très neuve. Fondée en juin 2007, elle n'a pas encore bouclé de transaction mais a déjà attiré quelques pointures, notamment Sandy Warner, ex-président de JPMorgan Chase. Pierre-Olivier Sarkozy a été engagé pour « ses incroyables réseau et expérience professionnelle, qui aideront Carlyle à capitaliser sur la dislocation du secteur des services financiers », indique la firme dans un communiqué daté du 3 mars. (...) La seconde information concerne un autre Sarkozy, nettement plus connu : Nicolas, demi-frère de l'homme d'affaires new-yorkais. Le président de la République a décerné au belge Albert Frère l'insigne de Grand'Croix de la (…) Lire la suite »

Bush est encore pire que ce que l’on peut imaginer.

Danielle BLEITRACH
Vendredi 12 janvier 2007. Bush est peut-être fou, et les militaires étasuniens le disent de plus en plus ouvertement, mais les intérêts qu'il a derrière lui ne le sont pas. Nous avons une politique qui mêle de l'irrationnel et des intérêts prêts à aller jusqu'au bout. Son dernier discours peut apparaître comme le summum de l'impuissance, une simple redite du bourbier Vietnamien où les Etats-Unis soutenaient un gouvernement fantoche en insufflant vainement toujours plus de soldats, c'est mal mesurer la course en avant dans laquelle se sont engouffrés Bush et sa poignée de conseillers. Dans un contexte d'impopularité grandissante aux Etats-Unis où 60 % de la population est hostile à sa politique en Irak et où le Congrès vient de changer de majorité. Le rendez-vous de l'Apocalypse : Il y a une manière de décrire la politique de G.W.Bush, ce moment crépusculaire où un Président perd tout sens commun et s'enfonce dans la paranoïa, c'est ici d'imaginer un colloque singulier avec (…) Lire la suite »
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Le prêche de Bush - il manifesto.

Marco D’ERAMO
il manifesto, éditorial, jeudi 2 février 2006. La phrase « Mission accomplished », le président des Etats-Unis George W. Bush aurait du l'employer avant-hier, mardi 31 janvier 2006, au Capitole de Washington, pour commencer son discours sur l'Etat de l'Union, et non il y a 32 mois, jeudi 1er mai 2003, quand il atterrît sur le porte-avions Abraham Lincoln, au large de San Diego, pour annoncer que les affrontements décisifs étaient terminés en Irak. Après cette prématurée « Mission accomplished », 2200 soldats de la coalition ont été tués, et tout le centre de l'Irak est aujourd'hui un champ de bataille fumant. Par contre à l'intérieur de l'Union des 50 états, le golpe institutionnel tramé par cette présidence a réussi triomphalement (avec l'acquiescement servile des démocrates) : les garanties légales de l'habeas corpus ont été abolies, la torture légalisée, l'espionnage rampant sur la vie privée des citoyens systématisé, le parlement neutralisé, tous les pouvoirs concentrés en (…) Lire la suite »

Les Escadrons de la Mort de Bush (consortiumnews).

Robert PARRY
Consortiumnews.com, 11 Janvier 2005 Au lieu d'admettre ses erreurs de jugement en Irak, George W. Bush est au contraire en train de mener les Etats-Unis vers ce qu'on pourrait appeler un état de "contre-terrorisme" permanent, qui aurait avoir recours à la torture, aux escadrons de la mort et même aux punitions collectives afin de combattre les présumés ennemis en Irak et à travers le monde. Depuis le début de son second mandat, Bush a renforcé la ligne dure, en partie par la mise à l'écart des dissidents de son administration tout en conservant ou promouvant ses protégés. Bush a aussi commencé à préparer son jeune frère Jeb comme son successeur potentiel pour 2008, ce qui pourrait aider à étendre la politique guerrière de George W. tout en maintenant le contrôle de la famille Bush sur des secrets qui pourraient se révéler dommageables. Pièce centrale de cette stratégie radicalisée de pacification de l'Irak, Bush envisage d'adopter les méthodes brutales qui furent employées (…) Lire la suite »