A première vue, en ouvrant les yeux donc :
"La priorité des hôpitaux est maintenant la rentabilité financière"... pour leur survie.
Mais quand on voit le grand train que mènent des cliniques privées, des chaînes de centres ophtalmo ou dentaires ou d’analyses, les laboratoires pharmaceutiques etc., alors on se dit que la priorité des hôpitaux est maintenant la rentabilité financière... du privé.
Cf aussi les ex PTT, l’ex EDF, l’ex Banque de France, l’ex GDF, l’ex SNCF, les Eaux et Forêts, et d’autres pans du service public de naguère où appliquer la concurrence libre et non faussée consiste à fausser le marché au profit du profit, et aux dépens des ex-usagers, maintenant clients.
Cf aussi l’éducation nationale en pleine perte de sens, sous-traitant en apprentissage et premier employeur de zombies "volontaires" à 750 euros le mois !
Ouais Geb, elle avait raison cette dame Hartemann. 1000 chefs de service avaient démissionné en refus des exigences de rentabilité. André Grimaldi aussi dénonce la perte de sens ; comme des milliers de soignants floués, exaspérés, même ceux qui continuent à bosser parce que c’est leur vocation / taf malgré tout.
Car la T2A, outre qu’elle détruit (l’esprit et le fonctionnement de) l’hôpital public et plombe la Sécu, favorise la main mise du gros capital sur le soin rentable, et elle installe la santé à deux vitesses. A l’anglaise...
Notre pays à dix millions de pauvres écoute LePen puis Zemmour accuser les migrants. Notre droite veut encore économiser sur les services publics. Notre ’gauche’ acquiesce et veut une armée européenne milice de la démocratie atlantiste contre les russo-chinois ou "contre" les terros plus ou moins marionnettes. Et moi je râle tout seul devant mon clavier.

En effet, témoignage émouvant et glaçant...les patients qui finissent par être chosifiés en "séjours" plus ou moins rentables, subissant ainsi la logique profonde à l’oeuvre dans le capitalisme de marché : la mercatisation puis la marchandisation généralisée de toutes les relations sociales, selon la rationalité des chiffres d’un calcul de rentabilité grossier.
Donc la fin d’un service public de Santé est froidement et savamment orchestrée, et ces derniers temps cela se fait sans vergogne : on continue de fermer des lits en pleine pandémie...
Bientôt c’est la sécu qui va y passer, et puis l’éducation ...
Au fond l’idéologie soviétique réelle pourrait apparaître un jour comme une douce utopie au regard de ce que produit le "totalitarisme de marché" bien réel à l’échelle mondiale.

Bonjour
Nombreux également sont les praticiens qui , par ce qu’ils n’en peuvent plus de se battre contre leur hiérarchie administrative , passent au privé .
L’objectif affirmé de Bruxelles est passer au privé tous les services publics .
Il y a des capitaux à investir en quantité et ils cherchent des secteurs avec forte rentabilité et beaucoup de clients ( des malades quoi )
La source de tout les maux c’est l’indifférence politique des français .

Un maintenant qui remonte à sarko le très intelligent qui casse le thermomètre pour faire tomber la fièvre, ca commence à faire long.

La tarification à l’activité une stratégie pour en finir avec l’hôpital public.
Cette stratégie a été mise place par Jean Castex dans les années 2005 son but transformer l’hôpital en pompe à fric.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_...
De 2005 à 2006, Jean Castex est le directeur de l’hospitalisation et de l’organisation des soins au ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale, où il participe à l’introduction de la notion d’objectifs et de rentabilité dans l’hôpital et à une rationalisation des coûts24 dans le cadre du plan hôpital 2007, qui introduit notamment la tarification à l’activité (« T2A »).

wikipedia est parfois de partie prix avec les "complotistes" (définition personnel "Ceux qui sont en désaccord avec la doxa") mais pour Jean Castex qui ne s’écarte pas de la doxa on doit pouvoir lui faire confiance.

Avec d’autres dans un collectif j’ai dénoncé cette imposture et nous avions prédit à l’époque les difficulté que nous rencontrons aujourd’hui pour nous soigner.

L’obligation vaccinale avec une injection non homologuée est contraire aux normes de droit.(Code de Nuremberg évoqué dans l’article Le procès de Julian Assange : un retour vers l’avant Nuremberg. Viktor DEDAJ ) :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Proc..
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_...
Les scandales qui émaillèrent l’histoire de l’expérimentation médicale indiquent qu’il était compris au début du xxe siècle que le consentement des sujets d’expérience était la condition première à remplir. Toutefois, ce consentement n’était demandé qu’aux sujets sains, pas aux sujets malades.

Cette obligation scélérate est le dernier clou dans le cercueil de l’hôpital.
Cette politique nous met tous en danger.