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Bien sûr on ne tire pas sur les ambulances. Sauf que parfois...

Adieu au Parti Socialiste !

Symptôme des plus morbides : le PS français a choisi comme tête de liste pour les élections européennes... un gamin qui vient de la droite néo-libérale, pour ne pas dire de l’extrême-droite ! En son temps, cet étrange personnage a rédigé un livre d’entretien avec... Mikheil Saakachvili – une créature mafieuse des Etats-Unis qui fût président de la Géorgie entre 2004 et 2013. A l’époque, celui qui deviendra tête de liste pour le PS milite activement en faveur de l’adhésion de la Géorgie à l’OTAN et se dit proche de... Nicolas Sarkozy. Bravissimo au PS français ! Mais à y regarder de plus près, loin d’être un accident, cette chute abyssale correspond tellement aux régressions historiques d’une actualité qui se caractérise par l’implosion dramatique du politique !

Le Parti travailliste israélien a atteint péniblement 5%, lors des dernières élections législatives. En tombant, le Mur de Berlin n’a pas fait qu’aplatir les partis communistes traditionnels, il a aussi emporté les Sociaux-démocrates qui ne se sont jamais remis – eux non plus – de la disparition d’un modèle économique alternatif. A partir des années 1980, les partis socialistes européens abandonnent le front des luttes économiques et sociales pour se replier sur la défense des minorités et des revendications sociétales les plus curieuses. En France, la mutation s’est opérée dès 1983, lorsque François Mitterrand a cédé à Jacques Delors et d’autres visiteurs du soir : le franc restait dans le système monétaire européen et sa logique de contraintes budgétaires. Le rêve des années Mauroy s’abîmait dans une reprise en main sans illusion, orchestrée par des petits voleurs de Bercy. Déjà !!!

UN FOSSOYEUR NOMME MITTERRAND

François Mitterrand avait dit qu’il laisserait le Parti socialiste dans l’état où il l’avait trouvé. Il a tenu parole ! Son bilan ? Maigrichon : à part l’abolition de la peine de mort, l’économie française fut restructurée selon les directives de la Banque mondiale et de la Commission européenne, prête à se conformer aux exigences à venir de la mondialisation néo-libérale. La réforme de l’Etat ne connut pas le plus petit début de mise en œuvre. Les lois de décentralisation (qui devaient être prolongées par une seconde réforme ambitieuse censée entreprendre la régionalisation de notre vieux système jacobin) tournèrent vite en une simple déconcentration redonnant encore plus de pouvoir aux administrations centrales.

Inventeur de La Trahison permanente, l’auteur du Coup d’Etat permanent se vautrait complaisamment dans tous les privilèges du système de prébendes de la monarchie républicaine. Ses maîtresses et sa fille cachée émargeaient aux deniers de l’Etat. Il faisait de l’escroc Bernard Tapie un ministre de la République. En politique étrangère, Roland Dumas réussit à lui forcer un peu la main en faveur d’une tardive reconnaissance d’un Etat palestinien. Mais François Mitterrand se laissait abuser par les boniments du voyou Bernard Kouchner qui l’emmenait à Sarajevo trahir notre vieille alliance greco-russo-serbe.

Le 24 juin 1981, François Mitterrand expliquait à George H. Bush, alors vice-président des Etats-Unis, pourquoi il venait de nommer quatre ministres communistes : « les communistes ont accepté de s’humilier en échange de quatre postes gouvernementaux (...). Je peux parfaitement les renvoyer s’ils ne font pas l’affaire (...). Ils seront, de force, associés à ma politique économique et seront donc dans l’impossibilité de susciter des remous sur le plan social ». Sans oublier qu’à l’époque, pour continuer à rassurer Reagan, 47 diplomates soviétiques furent expulsés, soupçonnés d’espionner la France.

Avec Lionel Jospin, l’aventure va tourner encore au plus pathétique. On se souvient qu’il dû fuir l’université de Beir Zeit (Palestine) sous une pluie de pierres après avoir déclaré que le Hezbollah était une « organisation terroriste ». Son complice Pierre Moscovici dressait alors la liste des accompagnateurs laxistes et des sorcières à mettre au bûcher. Quelque temps plus tard, on retrouvera ce triste sire dans différents ministères, dont celui des finances, avant qu’il ne soit mis au chaud à la Commission européenne ! Avec sa jeune compagne, Pierre Moscovici fera les pages centrales de Paris-Match, très content de lui, barbotant dans la piscine d’un hôtel particulier d’une capitale européenne. Quelle réussite !

Symbole d’une « gauche » défunte convertie à tous les délices du néo-libéralisme mondialisé, Pierre Moscovici pilotera même un contrôle fiscal provoquant la faillite d’un grand journal tiers-mondiste ! Interpelé sur le dossier, il répondra très fier de lui : « Bercy est souverain du choix de ses cibles fiscales... ». Quel homme ! Non content d’avoir privatisé nombre d’entreprises publiques, dont les sociétés d’exploitation d’autoroutes, Lionel Jospin – aussi raide qu’arrogant – ne sera pas au second tour de l’élection présidentielle et quittera brusquement la vie politique emportant avec lui les dernières illusions du Parti socialiste français.

HOLLANDE SOUS LE NIVEAU DE LA MER

Avec l’élection de François Hollande, le parti passe sous le niveau de la mer, outrepassant les reniements et trahisons les plus inimaginables. En conférence publique conjointe avec Benjamin Netanyahou, le président de la République laisse insulter la République sans desserrer les dents. Le criminel de guerre israélien traîne notre pays dans la boue, appelant les Juifs de France et de Navarre à venir coloniser... les Territoires palestiniens. Renouant avec la plus pure filiation molletiste de la vieille SFIO, François Hollande se range, plus d’une fois qu’à son tour, dans le sillage atlantico-sioniste allant même jusqu’à vouloir déclarer une guerre... à la Syrie, bien-sûr au nom des droits de l’homme. Défense de rire, parce que Laurent Fabius vient de féliciter les « p’tit de Nosra (Al-Qaïda en Syrie) qui font... du bon boulot ! » (sic).

Heureusement, parlementaires britanniques et services étasuniens de renseignement ramènent les deux sociaux-traitres à une raison éphémère. Toujours est-il que l’ancien Premier secrétaire du parti socialiste entraîne notre diplomatie dans les impasses les plus contraires aux intérêts de la France. Au moment même où l’on embastille Julian Assange, sans que cela n’émeuve beaucoup nos droits-de-l’hommistes nationaux habituellement si prompts à défendre le bien contre le mal, il est opportun de rappeler que grâce aux télégrammes Wikileaks (l’organisation d’Assange), on apprenait qu’après le discours historique de Dominique de Villepin au Conseil de sécurité des Nations unies en février 2003 et l’opposition gaullienne de Jacques Chirac à une nouvelle guerre contre l’Irak, François Hollande et Laurent Fabius s’étaient rendus à l’ambassade des Etats-Unis à Paris... pour s’excuser de la position de la France ! Un tel aplaventrisme ne s’invente pas !

Résultat des courses : aux Proche et Moyen-Orient, la politique étrangère gaulliste, sinon gaullienne n’est plus qu’un lointain souvenir. L’avenir de cette région stratégique se décide, désormais sans la France. Propulsé à l’Elysée par Hollande soi-même, Emmanuel Macron force le même trait atlantico-sioniste avec l’aide zélée du rad-soc breton Jean-Yves Le Drian, pourtant militant pro-palestinien dans sa jeunesse. Le parti socialiste est mort et bien mort...

Mais en 2018, le cadavre bouge encore un peu. Les pompes funèbres propulsent à leur tête un député de la 11ème circonscription de Seine-et-Marne devenu président du « Groupe socialiste, écologiste et républicain (SER) » : Olivier Faure. Ce dernier va donner le coup de grâce. Le grand corps agonisant, qui peut désormais se réfugier dans une cabine téléphonique prend la décision historique digne de finaliser sa mort ultime : désigner une tête de liste médiatique à sa hauteur de mort... pour les prochaines élections européennes, et quelle tête !

Ce sera le jeune Raphaël Glucksmann... Cette fois-ci, le PS bascule bel et bien en dehors de l’histoire ! L’itinéraire du gamin est à l’image de cette ultime descente aux enfers. Fils de l’essayiste André Glucksmann – qui comme le décrit si bien Guy Hocquenghem, est passé du col Mao au Rotary, le jeune Glucksmann accumule avec détermination les plus beaux titres de noblesse atlantico-sioniste : traîner l’armée française dans la boue en l’accusant d’avoir participé au génocide rwandais, soutenir l’invasion anglo-étasunienne de l’Irak, nourrir une haine liquide à l’encontre de la Russie de Vladimir Poutine et une inconditionnelle admiration pour Benjamin Netanyahou... Tout aussi logiquement, il se retrouve dans un machin fabriqué par des copains fachos d’Alain Madelin : Alternative libérale, un micro-parti politique1 créé le 1er mars 2006.

GRÂCE A PAPA ALAIN

A part le fait de revendiquer quotidiennement les gloires passées de son géniteur, qu’a fait le jeune homme de si grandiose dans sa vie pour finir tête de liste du PS pour les Européennes ? En 2009, il rencontre Eka Zqouladze qu’il épouse précipitamment parce que celle-ci est vice-ministre de l’Intérieur de Géorgie (2005 – 2012). Le couple a un enfant en 2011. En 2015, il devient le concubin de la bécassine médiatique Léa Salamé. Le père de cette dernière – Ghassam – fait le siège assidu de Jacques Chirac qui finit par faire engager la petite à France-24. Promotion spontanée oblige, la fille prodige atterrit à France-Télévision. Voilà un couple qui promet ! Un nouvel enfant paraît...

Comme il se doit, et avec l’aide des amis de Papa, Raphaël passe par la « revue » de Bernard-Henri Lévy : La Règle du Jeu... Il adhère à un « groupe de réflexion néo-conservateur » du Cercle de l’Oratoire et participe à la fondation d’une revue – Le Meilleur des mondes – qui défend l’invasion anglo-étasunienne de l’Irak au printemps 2003, se faisant le porte-voix de tous ceux qui dénoncent l’anti-américanisme. Dans le premier numéro, le jeune Raphaël interviouwe le président tchèque Vaclac Havel qui lui déclare : « il est clair que la rhétorique de Bush sonne un peu plus vraie à nos oreilles qu’aux vôtres... » Havel se trompe lourdement, parce que le petit Raphaël adopte toutes les dernières postures les plus réacs de son pauvre père... en plus caricatural.

Cet engagement atlantiste compulsif l’amène à devenir un « conseiller officieux » du président géorgien Mikheil Saakachvili, une créature de Washington, mixe bâtard de Richard Nixon et Don Corleone. Dans Libération, qui lui ouvre complaisamment ses colonnes, Raphaël demande l’exclusion de la Russie du G-8 et du Conseil de l’Europe. Pas moins ! Après la défaite de Saakachvili aux élections législatives de 2012, Raphaël et son épouse géorgienne rentrent à Paris. Une nouvelle carrière commence.

De 2013 à 2016, le gamin donne dans la publicité, cogérant de la société Noé-Conseil, tout en tripatouillant des trucs pas clairs avec des formations fascistes impliquées dans la « révolution ukrainienne » de 2014. Par quelques miracles opaques des réseaux parisiens, il se retrouve bombardé « chroniqueur » dans plusieurs radios de service public : France-Info et France-Inter... En 2017, nouveau bombardement à la tête de la rédaction du Nouveau Magazine Littéraire dont la charte éditoriale prétend... refonder la gauche. Avec un tel personnage, c’est gagné d’avance ! Il suffisait de le dire...

REGRESSION NEO-PLATONICIENNE

Avec l’aide de Papa, il a publié cinq essais tous plus désopilants les uns que les autres. Pas folle la guêpe, au second tour de la dernière élection présidentielle, il déclare son soutien à... Emmanuel Macron et se proclame « fier » de la victoire de celui-ci. Après le premier tour des élections législatives qui suivent, il estime que « le parti socialiste est mort » !!! Toute puissance du signifiant : le même mort fait appel à lui pour bien confirmer sa propre mort. On vit une époque décidément formidable !

Au-delà des pantalonnades biographiques du jeune Raphaël, la décision outre-tombale du PS français dépasse les prédictions spengleriennes les plus funestes du Déclin de l’Occident, confirmant un état inédit de régression historique. Dans sa République, Platon nous avertit que le progrès historique constitue la plus grotesque des illusions parce que le temps qui passe ne saurait être qu’une mutilation régressive, continue, irréversible et dangereuse. Nous y sommes !

COMMENTAIRES  

21/04/2019 09:08 par Marianne

Bonjour,

Il y a des passages qui me déconcertent pas mal (à propos du génocide rwandais, notamment ) dans cet article mais paradoxalement, je trouve la conclusion plutôt réconfortante. Déculpabilisante, peut-être ? Je n’en ai pas assez fait, c’est vrai, particulièrement au cours de ces funestes années 80, le temps de la "pédagogie du renoncement" comme on disait à l’époque si je me souviens bien. Mais c’est pas QUE de ma faute :)
C’est important de ne pas se sentir trop coupable, on lutte d’un cœur plus léger ! Merci M. Labévière.

21/04/2019 10:08 par bidule

Ah les rad-soc... Les fameux "radis" rose dehors, blanc dedans

Illégitimes les gilets jaunes -le peuple français- après tant de décennies de trahisons de la "gauche" ?
Ne pleurons pas cette traînée, un beau mouvement social verra le jour du sein de cette base jaune qui rajeunit chaque samedi et s’éduque.
Les masques tombent, la vérité éclate, et tant pis pour les autruches.

21/04/2019 12:37 par Dominique

Mitterrand, auteur de la trahison permanente. Dire cela revient à oublier des décennies de l’histoire des socialistes qui, après avoir tourné résolument le dos à la gauche lors de la seconde internationale, se sont alliés avec la droite pour voter les crédits de guerre qui ont rendu possible la première guerre mondiale. Ils auraient pu s’allier avec les communistes et faire ainsi une vraie politique de gauche avec une majorité encore plus confortable. Après nous avons eu droit aux nazis, lesquels étaient socialistes et aujourd’hui comme hier, ils s’empressent de faire ce qu’a toujours rêvé de pouvoir faire la droite dès qu’ils sont au pouvoir, par exemple Tsipras en Grèce. Traîtres un jour, traîtres toujours !

Après les communistes n’ont de leçon à donner à personne sur ce sujet, eux qui, dès la première internationale ont toujours eu comme politique vis-à-vis des anarchistes de les utiliser quand cela les arrangeaient et de les exterminer le lendemain. De la Russie au Mexique en passant par l’Espagne, les exemples sont nombreux et têtus. L’histoire de la gauche est malheureusement celle de ses divisions et aujourd’hui, de quelque côté que nous regardions, elle est éparpillée en une multitude de sectes concurrentes si bien qu’il n’en reste rien ou presque. Il faut donc tout faire pour que des mouvements comme les gilets jaunes, les jeunes pour le climat ou extinction-rebellion s’unissent dans un grand mouvement de résistance et prouvent ainsi qu’ils tournent résolument le dos à l’ensemble des corrompus de gauche qui préfèrent cultiver l’anathème et la différence plutôt que l’action politique.

21/04/2019 12:58 par Jack Ote

Erreur, et pas des moindres. Ce n’est pas Jospin qui a privatisé les autoroutes, c’est Villepin sous Sarko qui a vendu les autoroutes pour une bouchée de pain.

21/04/2019 13:58 par Dominique

La raison qui fait que les communistes ont toujours été les ennemis des anarchistes est qu’au nom du productivisme, un système de travail où règne une hiérarchie féroce et sans pitié et qui a besoin de la finance, sa hiérarchie et ses inégalités pour exister, les communistes se sont toujours alliés à l’industrie maquée par la finance contre les peuples, c’est-à-dire avec l’extrême-droite. Nous pouvons le voir par exemple au Mexique où pour prendre le pouvoir alors que la révolution zapatiste était en train de triompher et que les communistes mexicains étaient ultra minoritaire, ils ont profité de l’occasion pour se faire maquer par les familles riches des USA, ceci afin de pouvoir se payer des armes US pour exterminer les anarchistes. Même scénarion en Espagne avec les communistes alliés objectifs des franquistes. Ou en Russie où Trostky, qui était tellement populaire qu’il commandait l’armée rouge depuis un train blindé, utilisait les anarchistes un jour pour combattre les blancs et le lendemain envoyait l’armée rouge finir le travail en lui faisant exterminer les anarchistes. Ou encore avec Bella Ciao, cette chanson antiproductiviste des Mondines transformée en chant des partisans que les deux bandes de cons qui s’entre peuvent chanter en allant au massacre au lieu de combattre les marchands d’armes et les banques qui les financent, au lieu d’exiger de leurs états et politiciens collabos qu’ils montrent l’exemple en matière de non-violence, ce qui reviendrait à les mettre en faillite et donc à les supprimer. Et jusque dans l’Internationale dont ils ont supprimés les lignes qui étaient trop anarchistes à leur goût du pouvoir qui les poussent à tout vouloir contrôler plutôt que faire de la politique.

La gauche, dès qu’elle n’est pas clairement antiproductiviste et internationaliste, n’est donc au mieux que la gauche du capital dont elle a besoin pour construire ce productivisme industriel qui nous enchaîne à une hiérarchie de plus, hiérarchie maquée par les hiérarchies préexistantes du pouvoir et du fric quelle renforce pour arriver in fine à la double catastrophe sociale et environnementale que nous subissons aujourd’hui, capital dont elle a besoin pour construire ce productivisme industriel qui nous aliène ainsi dans une sociopathie collective. Une telle gauche ne sert donc à rien d’autre qu’empêcher les peuples de s’unir et faire la révolution.

22/04/2019 01:09 par alain harrison

De fait, il y a un abîme entre l’idéologie et ceux qui la mettent en branle, et ceux qui la subissent, ce sont ceux qui en ont fait leur identité.
Les Gilets jaunes se méfient instinctivement.

Un vidéo à regarder (voir le faux du vrai et le vrai du faux, Krishnamurti)
Michel Onfray sur les Gilets jaunes : « On envoie la police protéger l’ordre des riches »
https://www.youtube.com/watch?v=6ExfE8NKz9A

Commentaires retenus :

thierry grigy
On a toujours besoin d’un M.Onfray chez soi ! Vive l’UPR et la France libre !

thierry christ
J’adore monsieur Michel Onfray il est toujours dans le ton juste

22/04/2019 08:55 par doucic

@Jack Ote
Le gouvernement Jospin a été un recordman des privatisations et est responsable du formidable casse généralisé sur le secteur public, sur fond d’injonction européenne bien entendu.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Privatisations_en_France#Gouvernement_Lionel_Jospin
On y lit également : "privatisation partielle des autoroutes du Sud".
Il n’y a donc pas d’erreur sur ce fait.

Le gouvernement Villepin a fini le sale boulot largement entamé par ses prédécesseurs.

23/04/2019 00:45 par alain harrison

Bonjour.

« « proche de... Nicolas Sarkozy. Bravissimo au PS français ! Mais à y regarder de plus près, loin d’être un accident, cette chute abyssale correspond tellement aux régressions historiques d’une actualité qui se caractérise par l’implosion dramatique du politique ! » »
L’implosion dramatique du politique.
La politique telle qu’on la connaît, a chevauché le système impérial pendant un temps, l’Angleterre est encore à l’époque de la royauté symbolique (la Reine), mais la France (la Ve République), elle est un état de droit-monarchique en quelque sorte. Donc nous pouvons dire que nous sommes encore dans la période de chevauchement. L’appel à une VIe République, dans la mesure où c’est le peuple organisé qui est aux manoeuvres de la Constituante, mettra un terme au système monarchique (la bourgeoisie moderne derrière la Ve République) ? Et dire que c’est la gauche (dans le choix de ses meneurs) d’après guerres qui a fourbé le programme du CNR en s’accoquinant, trop tôt, à l’européisation. À partir de quand la Ve République ?
Maintenant, il vous faut déboulonner tout ça, et c’est pas une mince affaire. Mais vous avez une certaine expertise, et deux à ne pas imiter : la Grèce de Tsipras et le Brexit. La FI-JLM "semble" mou face aux 4 sorties. L’UPR-Asselineau "semble" juré de sortir de l’UE ?
En fait, les partis qui sont réellement en faveur de la sortie, sont, semble-t-il, le PARDEM, le PRCF...…..
Mais des Tsipras, il y en plus qu’on pense. (le PCF et la CGT ????)
Tien un Macri PS (l’article) ?
Les Gilets jaunes sonnent l’alerte. Est-ce que le Peuple va s’en rendre compte. S’en rendre compte, c’est quand la maison brûle, et j’en sort. L’UE a mis le feu économique, faut-il en sortir ? Regardez, la Grèce a passé au feu de la finance économique. Macron, un pyromane économique ? Coup dont, Trump se prend-t-il pour Dieu, pour ainsi malmener le Monde. La Chine et la Russie sont aux mains de cartels politico-financiers aussi ? HA ! le productivisme idéologique, ça va durer et durer. Même ici au Canada-Québec, nos gouvernants affairistes sont en mode plus de productivisme. La mentalité des peuples en est rempli à ras bord. Il semble qu’il n’y est aucune alternative, ou organisation social-économique de possible ?
Et les communistes sont encore à penser l’idéologie d’il y a cent ans. Le libéralisme a tout simplement remis et remis de nouveaux maquillages sur son mode de fonctionnement. La PUB est sa dialectique.
Ce sont les solutions...……...

26/04/2019 03:47 par alain harrison

Bonjour.
La revue de presse de macron.
Il a remis de la fumée.

« « François Mitterrand avait dit qu’il laisserait le Parti socialiste dans l’état où il l’avait trouvé. Il a tenu parole ! Son bilan ? Maigrichon : à part l’abolition de la peine de mort, l’économie française fut restructurée selon les directives de la Banque mondiale et de la Commission européenne, prête à se conformer aux exigences à venir de la mondialisation néo-libérale. » »
La gauche est remplie de traître ?

La FI-JLM tergiverse un peu trop avec les 4 sorties. La FI deviendra-t-elle un repoussoir pour favoriser l’UMP-Asselineau (Tsipras) ?
Découvrons-nous que la politique, les périodes électorales sont basées sur les repoussoirs de service ?
Le FN pour faire gagner Macron (% ridicule). Et bien d’autres absurdités.

Le bout de phrase important :
« « « l’économie française fut restructurée selon les directives de la Banque mondiale et de la Commission européenne » » »

Mais le maître mot : restructurée
Sarko, Hollande et Macron (c’est un continuum) restructure non seulement l’économie, mais l’ensemble de la structure du pays, de la France.
Mais pas seulement, dans d’autres pays, la restructuration du pays se fait dans la même direction, que ce soit la Chine et sans doute la Russie comme pôle organisant la mondialisation de la marchandisation. Les autorités de tous les pays sont sous le joug de la finance, à n’en pas douter. Comment se fait-il que la Chine, au point où elle rendue, n’initie pas la Constituante-Citoyenne ? Parce que la nomenclature politique possédante veut verrouiller le système qui les favorise. La seule chose qui fait bonne image pour la gauche radicale, c’est son opposition aux US. Pour ma part c’est un Trump Oeil.
Marx a sans doute fait l’erreur d’instrumentaliser les grandes lignes de son oeuvre. Par exemple en mettant l’accent (fermé) sur la lutte des classes axé sur la compétition pour la survie des animaux sans tenir compte de la distinction entre nature et la culture.
Il a ainsi lui-même aboli toute alternative révolutionnaire, dont celle des anarchistes que les communistes se sont empressés d’éliminer de la compétition pour la conquête d’une alternative au système monarchique dépérissant (renouvelé par un nouvel habit de dominateur : les exploiteurs directes : chefs d’entreprises de la révolution industrielle), mais qui ont pris soins de placer un paravent : le parlement. Donc, les anarchistes et autres alternatives éliminées, il ne reste que le libéralisme pour la compétition de conquête du productivisme, car le productivisme crée de la plus value, n’est-ce pas. Et pour que le productivisme rapporte les plus rapidement, on laisse tomber le développement économique et social (équilibré) qui seul permet aux peuples de s’épanouir.
Si vous voyez ce que je veux dire, c’est que l’idéologie identitaire est purement improductif sur le plan de la véritable révolution.
Le Chili d’Allende était bien sur la voie, le Vénézuéla est paralysé par la guerre non conventionnelle US-UE-Canada...…...
Nous verrons bien jusqu’où la Chine et la Russie soutiendront le Vénézuéla, en réalité, ou ne servira pas de monnaie d’échange ?
Lors de la crise des missiles, la Russie n’a pas saisie sa chance. Qu’elle était la monnaie d’échange ? Ou bien, l’URSS a toujours été faible, justement parce qu’elle N’a pas su développer une économie sociale équilibrée. On peut bien critiquer les US, mais ils ont quand même su faire ce développement économique social "équilibrée", mais sans doute dopé. Aujourd’hui, nous savons que la richesse occidentale (économie social équilibrée) est basée en partie par l’accaparement extra-territoriale. C’est l’occident qui dicte
les prix. Maintenant, les US ($) le veulent avec le minimum de partage. Quand on regarde les politiques sociales de la Chine, on peut se poser des questions. La naïveté, la gauche a sa part.
Maintenant, commençons-nous (pas à partir de ce que je viens de dire seulement) à voir le système et à quel point il est verrouillé.
Macron va gagné, c’est évident.
Très bon manipulateur.
Comprenons-nous la mécanique du conditionnement et son corollaire, la manipulation ?
La prochaine élection, PS, tient un ptit nouveau anti..... ça reste à trouver…… et le FN comme repoussoir ? Ou la FI-JLM ?
Qui peut savoir ?
Macron et la vague antisystème, antisystème ben voyons dont.
Faudra ben de l’imagination pour en trouver un, un anti quelque chose.
Et dire que la FI se présente aux élections UE...…...
Un bon moyen pour la FI de diviser sa base...….. Je me demande c’est quoi.... La FI devait être un mouvement citoyen rassembleur.
Maintenant, les Gilets jaunes, ce mouvement citoyen……..
Mais déjà que des opportunistes représentent les GJ aux élections UE.
Comme il est facile de nuire.
Les solutions sont les dernières réserves contre la corruption politique affairiste ?
Quelles sont les solutions radicales qui seraient incorruptibles ?
On l’a vue, la révolution de 1917 a été financée par la finance, qui voulait se débarrasser de tsars, et voyaient, sans doute, les vastes plaines de Russie comme profits, mais qu’importe, la Russie converti en URSS faisait l’affaire, un bon ennemi pour faire marcher l’industrie militaire et les banques. La Chine, encore là, business has usual. Mais qu’arrive-t-il de la main-d’oeuvre ?
Il y a quand même une classe moyenne (environ 400 millions) mais qu’arrive-t-il des 7 ou 800 millions (la Chine a dépassé le milliard) ?
Les nouvelles politiques sociales et économiques ?
Faudrait peut-être réfléchir sérieusement, c’est pas nos états qui le feront pour nous, ils l’ont assez démontré. Macron vient tout juste d’en faire la remarquable démonstration. L’idéologie comme sauveur ?
Avez-vous des solutions, un agenda politique articulé et radicale que tous peuvent s’approprier ?
Le RIC, Macron l’a bien reconduit……..
Pour la gauche radicale le RIC est une bébelle de gauche bobo. Et par le fait même, les GJ sont des "enfants".....
Le peuple a toujours été instrumentalisé autant à qu’ à
Krishnamurti : la gauche est la continuité modifiée de la droite et vissé versa
Le point commun : le productivisme. Le productivisme sert à quoi ?
À développer, comme au Vénézuéla, mais dans quelle condition (nonobstant la guerre éco…). Sous Chavez, alors que le pétrole avait un bon prix, le peuple apprenait à s’organiser et à se construire économiquement……. Aujourd’hui, leur avancé est menacée.
À créer de la plus value et du profit point.
Un productivisme social ou un productivisme du profit.
Soit le développement social ou le productivisme du profit. Trump-Macron et les autres affairistes perpétuent le productivisme du profit. La Chine et la Russie,...…..le Méta conditionnement : la mentalité du Vieux Monde semble vouloir se débarrasser des années 60, de ses promesses et de ses avancés. En France particulièrement, face aux programmes partiellement mis en place du CNR et de la cotisation (voir ses avancés). La gauche a toujours choisi des hommes de main...… les promesses de L’UE.
Maintenant, pour sauver l’humanité, il faut changer le système. Un agenda politique radicale sur les solutions à mettre en place.
Une politique d’expropriation pour le privé, avec dédommagement selon. Pas de changement de paradigme économique pas de changement, c’est tout.
Les vieilles habitudes et la zone de confort libéraliste.

28/04/2019 04:22 par alain harrison

Une revue historique intéressante :
https://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/la-gauche-en-france-depuis-1945-37934

J’ai retenu ce commentaire :
jaja 2 avril 2008 20:50
@ anny paule
"et ce n’est pas par hasard qu’Olivier Besancenot est mis en avant comme représentant potentiel d’une "gauche de gauche"... c’est parce qu’il ne fait encourir aucun danger aux pouvoirs de la droite traditionnelle."
Cette sentence mériterait d’être explicitée. Que voulez-vous dire ?
Que Besancenot soit le représentant "potentiel" "d’une gauche de gauche" n’a rien de surprenant dans la mesure où la gauche de droite (celle du PS qui accepte le capitalisme et les lois du marché) a abandonné toute contestation de ce qu’elle appelait jadis "l’exploitation capitaliste de l’homme par l’homme". Besancenot lui n’hésite pas à parler du nécessaire repartage des richesses et de l’abolition du capitalisme.
Si vous entendez que Besancenot n’est pas dangereux pour la "droite traditionnelle" car ses voix, supposées jamais assez nombreuses pour parvenir au pouvoir, mais suffisantes pour empêcher la gauche (l’autre face masquée de la droite mais non traditionnelle celle-là) d’être élue OK, reconnaissons-le, ce peut-être le calcul à courte vue de politicards de droite... Mais cela n’a et n’aura aucune importance stratégique...
Pourquoi ? Tout simplement parce que la gauche (de droite) n’arrive au pouvoir que lorsque le capital a besoin d’elle pour faire passer ses mesures anti-populaires (privatisations sous Jospin, liberté totale des capitaux, CRS contre les manifs ou les grévistes etc.) ou pour mener les guerres coloniales de la bourgeoisie (Algérie, Indochine, Irak -Guerre du Golfe, Kanaky, Afrique etc..)
Non seulement cette "gauche" n’est pas dangereuse, elle, mais de plus elle est partie intégrante du système capitaliste et elle parvient toujours (mais pour combien de temps encore ?) à tromper une partie des gens du peuple sur ses véritables intentions.
Donc à moins que vous ayez une autre explication de la non dangerosité de Besancenot pour le capital, je m’arrêterai ici.
FIN

La gauche est passé des dissentions idéologique aux dissentions polémiques ad nauseam. je dirais même plus, l’idéologie est à la lutte des classes ce que la polémique est au clientélisme. C’est pas mal généralisé en occident, c’est normal, nous sommes passés au niveau consumériste (beaucoup à perdre_ V ou F) en tout cas très instrumentalisé, et les experts doivent bien s’amuser à se contredire et nous étourdir. Le consumérisme est le stade où tout est correct, rien à changer, sauf pour une partie négligeable de la société, après tout la classe moyenne fait le peuple. Beaucoup à perdre (voyages, dernier modèle ou, resto, etc., selon les bourses).
Qui sait, 68 a été l’occasion ?
L’Algérie, le mouvement continue, le système n’a pas de prise, il n’y a pas d’organisation traditionnelle.
Si les GJ le comprennent……..
La diaspora de la gauche a intérêt, les militants (les syndiqués) ont intérêt à bien regarder l’Algérie.
Au Vénézuéla, le mouvement est au stade de l’organisation…….. ?
Cuba, je ne peux pas me prononcer, une chose est sûr, les effets de l’embargo (crime contre un peuple) font sans doute que la révolution est comme suspendue sans doute, en considérant le développement de Cuba en l’absence de l’embargo.
De même pour le Vénézuéla, dans un contexte normal d’échange économique. Haïti, la coopération internationale, et de laquelle, si elle existait au moins.
L’Algérie, en mettant dehors l’administration militaire, sera assurée que le cartel du système est bel et bien parti, et pourra le vérifier par la mise en place d’un nouveau système gouvernementale, si elle passe par la Constituante Citoyenne ?
En regard du potentiel de la France, la gauche...……..
Les militants de la gauche, les syndiqués……. ont intérêt de s’inspirer du soulèvement algérien (vont connaître leur baptême de feu ???), qui veulent rien de moins, qu’ils partent tous, même l’administration militaire. Faire le ménage, et faire autrement.
Macron et sa clique doivent partir, les faire partir, voilà la première tâche, le premier pas (c’est dans le premier pas que réside la...…).
En France vous avez à faire au système financier en direct, dans les autres pays de l’UE, à l’est, ils ont à faire à un système interposé (dictature, parti fasciste, fumeuse droite démocratique, et autres masques, qui derrière est le système financier, En UK, ils on leur reine rassurante et le parlementariste anglais. Ev France votre Ve république est en quelques sorte la version moderne du monachisme. Il serait peut-être temps...……….

28/04/2019 20:11 par alain harrison

Bonjour.

KIOSKE, intéressant sur l’Ukraine. 73%, c’est pas rien, mais l’analyse de ce vote me semble tenir debout : un vote blanc ?
En tout cas la question se pose. Après tout avec internet et les échanges d’info d’ici et d’ailleurs posent la question du changement que les peuples recherchent. Donc l’exploration d’une avenue nouvelle se pose désormais dans une bonne partie du monde. Et il y a des expertises à travers le monde (sans les nommées) qui peuvent en inspirer plus d’un peuple. La gauche a une occasion unique, je parle des gens engagés, les militants, les syndiqués qui sont en fait la base, le fondement réel de tout mouvement, syndicat et parti politique, en prendre conscience, les Algériens, les Gilets jaunes sont en bonne voie, l’un et l’autre peuvent s’inspirer, surtout les Gilets jaunes qui comparativement aux Algériens sont encore trop peu nombreux. Alors les militants, les syndicats et les organisations étudiantes ont un momentum à saisir, pas à récupérer, mais à se compléter pour une Constituante Citoyenne avec le potentiel d’organisation qu’elle représente (la FI __faire le point sur les 4 sorties entre autre__ le verra-t-elle, pas JLM qui peut servir de tribun mais ressaisi par rapport à ses dérapages__ le jeune F. Ruffin semble crédible et il n’est sans doute pas le seul*). Mais tasser les Hamons et ci.. Il ya du ménage à faire pour que la Constituante soit bel et bien le fait des Citoyens à la manoeuvre. La Constituante, en soi ,sera de l’auto-pédagogie, tant de questions à traiter……. Alors, il est bien question de changer le système, on ne fait pas une Constituante pour des pacotilles. Macron a voulu saper cette avenue, avec son grand débat (enfumage). Mais la fumé ça se voit de loin. NON OUI
* Mais c’est aux organisations citoyennes de choisir et de poser le cadre de contrôle de ses représentants.
La Constituante concerne les institutions et le militaire en fait parti.
Le nouveau pacte social, un long débat, à ne pas escamoter.
Le nouveau paradigme économique ou la case départ (le chaînon faible de l’alternative, le point fort du système.
Tout ça, ça se prépare dès maintenant……. L’auto-pédagogie, pour en finir avec les pédagogues démagogues : Sarko, Hollande et le ptit Jupiter (le sortir de l’orbite ?)

30/04/2019 05:32 par alain harrison

S’ il n’y avait pas ce trip d’égo, la gauche aurait saisi le momentum des GJ pour se rendre utile. Au lieu de ça, ils ont tout simplement tergiversé. En plus, les gens de parti qui ont pris l’initiative de dialoguer et de prendre le pouls du mouvement (rond point) ont été mis au banc de la récupération, tel ce député FI.
Mais heureusement, ce mouvement a sans doute passé le seuil de la simple prise de conscience et est conscient que le premier ennemi réside dans sa représentativité (des représentants quoi), ils ont bien sûr une forme d’organisation, des comités d’organisation qui seront sans doute alternatif (le personnel) pour éviter une concentration de représentativité (le début de la fin), et en même temps partager les rôles.
Une chose en passant, il est important que les maisons "citoyennes" voient le jour à travers le pays, et cela devrait être facilité par l’état. Cela sera possible en dégommant le gouvernement actuel et en imitant le Vénézuéla : l’ANC , l’assemblé nationale constituante française allié aux comités citoyens (une renaissance du CNR mis à niveau), et son programme comme ressource, pourquoi pas
Les comités doivent s’entourer de satellites informels pour nourrir le mouvement. Et les participants de ses satellites seront justement le bassin alternatif. Il n’y a pas de limite aux satellites. Comment endiguer ce mouvement : les solutions et la conception d’alternatives. C’est l’exploration qui peut être le moteur, et les solutions clairement identifiées (des solutions qui ont des effets synergiques bénéfiques collatéraux sur l’ensemble), qui seront les balises et le guide. Avis aux opportunistes, Oui, mais….
Einstein : un problème sans solution est un faux problème.
Ici, je pose la question.
Qu’est-ce que la démocratie directe ?

30/04/2019 11:55 par Jefresi

Merci pour cet article qui n’a rien de neuf en soi mais qui permet une fois de plus de comprendre comment la classe sociale au pouvoir, la bourgeoisie agrémentée des rebus de l’ancien régime comme la noblesse et le clergé, demande à l’un de ses pions politiques de se mettre en sourdine.

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