RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
Thème : Forum Social

FSM : L’UGPM alerte sur l’agriculture paysanne et l’alimentation en danger

Freres des Hommes
Partenaire de Frères des Hommes, L'Union des groupements paysans de Méckhé (UGPM) est une organisation de paysans engagée dans la promotion et la défense de l'agriculture dans la région de Thiès au Sénégal. L'association a participé activement au Forum social mondial (FSM) pour dénoncer avant tout les pratiques constituant une menace pour l'agriculture paysanne. L'agriculture, richesse ou problème pour l'Afrique ? Le monde paysan est de plus en plus appauvri par sa propre activité. Pour Ndiakhate Fall secrétaire général de l'UGPM, le FSM a donc été l'occasion de « diagnostiquer le mal qui gangrène le monde paysan ». Au-delà des mots, des discussions, la participation de l'UGPM représentait l'espérance et le devenir des populations pauvres et délaissées. Ainsi, la mobilisation s'est d'autant plus concentrée sur les débats autour de l'agriculture et de l'alimentation. Aujourd'hui, l'accaparement des terres par l'Etat est un réel danger pour la sécurité alimentaire. De ce fait, ce (…) Lire la suite »
Message aux mouvements sociaux qui intègrent la Journée Continentale de Solidarité avec la Bolivie.

"10 commandements pour sauver la planète, l’humanité et la vie"

Evo MORALES

Dans le cadre de la Journée Continentale de Solidarité avec la Bolivie et avec Evo Morales qui s’est déroulée le 9 octobre 2008 dans la ville du Guatemala -en activité connexe au III Forum Social des Amériques-, le président bolivien a fait parvenir le message suivant aux mouvements sociaux qui y étaient présents.

Message du Président Evo Morales à la Journée Continentale de Solidarité avec la Bolivie, Ville du Guatemala, 9 octobre 2008.

Soeurs et frères, Je salue, au nom du peuple de la Bolivie, les mouvements sociaux du continent présents à cette Journée Continentale de Solidarité avec la Bolivie. Nous venons de subir la violence de l'oligarchie, qui a eu son expression la plus brutale dans le massacre de Pando, fait qui nous enseigne que détenir le pouvoir sur base de l'argent et des armes pour opprimer le peuple n'est pas soutenable. Il s'effondre facilement, s'il n'est pas basé sur la conscience du peuple et un programme. Nous voyons que la refondation de la Bolivie affecte les intérêts mesquins de quelques familles de grands propriétaires fonciers, qui rejettent en tant qu'agression les mesures en faveur du peuple telles qu'une distribution plus équilibrée des ressources de gaz pour nos grands-pères et grands-mères, ou que la distribution de terres, les campagnes de santé et d'alphabétisation -entre autres. Pour protéger leur pouvoir, leurs privilèges et fuir le processus de changement, les (…) Lire la suite »