NB :Parce qu’il importe que les choses soient claires et sans appel, en préambule, nous affirmons nettement que, nous concernant, tout empêchement à la liberté d’expression est un crime contre la démocratie et que l’assassinat de journalistes, où que ce soit, par qui que ce soit, pour quoi que ce soit, est un crime odieux. (la rédaction de Afrique Info)
L’industrie nucléaire a été mise en place en France dès le début des années soixante, avec la création du centre de Cadarache. L’électricité d’origine nucléaire représente aujourd’hui la principale énergie produite (73,3 %) et consommée ; elle provient de cinquante-huit réacteurs répartis sur l’ensemble du territoire.
On voudrait montrer ici, à travers une rapide analyse quantitative, que le coup d’Etat constitue un mode de régulation politique en Afrique, dont les véritables instigateurs sont les Etats impérialistes occidentaux. En tête de liste de ces parrains étrangers des coups d’Etat africains, il y a indéniablement la France qui a abusé de ce moyen criminogène dans son « Pré Carré », en vue de maintenir sous son « influence » de fait des pays prétendument indépendants de droit.
La coupe du monde en Afrique du Sud est terminée et elle ne laissera pas un souvenir à la hauteur de la production papier l’ayant précédée et accompagnée jusqu’au début du mois de juillet. Émerge de cette intense bouillonnement journalistique et livresque le présent ouvrage qui tire à boulets rouges sur la compétition reine du ballon et son grand ordonnateur, la FIFA. Point de complaisance à attendre des trois auteurs, deux doctorants en sociologie (Ronan David et Fabien Lebrun) et un politiste (Patrick Vassort), fustigeant tout au long de 137 pages états, multinationales, footballeurs, organisations internationales, journalistes dans une dénonciation globalisante du football et de ses dérives et allant jusqu’à espérer la disparition du football. Mais le contenu ne se résume pas à une attaque en règle du sport mondial par excellence et on y trouvera aussi, au fil des pages, un portrait d’une Afrique du Sud en proie à la violence et aux inégalités en tous genres.
Depuis le début de l’intervention française au Mali, tous les journaux en parlent à longueur de colonnes. Pour dire quoi ? Rien ou presque. On nous relate des prises de localités desquelles l’ennemi s’est enfui, des bombardements dans le désert vide lui aussi. Et de poursuite de djihadistes insaisissables.