Vous oubliâtes le pourquoi de l’instruction publique faite à Cuba.
Si, j’ai bien tout suivi, les enfants cubains auraient appris à lire pour suivre les écrits endoctrinants
de Fidel Castro... Je rappelle à ce Monsieur que lorsque l’on se permet de mettre à jour la vie de
certains pour leur rendre justice pour le meilleur et/ou pour le pire, on manque froidement à sa
logique intellectuelle s’agissant de Cuba.

Cyniquement, je me demande quel intérêt ont les Etats-Unis à vouloir faire ami-ami avec le
peuple cubain considéré comme un retardé, inculte et peut-être même rétrograde... Eux si,
comment dire PARFAITS ?!

Notre pays a la "chance" d’avoir 2 philosophes de grande qualité : BHL et Michel Onfray.....
Misère de la philosophie.....

onfray ce n’est pas de la philosophie, c’est de la gastroanterite , il passe son temps à chier sur les autres (le christianisme, freud robespierre, lenine, castro, hegel,etc)

Notez aussi la suffisance avec laquelle Onfray (difficilement pire) affirme sans laisser le moindre doute, que Fidel était mort depuis longtemps, mais qu’on a attendu le 25 novembre pour l’annoncer car « ça tombe bien du point de vue de la mythologie », en concordant avec la date du début de son aventure révolutionnaire. Sauf que Cuba c’est du concret, pas du mythe, et on y cultive une approche historique très précise et scientifique loin des clichés sur la propagande omniprésente, mais allez expliquer ça à des intellos qui placent leurs conclusions, tirées de quelques a priori, sentiments, et anecdotes, au dessus des conclusions des rapports de l’ONU.

Bref, du grand délire ! Et j’imagine que ce droit penseur est un dénonciateur des théories du complots dès que ça l’arrange. Mais évidemment quand on part du présupposé que le régime cubain n’est que mensonge et propagande, ça doit être facile d’inventer toutes sortes d’histoires et de les faire avaler au plus grand nombre qu’on a préalablement abruti depuis des décennies, alors qu’un tel fantasme devrait simplement ridiculiser celui qui l’invente. A nos yeux en tout cas, il a réussi en une vidéo, à combler le retard qu’il avait encore sur les autres grands philosophes (sic) de la basse-cour des miracles médiatiques qui débordent de tout sauf de finesse depuis déjà bien trop longtemps.

Qui croyez-vous intéresser en répondant aussi longuement, et en ayant l’air de le prendre au sérieux, à quelqu’un qui fait seulement - et depuis longtemps - ce pourquoi on le paie ?
Et si vous arrêtiez de prendre vos lecteurs pour des andouilles ?
Pensez-y, ça ferait gagner du temps à tout le monde.

Juste 2 cas….( plus le temps)

Le quinoa … aux crevettes de Mélenchon !

Mélenchon incite les Français à réduire la part des protéines carnées. Il suffit de comparer la haineuse et simpliste caricature d’Onfray à la hauteur de vue écologique et politique de Mélenchon sur l’épisode « quinoa » qui n’est qu’un symbole sur l’avenir des protéines végétales, ou les sujets abordés sont la nécessité de réduire la consommation de protéines carnées , la souffrance animale, la dénonciation des fermes des 1 000 vaches, la très forte augmentation de consommation de viande dans le modèle productiviste agricole actuel.
Un modèle agricole, radicalement nocif et destructeur pour la santé humaine comme pour l’état de l’environnement (…) aussi inutile que contaminant dans la société humaine. Dans le contexte de la crise climatique.
http://melenchon.fr/2016/09/06/encore-un-peu-de-quinoa/

1) Le beurre … dont le dictateur Castro prive son peuple par pur sadisme.

Que le gouvernement Cubain essaye de faire rentrer un maximum de devises étrangères par le biais du tourisme échappe à Onfray ou plutôt sert sa caricature volontairement. C’est pour cette raison que Mr Onfray a pu avoir du beurre à son petit déjeuner , aliment que les Cubains ont plus rarement mais qu’ils remplacent par de l’huile végétale. Il ne lui viendrait pas à l’idée que le tourisme est vital à l’économie de l’île et qu’il est malgré le blocus nécessaire que l’accueil réservé au touriste soit comparable en tout point aux îles avoisinantes de la Caraibe , comme par exemple sa principale concurrente St Domingue.

Bref , une diatribe caricaturale et simpliste qui laisse à penser que ce monsieur est perturbé et qu’il a des comptes à régler , principalement avec lui-même.

Les chiens peuvent danser et chanter tant qu’ils le veulent sur la tombe et la mémoire de grands hommes tels que Fidel Castro et Hugo Chavez, cela ne fera pas d’eux autre chose que des chiens !

Était-il nécessaire de parler encore une fois de Jean-Luc Mélenchon dans cet article ?

Je crois que je vais me passer du Grand Soir jusqu’à la présidentielle...

Quand un intellectuel, a comme seule force intellectuel un bagage hérité, plus au moins fidèlement, qui ni ne s’interroge et ni n’interroge son monde, cet intellectuel est un scribe au service de l’animal et nom pas de l’homme. Si l’animal est en chacun de nous, il est aussi dans les systèmes que l’on édifie. L’Homme est l’animal se sont toujours affronter souvent à mort. L’homme est le produit de la civilisation est l’animal est le produit de la nature quoi que leur maître à deux restent la nature en dernier lieu. Si l’animal reste toujours le même animal, le retour de l’homme à l’état animal passe obligatoirement par l’état de monstre, c’est-à-dire une entité sans équivalence dans la nature à qui la comparer.

Mon philosophe estimé, Michel Onfray est un scribe comme tant et tant d’autres que nourrit l’ordre actuel, l’ordre moderne. Pourquoi je dis un scribe et non pas un intellectuel ? C’est de tout le temps à travers toutes les civilisations, les scribes ont joué le rôle d’aliénateurs des peuples dans le sens de ceux qui leur enlèvent leur libre arbitre pour les maintenir sous les ordres établis et les dévoyer de la réalité de leur vécu et du monde de leur époque jusqu’à son effondrement souvent fracassant.
On remarque que du temps où le savoir et les enseignements de toutes sortes se transmettaient par l’oral essentiellement, les légendes comme procédé mnémonique étaient leurs supports. On retient plus facilement ce qui frappe l’imagination que son contraire. Donc, en tant que procédé de transmission oral, on n’avait pas trouvé mieux même de nos jours où on se sert d’un autre support l’image sonore, l’image métaphore ou l’image image.

On remarquera aussi que ce qui a influencé durablement les esprits des peuples se sont les religions, mais aucune n’avait été portée par un scribe ou un intellectuel mais par des hommes plutôt simple et même ne sachant ni lire ni écrire comme c’est le cas du prophète de l’islam. Tout ce qu’il avait apporté, il l’avait récité, raison pour laquelle le Coran continue à être appris par cœur et réciter. C’est sûr qu’on aurait aimé que les choses se maintiennent vivantes et progressent avec nos espoirs et nos besoins, mais non les ordres établis et leurs scribes finissent par les figer et les interpréter selon leurs besoins jusqu’à les rendre détestables. On en fait la même chose de toute pensée positive, constructive ou noble. Exemple : la démocratie est une idée, une pensée noble, mais ce qu’on en fait, est une autre chose.

Je me suis un peu éloigné de mon sujet qui était celui de parler de mon philosophe estimé, Michel Onfray. Ce qu’il ne sait pas et ce qu’il a perdu sans en être sûr qu’il l’a eu un jour sont les suivants :
- Il ne sait pas que les hommes forts, sont les hommes qui ne sont pas fascinés par la puissance. Seul les faibles sont fascinés par la puissance et cherchent à devenir puissant pour fasciner plus faibles qu’eux et les exploiter.
- Ce qu’il a perdu, c’est le sens de l’observation. Et n’ont le sens de l’observation que ceux qui ont un regard tourné vers l’extérieur et non pas vers leurs intérieurs dans lesquels ils ne peuvent observer que leur vanité.

ET quand on se laisse impressionner par les mots pour croire que c’est eux que font la vérité, c’est qu’on est mal barré pour se dire penseur même à la petite semaine. La vérité n’est qu’un reflet plus ou moins fidèle d’une réalité. Ce reflet se traduit par des mots qui doivent être d’abord neutre au moins à son propre niveau quand on n’en trouve pas d’autres au risque d’être incompris. .

S’il était observateur, il aurait observé que le mot dictateur n’est pas neutre dans la réalité, il dit une chose et son contraire. Si vous êtes chef d’un système dictatorial, vous êtes un dictateur, et ce n’est pas parce que le système change de dictateur périodiquement que le système n’est pas dictatorial et que ses chefs ne sont pas des dictateurs.

Il aurait aussi remarqué que seuls les pouvoirs des peuples qui résistent à ce système dictatorial qui régit tout par la force et les complots sont désignés de dictatures tandis que les pouvoir qu’ils imposent aux autres peuples par la force deviennent comme par enchantement des démocraties tant qu’ils restent soumis, car à la moindre résistance, du jour au lendemain ils deviennent des dictatures.

ET puis comment peut-il parler de Cuba sans avoir à l’esprit Haïti et autre pays de l’Amérique centrale.

Est t il besoin de comparer celui qui a fait avec une telle constance la dignite de son peuple et ce coq de salon sectaire qui ne pourra jamais dire que ’on ferait’. .Laisons le jouer dans son bac a sable,avec ses moules a pensees toutes faites avec ses camarades raphael en tout vain,le b h v de la pensee fine quelle crotte et ne prettons pas d’importance a leurs brailleries qui ne troublent meme pas le chant des oiseaux. P our des millions de gens tout simples l histoire est reelle et indiscutable . Cuba libre

Arrêtons une bonne fois pour toute de dire que M. Onfray est un "philosophe" : c’est un grand spécialiste de la Philosophie et un un excellent professeur de Philosophie.
L’historien ne fait pas l’Histoire même si c’est un Braudel et le physicien ne fait pas l’Univers même s’il s’agit de Galilée.
De plus je connais des "philosophes" qui sèment le chaos par exemple en Lybie ou encore en Ukraine.
Onfray vaut tout de même mieux que ça.

Selon M. Onfray, l’école républicaine devrait apprendre à lire, à penser, à déconstruire les mythes.

J’ajouterais à faire tomber les « philosophes » de leur piédestal.
La Philosophie est chose trop sérieuse pour la laisser aux « philosophes » (terme bien prétentieux).

Au sujet du quinoa : cela fait nourriture de la bien-pensance, il devrait rester une culture vivrière (en clair, comme d’hab’, on fout le bordel).
Il contient 16 à 18 % de protéine : les pâtes (à base de blé dur) en contiennent 13 %...

Sur Onfray comme sur quelques autres il suffit de se poser cette question ? Iriez-vous frapper à sa porte si vous aviez la gestapo aux fesses ?.....

Texte bienvenu sur LGS... qui me permet d’exprimer ce que je pense de la dérive actuelle de M.Onfray...

j’ai lu nombre d’ouvrages de M.Onfray en tant que philosophe, et lui dénier cette qualité me paraît complètement absurde et contre-productif, comme de le comparer à BHL-Botul, même si pour le cas, certains semblent se faire plaisir... il me paraît donc vain de lui faire un mauvais procès plutôt que de tenter de cerner ce qui nous occupe présentement et dont nous parle, à juste titre, l’article de Fr. André...

M.Onfray a écrit des livres intéressants, enrichissants et intelligents, tant qu’il exerçait son métier de philosophe, ... mais au fil d’une notoriété grandissante d’un travail exercé pendant des années dans l’ombre et le silence médiatique, et depuis que les feux de la rampe l’ont mis en lumière pour en faire une de ces nouvelles stars de la pensée qui devrait obligatoirement avoir un avis sur tout, il glisse dans une dérive qui semble ne pas s’arrêter...

je m’étais réjoui de l’entendre déclarer il n’y a pas si longtp, qu’il arrêterait de s’exprimer sur les sujets d’actualité, espérant qu’il retourne à son travail de philosophe... mais, la tentation et les sirènes médiatiques sont d’une puissance redoutable et les individus qui y résistent sont bien rares... son silence annoncé n’a donc pas duré, hélas...

je pense que tout le monde a à y perdre, et son dernier livre (Cosmos - 1è partie d’une trilogie) que j’ai lu avec peine, s’en ressent d’ailleurs, au point que je me suis dit que ce serait le dernier que je lirais...

décidément, il n’y a pas qu’en politique que l’ego produit ses ravages, et pour l’heure, sa pte vidéo est effectivement misérable, tant par son contenu que dans sa présentation, quand elle présente l’individu Onfray suffisant, voire méprisant pour tous ceux qui n’auraient pas compris ce que lui, du haut de son magistère, aurait décelé de la situation à Cuba... où je me permets d’ajouter à la suite de l’article de Fr. André, qu’il convient aussi de mentionner que cette île, régulièrement balayée par des tornades et des ouragans d’une violence rare, ne déplore pratiqmt jamais de victime quand dans les pays voisins, elles se comptent souvent par dizaines, même aux USA dont M. Onfray tente péniblement de redorer le blason à travers sa piètre démonstration...

Iriez-vous frapper à sa porte si vous aviez la gestapo aux fesses ?.....

((- :

En fait CN a tout résumé en une phrase...

Comme quoi on peut être un vrai "philosophe", (Ami de la sagesse), un vrai pragmatique, et pas quelqu’un qui se prend pour un demi-dieu.

Larguons donc Onfray sur son Parnasse en compagnie de ses amis les vautours néocons.

Et comme devrait le dire le Michel O. au sujet de son ego :"On’fray mieux de la fermer plutôt que de déblatérer des inepties".

Michel Onfray est soit mal éduqué, soit mal informé, il pourrait par exemple se renseigner auprès de Noël. Mamère qui rappelle (extrait) :

...
En 1959, Cuba n’était qu’un casino, doublé d’un bordel, aux mains de la Mafia américaine et de l’armée. L’île était devenue une quasi colonie des Etats-Unis. Durant les premières années de la révolution, Fidel Castro incarna les espoirs de la majorité du peuple cubain, qui fit ainsi des progrès étonnants en matière d’éducation et de lutte contre l’analphabétisme et devint l’un des meilleurs systèmes sanitaires au monde, au point que, avant Médecins du Monde, il développa le concept de diplomatie sanitaire, exportant ses médecins dans maints pays du Tiers-monde. [..]

Sur le tard, Cuba eut une politique écologique relativement innovante, aidée en cela par l’embargo américain qui permit, paradoxalement, de protéger l’île du tourisme de masse et de ses conséquences en terme de dégradation de l’environnement… Et Castro s’était converti ces dernières années à la lutte contre le réchauffement climatique.
...
Source : Noël Mammère La mort de Fidel Castro | Le Club de Mediapart

Cuba, île minuscule, fut aussi synonyme d’espérance pour toute l’Amérique Latine et pour les « progressistes » du monde entier. Avec la création de la « Tricontinentale », la Havane était devenue la patrie des anticolonialistes et le refuge de tous ceux qui fuyaient les dictatures latino-américaines, de l’Argentine au Chili, du Salvador au Brésil. De là, ils pouvaient s’organiser pour en finir avec leurs propres dictatures, même si leur pays de refuge était lui-même une dictature.

@ Beyer Michel
Votre pays à la chance d’avoir 3 (Trois) "grands philosophes", vous oubliez l’incomparable Finkielcrotte !

@ Frédéric André
Fallait-il vraiment se donner de la peine d’apostropher un charlatan en philosophie ; quand on a des visières comme les ânes et les mulets on les porte pour la vie.
Celui auquel vous vous adressez n’est pas près d’en comprendre le sens, buté qu’il est comme les ongulés cités ci-dessus !

Hélas, il n’est pas le seul à vouloir que son a priori soit une réalité. Charline Vanhoenecker ne fait guère mieux. Je l’ai écoutée hier sur Si-tu-écoutes-j’annule-tout. Il y a des choses qu’il est de bon ton de dire sans les vérifier. Que Fidel Castro soit un dictateur en fait partie. Ils nous balancent "des milliers morts", mais il faudrait leur demander où quand comment ? Je parie qu’ils n’en ont pas la moindre idée. Hors aucun interviewer ne leur demande de préciser d’où ils tiennent ça ni à quel segment de l’Histoire ils font référence. C’est le grand n’importe quoi.
Ces gens ont des lacunes. Il faudrait leur réclamer des précisions. Au lieu de les laisser professer, on devrait les soumettre à un contrôle des connaissances, de temps à autre.
Au fait ! Onfray, c’est pas le mec qui se soucie de contextualiser les faits ? En ce qui concerne Cuba, on ne peut rien comprendre si on ne contextualise pas.
J’espère que Onfray va s’indigner sur les milliers de victimes du médiator ( laboratoires Servier) et de la dépakine ( laboratoires sanofi) dont les patrons, messieurs en costards, circulent librement et sans honte. Et mille autres indignations quant aux dirigeants de l’industrie qu’elle soit chimique, alimentaire, nucléaire ou pétrolière qui nous intoxiquent au quotidien... Ne sont-ils pas des dictateurs ? Nous consultent-ils dans leurs choix stratégiques ? JAMAIS
Quant au beurre, quel argument cuculapraline ! Pourquoi vouloir trouver un aliment franchouillard dans un pays caribéen ??? C’est quoi l’intérêt du voyage si on exige de manger des standards de sa seule culture ? Pour un philosophe, c’est ... petit !

Les mensonges récurrents à caractère idéologique de "Michel Onfray mieux de se taire" discréditent l’ensemble de son oeuvre. C’est dingue le nombre de philosophes aigris revanchards que compte notre pays : "Onfray mieux de se taire", Finkiecrotte, Bruckner l’amuseur public, Zemmour la joie, etc...
Oh les gars ! C’est sur les divans des psycho-bobo-la-tête vos places pour soigner les traumatismes que vous avez subis au stade anal de votre croissance, pas à la télé ni à la radio ou dans la presse.

Était-il nécessaire de parler encore une fois de Jean-Luc Mélenchon dans cet article ?
Je crois que je vais me passer du Grand Soir jusqu’à la présidentielle...

Bon, à quelque part ce commentaire ne me regarde pas, n’étant pas Français.
Mais je trouve terrible de laisser passer une chance de changement ! Vous avez cette chance, incarnée en une personne certes imparfaite mais en qui vous devriez faire confiance pour une raison simple : ce Monsieur est conscient de l’histoire qui se joue. Et même s’il ne semble pas être prêt pour certains, je suis sûr que face aux responsabilité, il va en surprendre plus d’un.
M’enfin, vous pouvez toujours voter comme des suisses !!

« Depuis les premiers jours, la Révolution cubaine a également été une source d’inspiration pour toutes les personnes éprises de liberté. Nous admirons les sacrifices du peuple cubain pour maintenir sa propre indépendance et sa souveraineté face à la sinistre campagne impérialiste orchestrée dans le but de détruire les avancées impressionnantes réalisées au cours de la révolution cubaine… Vive la Révolution cubaine. Longue vie au camarade Fidel Castro. » Nelson Mandela 1991, en visite à Cuba et à soni ami Fidel Castro.
réponse d’outre tombe à Onfray.

Oui, Onfray est très décevant depuis qu’il fréquente les médias aux ordres..Il a la grosse tête, c’est dommage et de mauvaises fréquentations : Le Point et autres...
Quant à Mélenchon, effectivement si les Français le loupent, on pourra affirmer que ce sont des veaux .Peu de pays autour possèdent quelqu’un de cet acabit .

@ Vanhove
Le qualificatif de philosophe laisse dubitatif. Ami de la sagesse, c’est ce qu’il signifie en grec. Alors Onfray, Bhl et caetéra des "amis de la sagesse" ? Philosopher depuis Platon et Aristote et jusqu’à Descartes consiste à exercer sa pensée sur les phénomènes de la nature (la Physis) oubliant — et c’est l’apport principal de Heidegger — de penser l’être des choses : qu’est-ce qui fait qu’il y a des choses au lieu qu’il n’y en est pas ? À partir de Descartes, la philosophie est devenue celle du sujet qui ne pense plus la Nature que par rapport à lui. Le monde est devenu un objet à la merci du sujet. Tout ce processus s’apparente à de la philosophie, mais Onfray, aussi bon professeur qu’il puisse être, n’est pas un penseur, mais un intellectuel, un vulgarisateur de la pensée. En tant qu’intellectuel, il se situe dans une tradition française qui remonte à Montesquieu (Comment peut-on être Persan ?) en passant par Zola : un intellectuel tribunicien donc. C’est cet aspect là qui est récupéré par le système et sa diatribe anti-castriste fait furieusement penser au développement d’un procureur du temps de l’Inquisition parce qu’elle repose sur des représentations de type religieux (le vilain dictateur et le paradis des démocraties ; le beurre absent à l’heure du Dieu Marché, et tout à l’avenant.

Monsieur Onfray, Fidel Castro n’a pas seulement choisi la date de sa mort, j’ai remarqué une autre coïncidence douteuse : Le débarquement raté de la Baie des Cochons a été organisée le 18 avril 1961. Or il se trouve que le bombardement de Tokyo par des B-25 américains en 1942 s’est également déroulé un 18 avril, on peut légitimement se dire que c’est ce qui a mis la puce à l’oreille de Castro et lui a permis de déjouer les plans de Washington.

Mais plus fort que choisir le jour de sa mort, il y en a qui choisissent le jour de leur naissance. Ainsi Fidel Castro est né un 13 août, et comme par hasard, c’est également le jour anniversaire de Manuel Valls, autre dictateur hispanophone patenté.

@ Philippe...

Trop bon.

Mais Onfray sera-t-il capable d’en décoder le sens caché ?

Considérant l’intervention de Onfray quelque peu scandaleuse (dont très certainement sa seule référence est la lecture du livre de Jacobo Machover qui au demeurant a pollué insidieusement une grande partie des âmes bien pensantes) j’apprécie la mise au point de Frédéric André et trouve naturel que cette mise au point soit relayée par LGS.
Quand à Mélenchon, objectivement il est le seul à proposer un programme qui se veut au service du peuple. Maintenant, effectivement on peut avoir des doutes sur le personnage et sa "mégalo" qui pourrait enfler dans l’exercice du pouvoir. Ce n’est qu’un homme. Mais il ne pourra rien faire tout seul car il aura l’ensemble des forces capitalistiques sur le dos. De 2 choses l’une, nous sommes actifs dans notre soutien tant qu’il se conformera à ses engagements, et alors il demeure un espoir de redonner de la dignité aux 12 millions de français qui souffrent, soit nous nous en lavons les mains et toutes vos craintes seront auto-réalisatrices.....
Plutôt que de choisir une voix sans issue, j’opte pour celle porteuse d’une lueur d’espoir, étant entendu que nous serons tous responsables si nos espoirs sont anéantis. N’attendez pas d’homme providentiel, soyez vous-même la source de la providence.

Onfray a etale son ignorance sur cuba et je le rassure il y a bien du beurre a cuba, j en ai mange tous les matins durant 4 mois ! Certes c est un produit trop cher pour les cubains lais grace a qui ? Aux EU et a leur blocus immonde monsieur menteur ! Quant a l ecologie qu il ecoute le discours de fidel au sommet de la terre en 1972 a stokholm . Bref ce mec est de mauvaise foi et nous prend pour des cons, il en est pathétique, j espere au moins qu il gagne du fric pour dire de telles conneries autant refutables !

D. Vanhove
Je crois que personne ne peut denier à quiconque ce qu’il est. Seule l’histoire peut le faire, lorsque cela peut lui être permis et n’est pas trop prise par nos malfaisances.

Disons que je vous rejoins entièrement car nul n’est parfait et nul n’est prophète ni chez lui ni ailleurs. Tous les personnages sont des constructions plus ou moins proches de l’original, de la personne pour ainsi dire. Dénier à quelqu’un ce qu’il est, une personne ou homme sans distinction de sexe avant tout, est un crime que d’aucuns n’hésitent pas un instant à faire. Réduire une personne à l’esclavage par exemple et lui dénier le statut d’humain est pire que le déni de titre d’une personne, des titres d’ailleurs qui sont attribués et reconnus par le système lui-même qui ne le fait pas de bonne grâce et encore moins par désintéressement. Mais il faut comprendre qu’un système est un compromis et est toujours un moindre mal instable comme il existe en son sein, des forces saines et des forces malsaines qui ne se différencient pas par un insigne particulier. Et de ce fait, personne n’est prémuni d’être dans un camp ou dans un autre.

Si j’ai de l’estime pour Michel Onfray, estime que j’avais depuis que je le connais en tant que personnage public, il reste que je n’hésiterais pas à le démolir quand il s’attaque à un personnage révolutionnaire en essayant de le réduire à un médiocre dictateur, parce que ce sont des perspectives à notre humanité qu’il est en train de boucher juste pour nous atteler à la version ou le visage la plus détestable du ce système qui risque de nous anéantir. Risque palpable et réel et n’a rien d’imaginaire même l’animal en nous le sent. Et un animal pris de panique, c’est toujours dangereux.
La personne est morte et le personnage reste, aller dans le sens de ceux qui ont de tout le temps essayé d’assassiner la personne et maintenant qu’elle est morte ils s’en prennent à son personnage, c’est vraiment manqué de compassion quand-même. On peut critiquer le personnage, mais on ne peut pas espérer d’être distinguer des troupes des hyènes qui l’attaquent alors qu’on se range de leur côté.
Sur ce, salutations. C’est beaucoup plus pour vous compléter que pour vous contredire.

Je partage totalement le commentaire de D.Vanhove. Le complément de depassage est très intéressant.
J’ai suivi les publications de M.Onfray depuis son anti-manuel de Philosophie. Il faut admettre qu’il a fait un remarquable travail critique de l’institution Philosophique. Saluons aussi l’Université Populaire de Caen.
J’ai commencé à m’interroger quand il a commencé de produire des lieux communs sur la Révolution de 89, reprenant les poncifs sur Robespierre et la Terreur, semblant ignorer les travaux les plus récents qui infirment bien des clichés. C’est étonnant pour quelqu’un qui a fait par ailleurs un travail d’historien en portant l’attention sur des philosophes ostracisés par l’institution Universitaire.
Puis il s’est mis dans les pas des anti-pédagogues à la Finkelkraute et manifesté une méconnaissance évidente des travaux de recherche en éducation, et encore plus du travail quotidien de nombreux enseignants.
La puce à l’oreille a commencé de me démanger/déranger avec son travail original et iconoclaste sur Freud dont l’outrance à desservi le réel intérêt.
Je me suis toutefois abonné à son site, en essayant de faire la part de sa réelle attitude philosophique de celle du "journalisme" dans ses réactions à l’actualité.
Comme je l’ai écrit dans un précédent post ( https://www.legrandsoir.info/un-ami-est-mort-a-cuba.html#reactions ), mes derniers doutes ont été balayés par son "analyse" de Castro et Cuba.
Je me suis immédiatement désabonné (regrettant la somme versée non récupérable, mais tant pis !).
Je m’efforçais de finir Cosmos (car j’y lisais une tentative difficile et courageuse de philosophie populaire au double bon sens du terme)...Je vais finir par acquit de conscience, mais je m’arrêterai là.
Au bout du compte, le manque de documentation et d’enquête sérieuse sur quelques domaines que je connais bien, ont potentiellement délégitimé à mes yeux les enquêtes philosophiques originales de M.Onfray...J’ai plus confiance !

Ce cuistre sévit depuis tellement longtemps que Michael Paraire en a fait un bouquin :
Michel Onfray, Une Imposture Intellectuelle.
C’est ce qui s’appelle se faire tailler un costard pour l’hiver.
vous avez oublié une de ses saloperies : s’être attaqué à Jacques Prévert. Quand on s’en prend aux poètes, ça commence à puer, mais bon, facile, il était déjà mort.

Bref, Onfray n’est qu’un philosophe de pissotière, qu’une bouse qui colle aux chaussures de l’humanité. Je n’aime pas ces gens qui se disent de gauche et qui cirent tous les jours les bottes de impérialisme massacreur des vies humaines.

Une seule chose à faire :

conserver les photos et images des hommages rendus sur une place de la révolution noire de monde , et les jeter à la face des micro-fascistes donneurs de leçons.

J’ai enfin pu dégager 12 minutes pour écouter M. Onfray nous parler de la fabrication d’un mythe et comment s’y laisser prendre... ou non.
Mais le meilleur moment fut l’histoire de la crevette végétalienne du néo-écolo M. Mélenchon : succulente recette !...

Je réagiirais au commentaire de Depassage en citant une phrase de Rudolph Steiner tirée de son livre " philosophie de la liberté " :
« Il faut absolument vivre intérieurement les idées, sans quoi, l’on devient leur esclave. »
Ces pseudos philosophes ne sont en fait que des commentateurs aveugles, formatés et dressés à professer une pensée unique, bref, la servitude volontaire du philosophe matérialiste pour paraphraser la Boétie !

Déjà vers 2005, sieur Onfray disait les pires horreurs sur Hugo Chavez quand il répondait aux questions de l’université populaire de Caen. Il répétait les articles de Libération sur le Venezuela.
Onfray, je l’ai remarqué depuis une décennie ne connais rien à l’histoire, à la géopolitique ou la science. Il pioche juste ici et là des événements/éléments qui peuvent faire mousser ces idées "libertaires solaires" capitalistes. Bref, c’est juste un faiseur sophistiqué.
Vous ne l’avait peut-être pas remarqué, mais il est à depuis quelques années déjà dans le choc des civilisations, tendance crypto néo-con de gauche. Il excelle dans cet art bcp mieux que BhL qui a perdu toute crédibilité. Onfray, lui, est contre les interventions, mais néanmoins il est en guerre contre l’islam.
Subtile, hein ?
C’est sa haine du christianisme du petit peuple sud-américain et de Marx qui ont été ses moteurs contre Chavez.
Vous avez dit idéologue ?

(on peut retrouver la question Chavez dans les milliers d’heures de ses conférences sur FranceCul, Bon courage...!)

Il y a aussi des intellectuels "conservateurs (très) vieille France" comme Philippe Grasset qui rendent hommage à Castro pour son combat d’une vie pour la défense son pays de son peuple contre la sangsue américaine. Onfray est décidemment tout petit petit.
Fidel nous éclaire
http://www.dedefensa.org/article/fidel-nous-eclaire

Bonjour,
M. Onfray, je peux comprendre que vous soyez fidèle à la cuisine au beurre de votre région natale mais celle de Cuba me semble toute aussi appétissante et à première vue très colorée.

Enfin, le plus grave dans ce genre d’histoire comme le disait Camilo Cienfuegos : C’est toujours les meilleurs qui partent les premiers.

Longue vie au peuple Cubain (et les autres aussi) et remettez svp la musique, 9 jours sans ? Non ! Mais, ça ne va pas …. Les mauvaises langues vont finir par dire que M. Castro était comme tout bon démocrate français, en interdisant la musique pour cause de bruit et de tapage diurne .
Chien Guevara / l’Ami Cienfuegos
http://lafourmirouge.blogspot.fr/2012/10/camilo-cienfuegos-du-rouge-et-noir-cuba.html

Ben c’est du onfray, rien de bien nouveau.
Par contre la presse mainstream Réunionnaise a publié sur 2/3 de page un article de Bruno Guigne qui remet les pendules à l’heure.
J’en aurait presque pleuré de lire ça dans la presse. C’est le destin qui m’a envoyé là bas quelques jours.
On peut lire le billet sur son blog.
Chapeau les Réunionnais !

@Patrice
Dans la vie, tout ce reconnait par le biais du corps. Est corps ce qui tend vers son unité sans jamais l’atteindre à moins d’être un corps fermé dont l’existence réelle est improuvable mais peut être supposée.

Ce corps qui tend à son unité lutte contre tout ce qui peut le disperser et briser son unité et se présente sous forme de forces pour simplifier internes et externes. Pour garder son unité toute imparfaite qu’elle peut-être ou pour garder sa constitution et continuer à exister, l’échange avec l’extérieur lui est primordial même si justement ce qui peut lui nuire en vient aussi. Qui dit échange dit donner et recevoir. Exemple, il y a des corps qui prennent l’oxygène et donnent le gaz carbonique comme il y a aussi ceux qui prennent le gaz carbonique et donne l’oxygène.

Mais tout ne se résume pas à l’échange gaz carbonique oxygène, les échanges sont multiformes et complexes. On nourrit en nous des micro-organismes qui nous le rendent bien et d’autres nous portent atteinte.
Les corps qui tendent vers leurs unités pour exister peuvent se regrouper en un corps fort fait de plusieurs corps ce qui est le cas de tous les corps de plusieurs types, structurés ou sous forme de conglomérat, ou encore de type social comme la horde, la tribu, la nation….

« Il faut absolument vivre intérieurement les idées, sans quoi, l’on devient leur esclave. »

Cette citation est proche de la philosophie de l’ermite ou celui qui s’extrait du corps social et s’isole auprès d’autres corps sans qui il ne peut pas garder sa constitution ou survivre.

Pour un corps faisant partie d’autres corps en rapport.
« Il faut absolument interroger ses idées et continuellement les remettre en cause en aiguisant sa perception des choses pour un meilleur équilibre avec son environnement proche et lointain quoique le proche et le lointain ne sont que des vues de l’esprit car tout est en rapport avec tout d’une manière direct ou indirect. Et les idées sont des supports conceptuels des rapports et parfois fois rapports elles mêmes parmi beaucoup bien d’autres ».

Merci pour cet échange. Vivre intérieurement les idées peut signifier aussi les interroger ou ne pas les accepter telles quelles. Peut être que Rudolph Steiner veut dire que la liberté ne peut être qu’intérieur et nulle part ailleurs.

Est-ce que quelqu’un est capable, ici, de situer politiquement Michel Onfray ?
En lisant ses prises de position politiques successives, j’ai la tête qui tourne. Est-ce qu’on ne peut pas arrêter le manège, je crois que je vais dégobiller ?
Pour mémoire : en 2007, Michel Onfray a d’abord soutenu la candidature de José Bové, avant de se raviser et d’appeler à voter pour Olivier Besancenot, puis de se raviser à nouveau en optant pour le « vote utile », c’est-à-dire, à ses yeux, pour Ségolène Royal aux deux tours du scrutin. Avant de se raviser une dernière fois en découvrant soudainement que Ségolène Royal était une « candidate libérale ». Du coup, Onfray a exclu de voter pour elle avant de choisir, en guise de vote utile, de voter blanc. En 2012, Michel Onfray a annoncé qu’il voterait pour le Front de gauche, ce qui ne l’a pas empêché de se mêler de la primaire du Parti socialiste en apportant son appui à Arnaud Montebourg.

Onfray se situe dans la gauche bobomolle , insaisissable comme une méduse et dérivant au gré des courants ,
évoluant dans un microcosme parisien centre du monde, principalement préoccupé par l’ image de lui même qu’il peut renvoyer , pestant intérieurement contre la chemise blanche de BHL , il se cherche encore une posture, déchiré entre 2 voies différentes , il se verrait avec panache entrer franchement en dissidence sur les réseaux sociaux mais avec la certitude de perdre toute visibilité sur les médias qui le nourrissent, ou rester au chaud sous les "sun-lights" des studios parisiens et s’inviter à l’émission " maman les ptits bateaux".... Waterloo morne plaine, Cruel dilemme !

Beurre Tropical
Tout a été dit sur les turpitudes d’Onfray qui fricote avec les Merdias dans les messages précédents .
Les lecteurs Du Grand Soir ont vraiment du Talent
Mais produire du Lait et donc du Beurre sous les Tropiques est ce possible ? En tout cas pas pour la France qui n’en produit pas en Gwada Martinique Guyane et Réunion.
Le Beurre n’est évidemment pas un aliment de consommation régional .Il y a fort à parier que sous une colonisation Américaine les infarctus et maladies cardiovasculaires dus à cet avatar industriel occidental seraient légions (+ huile de Palme produite par des enfants )
Petit rappel de la leçon donnée aux Américains et à L’Afrique du Sud lorsque Fidel a envoyé un corps expéditionnaire en Angola pour soutenir le MPLA .Voir le Film "Cuba une odyssée Africaine"

copié/colé
C’est fou le nombre de ceux qui n’ont jamais rien fait pour que les choses changent ici qui se parfument de donner des leçons de révolution à ceux qui l’ont fait là-bas.
Un peu comme ceux qui entre deux bières et un rot refont le match devant leur télé expliquant à ceux qui l’ont gagné ce qu’il fallait faire pour mettre un but de plus que le score réalisé.
Il devrait y avoir des contrôles anti dopage pour limiter la connerie politique, cela nous éviterait de voir des Onfray Kouchner ou autres trainer dans les vestiaires.
Au fait, inquiétude de Canaille le Rouge. Dans ces moments où toutes les intelligences sont à mobiliser pour aider les cubains à s’extirper de leur état providence qui les incite à la paresse et au rejet de l’économie de marché, nous sommes sans nouvelle depuis au moins cinq jours de BHL. Aurait-il fuit avec N Morano qui a aussi disparu des écrans radars ? Une retraite dans une Villa de leur ami le roi du côté de Rabat ? Ou dans monastère autrichien voire ukrainien ? vous n’êtes pas inquiet vous ?
La Canaille lui, finalement ne l’est pas ; ça nous fait des vacances et avec les aboiements des chiens de garde, on en a bien besoin.
Rédigé par Canaille Lerouge

Dans les pays tropicaux on consomme peu de produits laitiers et notamment du beurre parce qu’il y a peu ou pas de vaches laitières comme l’ont déjà souligné quelques commentateurs.
Au Novotel d’Abidjan il y a du beurre au petit déjeuner mais il est importé de France. Dois je conclure que Ouattara = Castro ?
Cet Onfray est un clown.

Un candidat soutenu par Onfray est donc foutu d’avance, cf. Montebourg. Par ailleurs, d’une manière générale, et en particulier Onfray et Zoé (dont la presse nationale nous rebat les oreilles), on oublie que le capitalisme, le neo-libéralisme font en réalité immensément plus de torts aux populations et depuis bien plus longtemps que le castrisme en aurait éventuellement fait au peuple cubain.

A Laurentine, tout à fait exact. A lire pour preuve ce tres bon essai : https://www.amazon.fr/Capitalisme-structurel-m%C3%A9canismes-mondialisation-n%C3%A9olib%C3%A9rale/dp/2355120463. 10 millions de morts/an, quand même
.

J’ai vu sa vidéo !! il était ridicule, rouge de colère, mais qu’est-ce qui peut bien le toucher ainsi ?
Il a vu à Cuba, même, un chirurgien contraint de faire le taxi, et, de jouer de la guitare !!
Il s’est grillé Onfray, ne resteront à son écoute que les gentils toutous de l’empire !

Surtout que personnellement en France j’aimerai beaucoup pouvoir jouer librement de la guitare même dans un taxi en étant contraint de faire chirurgien.
La France pays du népotisme.
Dicton lunaire :
il y a une démocratie ? Ou ça ! Sur terre...

Sur les errements intellectuels de Michel Onfray, cette superbe tirade dans le point du 9/11/16 . (le sujet "Trump" n’a ici aucune importance)

Le Point.fr : Quelle est votre analyse de l’élection de Donald Trump ?
Michel Onfray : Elle montre que Marx avait tort de croire que le capitalisme travaille à sa fin et que la révolution s’avère dialectiquement inéluctable ! Le capitalisme est plastique et change en fonction de l’histoire. Il s’avère increvable.

Michel, le philosophe "Nid-de-chien", sais tout du devenir de l’humanité. Un vrai néo-petit curé-prêchant.
Dieu est mort, Marx est mort, Ainsi parlait Zazatousera...(Mietzsche)
http://www.lepoint.fr/monde/michel-onfray-trump-est-la-poupee-gonflable-du-capital-09-11-2016-2081911_24.php