Bonjour,
Comme c’est étrange pourtant la douce France n’était pas emprisonnée dans l’Eurozone à cette époque et les yankees étaient encore fort occupés avec leur conquête de l’ouest .
Et bien ! Rien à faire, malgré un climat clément, des eaux thermales appréciées par de très bonnes et riches familles, celle de Paul Lafargue et de Marx préfère le brouillard pestilentiel de Londres, la capitale des Anglo-Saxons. Ces perfides tribus toujours à chercher des poux, dans le prestigieux état démocratique français et son triptyque aux lumières humanistes inégalables mais appliqué uniquement sur les murs. Et quelle ingratitude et manque de confiance envers cette éternelle bourgeoisie toujours en gouvernance actuellement, anoblie et émancipée par sa révolution qui n’en tolère aucune autre.