Laurence PARISOT ... imprime sa marque au Medef ...


Le Figaro, 30 août 2005.


« Le seul moteur de la croissance, c’est de travailler plus »


- Ce nouveau contrat est pourtant vécu comme apportant davantage de précarité.

Mais c’est une illusion ! La vie, la santé, l’amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ?


- Dans le débat actuel sur les privatisations des sociétés d’autoroute, où vous situez-vous ?

On donne une dimension exagérée à ce type de problème et c’est un moyen de ne pas regarder les vraies questions. Celle, par exemple, de donner l’impulsion aux fonds de pension pour qu’ils soient de vrais acteurs économiques.


- Vous seriez favorable à une forme de discrimination positive ?

On ne peut pas appliquer ce concept à la lettre car il n’est pas légal en France de recenser les hommes et les femmes selon leur origine. Mais, dans l’esprit, oui, il faut aller dans ce sens. Nous devons avoir un rôle d’exemple et être capables de dire et de faire des choses positives.

- Lire :
www.lefigaro.fr/eco-entreprises/20050830.FIG0263.html


Et vive le CNE ! ! ! :<BR>
www.companeo.com/news/NES095PAGE.php


De retour au boulot, avec un « contrat nouvel embauche » ... par Gérard Filoche.

Flexibilité = zéro emploi, par Michel Husson.



COMMENTAIRES  

11/09/2005 12:22 par kokoriko

Il ne fallait pas s’attendre à autre chose de la part de la remplaçante du marquis de la Sellière qui n’avait qu’un mépris hautain pour les basses classes. Cette femme n’a qu’une
ambition c’est de démontrer qu’elle peut faire pire que ses prédécesseurs vu que c’est pas parce qu’elle est une femme qu’il faut la prendre pour une faiblarde,loin de là et vous allez voir ce que vous allez voir. Elle a déclaré que les chômeurs sont des feignasses et les rmistes
des morbaks payés pour se rouler les pouces. A quand des camps de travail pour les déviants
afin de les ramener dans la voie de la rédemption,et si ils peuvent plus travailler on fera des
expériences médicales sur eux afin de faire progresser la médecine. Encore un petit effort
Laurence et on y sera.

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