Depuis sa nomination, Bayrou n’a qu’une obsession : amarrer les partis socialistes, communistes et écologistes à sa politique pour fracturer la gauche en isolant la France Insoumise. C’est le piège tendu par Macron, celui qui n’a pas fonctionné en juillet dernier lors des législatives mais que tel une araignée il poursuit inlassablement.
On savait François Bayrou capable de toutes les virevoltes, de toutes les cascades politiques, mais de là à être pendu par une jambe aux grilles arrière d’un stade de rugby, de quoi se faire la pau tout seul... fallait-il qu’il nous épatâtes.
L’UDI et le Modem ont signé hier une charte commune pour les élections municipales et européennes, avec, « naturellement », la « droite républicaine » comme partenaire privilégié.
Cette brève du 18 mars, en réponse aux propos de François Bayrou le samedi 16 mars sur France 2, mais qui, à ce jour sont restés sans réaction de ceux qui auraient du réagir.
« L’époux de la reine, poux de la reine ! » Dans son opéra bouffe, la « Belle Hélène », Offenbach s’était délecté en parodiant le Second Empire. Napoléon III y était campé sous les traits du vieux roi Ménélas, cocu et un peu plouc. Le monarque insuffisant y avait gagné la sympathie des rieurs.