Caroline Fourest ou les réseaux de la propagande

Toujours avare de médiatisation et ne ratant aucune occasion de faire parler d’elle, la journaliste et essayiste Caroline Fourest, moins réputée pour la pertinence de son oeuvre que pour la série de mensonges, de diffamations et de manipulations de l’information qu’elle contient ; la "sérial-menteuse", comme la qualifie si bien le célèbre politologue Pascal Boniface, est aujourd’hui à l’origine d’une série de reportages intitulés "Les Réseaux de l’Extrême", dont le premier épisode, diffusé le 5 février dernier sur le service public français, est consacré aux "Obsédés du complot". Elle y dénonce ceux qu’elle se plait à appeler tout au long du reportage les "complotistes", ceux qui selon elle "voient des complots à chaque coin de rue" quand en réalité leur crime est de ne pas se fier aveuglément aux informations relayées de concert par les médias de masse et de proposer une autre explication des faits marquants de la géopolitique moderne (11 Septembre, remodelage du moyen-orient, révolutions arabes...). Un crime de lèse-majesté donc, dont les coupables sont tour à tour décrédibilisés par tous les moyens par la journaliste, qui s’attaque ainsi aux sites web d’information alternative tels que le Réseau Voltaire, ReOpen911, AlterInfo et j’en passe, ainsi que leurs directeurs.

Celle qui a déjà été condamnée par le Tribunal Correctionnel de Paris le 9 octobre 2012 pour diffamation nous revient donc aujourd’hui avec un reportage qui enchaîne encore et toujours les contre-vérités, les mensonges et les techniques de manipulation de l’opinion. En effet, la récidiviste s’est cette fois par exemple permis le luxe de retranscrire faussement l’échange entre deux militants de l’association pour la réouverture du dossier sur le 11 Septembre, ReOpen911, qui débattent sur la possibilité d’une éventuelle implication du Mossad dans les attentats. Le sous-titrage proposé au téléspectateur déforme ainsi littéralement les propos de l’un des deux militants de l’association, qui selon la retranscription déclarerait avant d’interrompre sa phrase : « Ce qui est intéressant avec le Mossad, c’est qu’il y a des agents qui se sont fait passer… ». Or, en réécoutant attentivement le passage situé à 19’22, il est bien clair malgré le bruit de fond que le sympathisant ne prononce pas le mot "passer" mais "pincer". Il ne coupe donc pas sa phrase, et son propos prend alors tout son sens puisque, effectivement, cinq Israéliens se sont fait "pincer" par la police du New Jersey, le jour même des attentats, puis ont passé 71 jours en détention avant d’être rapatriés à Tel Aviv, niant leur appartenance au Mossad. Ce n’est qu’un an après que des membres du contre-espionnage américain révélèrent l’appartenance d’au moins deux d’entre eux aux services secrets israéliens.

En dénaturant délibérément les propos de cet homme, cette pseudo-journaliste a donc délibérément enfreint le code de déontologie du métier de journaliste ainsi que les règles et principes de diffusion du groupe publique France Télévisions. Mais ce n’est pas tout. Le reportage entame sa deuxième minute en présentant une série de livres illustrant le commentaire suivant : « …ces livres vous promettent d’étonnantes révélations sur l’Apocalypse et le terrorisme… ». Parmis ces ouvrages figure celui d’André Bouny, fondateur de l’association DEFI Viêt Nam, intitulé "Agent Orange - Apocalypse Viet Nam". Le fait est que cet ouvrage n’est en rien lié au sujet, et encore moins au commentaire de Mme Fourest, puisqu’il s’agit là d’un ouvrage traitant des maladies causées par l’Agent Orange, herbicide utilisé par l’armée américaine durant la guerre du Viet Nam afin de défolier la forêt et empêcher la dissimulation de l’ennemi. Cet ouvrage est reconnu comme une référence sur le sujet par la communauté scientifique. L’auteur du livre en question s’est d’ailleurs empressé de réagir : "Auteur de l’ouvrage Agent Orange - Apocalypse Viêt Nam, je suis indigné qu’une animatrice de France Télévisions S.A. (société financée par l’argent public), se prétendant « journaliste », se serve de l’image de couverture de mon livre - qui relate de façon exhaustive l’immense souffrance de millions de victimes vietnamiennes malheureusement bien réelles - dans le but d’étayer le commentaire suivant : « … ces livres vous promettent d’étonnantes révélations sur l’Apocalypse (sic !) et le terrorisme… ». Elle vise ainsi à faire croire au téléspectateur que l’éditeur en question publierait des ouvrages suspects, peu crédibles voire parfaitement farfelus".

Il ajoute : "Il est pathétique et affligeant de voir et d’entendre Mme Caroline Fourest prendre appui sur la couverture de mon ouvrage (qui fait autorité sur ce sujet), pour conforter sa pensée binaire, confirmant par la même occasion ses lacunes et son inculture. Car j’imagine qu’elle ne sait absolument rien des drames effroyables qu’a provoqués l’utilisation militaire à grande échelle de l’Agent Orange pour s’être focalisée à ce point sur un mot du titre…L’ignorance crasse de cette animatrice est par ailleurs démontrée en creux par ses propres confrères du service public qui ont encensé mon ouvrage, salué à la fois par des membres de la communauté scientifique internationale, juridique, et d’autres pointures dans les différentes compétences d’expertises ayant trait au domaine de l’Agent Orange."

De ce fait, soit Caroline Fourest fait preuve d’une ignorance complète au sujet de l’Agent Orange, soit les ouvrages exposés pour étayer son argumentation sont choisis au hasard. Dans tous les cas, la journaliste démontre là soit son incompétence, soit sa mauvaise foi, soit les deux. Si tant est qu’elle ne l’avait pas assez démontrée par l’ensemble de son oeuvre. L’acharnement par lequel elle s’obstine à décrédibiliser par tous les moyens les "complotistes" en devient vite ridicule et à travers ce reportage transparaît clairement la volonté de jeter le discrédit sur tous ceux qui proposent une autre réalité. La propagande n’est-elle pas plus dans la volonté de museler toute source d’information alternative plutôt que dans la volonté de proposer aux citoyens une information différente et lui permettre de faire son choix ?

Lahcen Senhaji

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Voici le reportage en question : https://www.youtube.com/watch?v=LXZQnje4K4s

COMMENTAIRES  

14/02/2013 12:53 par babelouest

Toute personne qui voit des complotistes partout, surtout là où ils ne sont pas, est forcément une personne complotiste : en bonne logique, elle doit donc s’auto-fustiger dans l’exacte mesure où elle fustige ceux qui ne pensent, ne raisonnent, n’agissent pas comme elle. Et d’autant plus violemment doit-elle s’accuser, que ceux qu’elle montre non du doigt, mais du poing, voire plus, se contentent la plupart du temps de ramener au grand jour une réalité objective que la doxa officielle refuse de dévoiler.

Y aura-t-il, dans cette perspective, une nouvelle CF à Fleury-Mérogis, traînée là par elle-même malgré la plaidoirie de ses avocats ? On n’est plus à un paradoxe près.

14/02/2013 15:01 par calame julia

Concernant l’Agent Orange, c’est ici que j’ai appris ce qu’était cette saloperie et de quelle manière
certains l’ont utilisée. J’avais fait lire l’article à ma fille vingtenaire.
L’auteur du bouquin est obligé de réagir pour une raison imbécile cad une présentation du livre
hors contexte.
Aucune générosité n’apparaît lorsque la journaliste en cause parle et/ou essaie de convaincre
un interlocuteur ; quand à la lecture d’un minimum de fraternité...

14/02/2013 20:04 par H H

L’auteur de cet article cite toutes ses sources sauf celle relative à l’altération commise par Caroline Fourest http://oumma.com/15788/11-septembre-caroline-fourest-flagrant-delit-bidonnage

15/02/2013 00:20 par yann

Au moins, le public laïc et progressiste aura découvert avec certitude qu’elle est une sérial menteuse et donc puisqu’elle anime une autre émission sur "l’islamisme", il comprendra mieux qu’il s’agit là aussi d’un mensonge contre une autre population "dangereuse", d’un côté les militants dangereux, de l’autre les classes dangereuses : Stigmatisés de toutes opinions, unissez vous !

15/02/2013 02:27 par ADSkippy

Que Caroline Fourest est une provocatrice, opportuniste, ignorante, naïve et stupide, ne la dérange pas puisque, l’essentielle c’est qu’on parles d’elle. Moi, tout ça ne me gêne pas trop, car des laquais, "journalistes", réactionnaires et défenseurs des intérêts de leurs maitres, sont nombreux. Par contre ce qui me gêne beaucoup, c’est qu’un service d’information publique se laisse manipuler ou, plus grave encore, participe délibérément, a une campagne de désinformation et d’escroquerie intellectuelle.

15/02/2013 09:59 par lejournaldepersonne

Fourest Grimpe
http://www.lejournaldepersonne.com/2013/02/fourest-grimpe/
Enfin quelqu’un en face de Personne... bienvenue Caroline !

Émeline : Enfin quelqu’un en face de Personne... bienvenue Caroline

Caroline : je vous remercie Émeline

Émeline : je m’appelle Lou, je ne m’appelle pas Émeline

Caroline : j’ai fait ma petite enquête sur vous... vous vous appelez Émeline

Émeline : vous devez avoir un léger strabisme... vous auriez dû lire maline... c’est plus malin au féminin, n’est-ce pas ?

Caroline : changer de mine... ça ne change pas votre patronyme

Émeline : vous adorez... c’est fou ce que vous adorez faire passer les choses de l’ombre à la lumière.

Caroline : je n’en suis pas peu fière... je suis pour tous mes détracteurs un lapsus révélateur... le logiciel anti-virus, le seul qui distingue encore distinctement un corps sain d’un corps malsain... je parle de corps de doctrine bien sûr !

Émeline : heureusement que vous n’avez pas fait médecine... sinon vous auriez saisi qu’il n’y a pas plus malade qu’un corps drapé de moraline...

Caroline : je suis journaliste d’investigation... et analyste par la force des choses... et par la force des choses un peu généalogiste... je remonte jusqu’aux gênes du bien et du mal... qui sont à l’origine de toutes les malversations, de toutes les exactions... c’est mon job.

Émeline : vous n’avez jamais été tentée de vous démonter vous-même ?

Caroline : tant que l’horloge fonctionne, il n’y a aucune raison de la démonter... l’heure c’est l’heure et comme j’aime le jazz, je la donne de bon coeur.

Émeline : mais on m’a toujours appris qu’avant de tenter sur les autres, a moindre analyse, il faut commencer par s’analyser soi-même... c’est un principe de précaution.

Caroline : c’est affreux, le freudisme... que vous me fredonnez... Non, je n’analyse pas l’âme, madame, mais je fais comparaître certaines analyses devant le tribunal des faits... les faits qui sont faits... et que nul n’a le droit de défaire ou de refaire. Rien ne va plus... on ne refait pas le match.

Émeline : en somme, vous vous sentez dans la peau d’une femme de ménage... vous nettoyez un peu tout autour de vous...et si je relis vos livres, je m’aperçois que vous lavez encore plus blanc que vos propres confrères... vous êtes bel et bien madame propre.

Caroline : n’essayez pas de me déstabiliser... vous savez, j’ai toujours eu les pieds sur terre... je marche toujours droit et je reste toujours debout quoi qu’on en dise.

Émeline : Femme de ménage, qu’est-ce que je raconte ? vous avez l’âme d’une bonne soeur.... d’une prêtresse des temps modernes... qui a toujours fait prévaloir l’ordre moral en distinguant le bien qui fait du mal , du mal qui fait du bien... moi je dis : chapeau bas l’artiste.

Caroline : cessez de vous foutre de ma gueule... je suis insensible aux blâmes comme aux louanges... je fais ce que je dois faire... mon devoir, point barre.

Émeline : est-ce que je vous manquerais de respect si je vous disais que vous donnez l’impression d’être mal aimée ? Remarquez : je n’ai pas osé dire : mal baisée... et même si tous les faits me contredisaient je continuerais à dire que cette Caroline ne doit pas beaucoup prendre son pied. Et pour cause : votre adrénaline est investie dans des choses beaucoup moins anodines.

Caroline : encore une inversion de sujets : je ne peux pas être mal baisée puisque c’est moi qui les baise.. et comme je fais souvent très mal, il faut croire que je les baise bien.

Émeline : Non. Vous ne les baisez pas... sinon vous n’en ferez pas tout un cinéma... vous aimeriez bien le faire... mais vous avez du mal à le faire... du coup, vous les imaginez en train de le faire ... en vous masturbant soigneusement dessus... puis vous mettez le tout bout à bout et vous vendez le scénario à France Télévision.

Caroline : autrement dit, je baise tout le monde : les médias, les médiatisés et les médiateurs... pour qui vous me prenez ?

Émeline : pour quelqu’un qui passe à la télé parce qu’il a réussi à regrouper trois corps de métier : concierge, détective et balance. Une sacrée prouesse pour un petit bout de femme.

Caroline : vous m’enviez on dirait ?

Émeline : on a dit les fait Caroline et pas l’interprétation des faits... même si je reconnais que vos interprétations font beaucoup d’effets... et pour une raison très simple : parce que ça reste très général... ça interpelle facilement le genre humain. Au royaume des aveugles ... vous êtes la reine qui ne voit que d’un oeil. Vous pouvez raconter n’importe quoi... ça passe comme une lettre à la poste.

Caroline : vous avez l’air de sous estimer le grand public. Élitiste de mes deux ! C’est lui qui vote. C’est lui qui choisit son programme à la télé... vous n’y pouvez rien... à chaque fois que j’y passe... je laisse des traces. Dans le métier on appelle ça le coefficient de crédibilité.

Émeline : pas de charme entre nous... ne soyez pas plus bête que ce que vous êtes... vous le savez... moins c’est relevé comme niveau et plus ça plaît... vous ne faîtes pas de l’info mais du divertissement... vous nous reposez de la vérité, en nous racontant des débilités...

Caroline : vous avez regardé mon film sur la 5 hier soir ?

Émeline : un plot qui se moque des théoriciens du complot. Non... je ne voudrais surtout pas être méchante ou désobligeante. Je vous ai trouvé haineuse plutôt que glorieuse... vous black-listez les gens comme au bon vieux temps sous l’occupation. Vos propos m’ont donné envie d’aller voir et revoir de près, tous ces gourous auxquels vous avez coupé le sifflet... leur délire m’a semblé plus crédible que votre délire.

Caroline : vous n’allez pas me dire que vous aussi vous approuvez ces conspirationnistes ?

Émeline : en un seul mot ou en deux mots ? Non je me moque de vous parce que vous avez du mal à vous moquer de vous-même. Le plus intéressant ce n’est pas de savoir s’il y a eu complot ou pas complot... mais de savoir jusqu’à quel point il n’y a PLUS D’INFO.

Caroline : pour dire vrai, je ne sentais pas cette confrontation... on m’a prévenu que ce serait surfait... sur-joué... scénarisé, mais bon tant pis ! J’assume comme j’ai toujours assumé.

Émeline : pour en revenir à votre émission, il n’y avait pas plus de raison de croire que l’Irak détenait des armes de destruction massive que de croire qu’Al Quaïda était le seul instigateur et réalisateur de son forfait. Et pourtant, des gens comme vous ont cru et continuent de croire ces deux versions ou diversions.

Caroline : moralité : vous vous rangez du côté de ces détraqués qui s’inventent des trucs pour faire régner la peur, la terreur... le désordre et la discorde.

Émeline : je ne suis Personne et je ne rejoins Personne mais je fais encore la différence entre vivre et raconter... entre ceux qui ont le droit de l’ouvrir comme vous et ceux qui ont le devoir de la fermer comme eux.

Caroline : ils l’ont déjà ouverte, comme ce Thierry Meyssan , comme Soral, comme Cheminade... mais personne ne les a suivi, parce que tout le monde a bien vu qu’il n’y avait rien derrière la porte... ou plutôt si : leur propre sentinelle... la sentinelle du néant propre à tous les négationnistes.

Émeline : en tout cas, pour vous c’est le cas. Parce qu’à part pour votre légende personnelle, je ne vois pas l’intérêt de vous en prendre à tout ce qui se situe au-dessus de votre niveau de conscience... mais je le sais on n’a pas le droit de reprocher à une naine d’être un nain.

Caroline : une naine... peut-être... un peu vilaine... sans doute... mais qui ne fait de mal à personne.

Émeline : surtout pas vilaine mais hautaine surtout... et qui ignore tout le mal qu’elle fait... parce qu’elle simplifie à outrance en indiquant certains remèdes et en contre-indiquant certains poisons... vous êtes bien le médecin imaginaire qui ferait mieux d’aller se faire soigner. Ou de prendre des cours de pharmacologie.

Caroline : parce que j’ai osé affronter tous les démons de l’extrême... parce que j’ai montré les vrais visages de Le Pen, de Ramadan, de Meyssan ? Parce que j’ai démonté tous leurs montages et remonté jusqu’au coeur de leurs messages ?

Émeline : c’est ce que vous croyez. Vous n’avez rien fait d’autre que rappeler que tout le monde est beau... que tout le monde est gentil et qu’il ne faut surtout pas prêter l’oreille à ceux qui prétendent le contraire. Je ne sais pas si vos adversaires sont dans le vrai, tout ce que je puis savoir c’est que vous, vous ne l’êtes pas... loin s’en faut. Il suffit de bien vous écouter pour en avoir le coeur net et savoir que vous n’en savez rien. Rien sur le concert des nations. Rien sur l’Islam, rien sur l’extrême droite, rien sur l’extrême gauche, mais tout sur votre centre qui est partout et sa circonférence nulle part. C’est ce que Sartre appelle une putain irrespectueuse.

Caroline : vous dénigrez vous aussi le printemps arabe ?

Émeline : non... tout ce que je dis c’est qu’il n’y aura pas de printemps pour Caroline chérie !

Caroline : vous me menacez ?

Émeline : encore une analyse foireuse. Je veux dire que la Révolution se fera sans doute sans vous.... et peut—être même contre des gens comme vous qui distribuent gracieusement les plus mortels des somnifères.

Caroline : vous êtes une intrigante, voilà ce que vous êtes

Émeline : pourquoi je vous ai intrigué ? Je vais vous dire ce qu’il faudrait retenir de notre petite virée : nous n’avons rien dit d’essentiel et pourtant nous avons retenu l’attention, pourquoi ? Parce que c’est très facile... de faire semblant... et c’est ce que vous faîtes tout le temps... semblant de voir dans le noir. Semblant de jouir auprès de tous les impuissants.

Caroline : trêve d’amabilité : Personne comme votre nom l’indique vous n’impressionnerez jamais personne...

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