Vous ne dites pas qu’il s’agit d’un coup de pouce venant de Suède pour que la France puisse enfin se
réformer "en dérégulant" bien sûr ! Si ?

On aurait dû s’en douter, déjà en entendant le nom de son école (anglais), on sentait qu’il n’y avait pas de cocorico qui tenait... On va rester finalement sur notre dernier vrai prix de la Banque de Suède, Maurice Allais.

Pour ne pas faire leur jeu, il suffit d’ignorer tous ces prix débiles.
Le seul prix qui compte, c’est celui de la baguette comparé à mon salaire. Le reste c’est du pipot.
Jetez votre télé, arrêtez d’acheter libé, vous pourrez beaucoup mieux vous concentrer sur l’essentiel.

C’est la banque de Suède qui attribue le prix d’économie
Pas le comité du Nobel, c’est pas tout à fait pareil
Alors, faut pas s’étonner de ses choix de genre
Tout le monde sait que les économiste néo-libéraux sont infaillibles
Tant qu’ils sont du coté du grand capital
....Mon oncle faisait en amateur des bombes atomiques..........
....Et de tous ces personnages, il n’en est rien resté.................
....Ah, si le ridicule pouvait tuer...quel hécatombe.....................

"Jean TIROLE interpellé par François PLASSARD sur le revenu inconditionnel de base :
Il y a les modes de pensée qui consistent à « faire toujours plus, toujours mieux de la même chose, sans changer de cadre » pour gagner la guerre économique généralisée (mondialisée) qui semble être devenue la finalité sociétale ultime de tous nos partis politiques ( en espérant être celui qui meurt le dernier ! ). Pas un débat sans le bréviaire : » compétitivité (à quel coût ?), croissance (introuvable), emploi (qui devient mirage !) » pour marchandiser toutes les ressources physiques, l’espace et les temps de la vie.

Pour la troisième fois dans ce grand cycle de l’accumulation marchandisation du capitalisme de marché environ tous les 80 ans) : le même constat historique
– d’une accellération des inégalités,
– d’une surproduction en face d’un océan d’insolvabilité et de pauvreté,
– de la mutation d’une économie de la production (voire de création) en économie de la finance où l’argent engendre de l’argent qu’ Aristote appelait déjà « chrématistique » et non « économie » (oikos nomos).

L »effondrement précédent du Capitalisme de marché nous a conduit aux deux guerres de 1914 et 1940.

Je demanderais bien à notre nouveau prix Nobel Jean Tirole (théoricien de la puissance et régulation du marché) ce qu’il pense des trois petites pages ci jointes où nous avons la preuve que Franklin Roosevelt voulait en 1932 changer le cadre du Monopoly de Marché. Qui se rappelle qu’il avait obtenu 289 votes positifs de députés du Congrès (seulement 60 contre ) pour la mise en place pour tout citoyen d’un « dividende universel » ou « crédit social » (maintenant appelé Revenu Inconditionnel d ‘Existence) !
En 1932 c’était la loi « Bill Goldsborough » pour passer du monopoly de « l ‘argent dette » exclusivement créé (à partir de rien) par la Réserve fédérale (chez nous la Banque centrale européenne) pour des « initiatives privées pour le profit »afin de prélever un intérêt , à un autre type de monopoly mené progressivement par le « dividende social ». Soit apprendre à réussir sa vie (découvrir ses talents) plutôt que réussir dans la vie ! Soit éviter le basculement de la pauvreté en misère, éviter la surproduction dans la pénurie !
Hélas monsieur Tirole, connaissons la trahison du vote du peuple pour un dividende universel par le ministre des finances de F.Roosevelt Henry Morgenthau, influencé par les familles Rothschild, Rockefeller et Morgan, l’engageant à remplacer le dividende social par un New Deal de grands travaux insuffisamment créateurs d’emploi ( 6 millions) pour préférer ensuite la machine de guerre : 7 millions d’emplois de femmes créés en 3 mois pour fabriquer les bombardiers et 5 millions d »emplois de soldats pour libérer Paris (qui dit mieux ?).
Saurons nous tirer les enseignements de l’Histoire grâce à des prix Nobel plutôt que des premiers ministres soumis aux banquiers ? En 1932 il semblait qu’aucun sénateur ne connaissait le mécanisme de l’argent dette privilège des banquiers, puisqu’ils ont refusé la loi votée majoritairement au Congrès ! En serait il de même pour le revenu d’existence déjà expérimenté ailleurs ?

Le plus déprimant, Mr Tirole c’est que contrairement à 1932 avec Roosevelt, nous préférons le « chômage qui produit le chômage » (austérité), nous ne sommes même pas à envisager de New Deal, de grands petits travaux face au réchauffement climatique ! (qui par création monétaire pourrait produire de l’emploi et non de l’intérêt pour les préteurs).

Ma question Mr Jean Tirole : » Un nouvel imaginaire individuel et collectif » pourrait- il nous faire changer de cadre ( muter plutôt que changer ) avec l’instauration d’un Revenu Inconditionnel d’existence financé pour un tiers par des monnaies locales complémentaires (économie circulaire et partiellement relocalisées pour rallonger le cycle de vie des marchandises), financé pour un deuxième tiers par une simplification de la redistribution actuelle (il faut dépenser 5 euro pour donner un euro à un pauvre) , un troisième tiers par la création monétaire réappropriée par l’État comme voulait le faire Roosevelt contre son ministre des finances dans son New Deal !

Si par la magie du net vous connaissez l’accès à Jean Tirole envoyez lui ma question et ses trois pages d’annexe de preuves,
Sinon allez sur le site des trois cent jeunes motivés et lucides du MFRB (mouvement français pour un revenu de base ) et projetez leur film dans votre Utopia pour que un nouveau referendum sur le sujet puisse exister (comme celui de 2013 qui a récolté 258 000 signatures officiellement certifiées, en attendant le million)

Plassard François2Francois Plassard, agro économiste.

Ayant expérimenté de 1992 à 1996 en Rhône Alpes puis en Italie un revenu d’existence à mi temps ( 380€/mois) pour partager le travail autrement (à mi temps) et créer des richesses non monétaires à caractère social , culturelles ou écologiques. Partenariat Europe, Conseil Regional RA, Direction du travail et Université du Temps Choisi.( parrainé par Albert Jacquard )

Bande Annonce du film des Zooms Verts : http://vimeo.com/85371978

Vidéos de la 1ère Université d’été 2014
https://www.youtube.com/watch?v=LTLEYvUZM0g&list=PLkzjbW_sNXE9LK3iC_ev4NxgI3k_3IUxl

– See more at : http://www.yvesmichel.org/yves-michel/espace-economie-alternative/jean-tirole-interpelle-par-francois-plassard-sur-le-revenu-inconditionnel-de-base/comment-page-1#comment-316585"

Vu l’accueil et la pensée de la grande majorité des bons citoyens sur le revenu universel de base, tous les poncifs de propagande utilisés par les médias de masse ont fait correctement leur œuvre de fabrication d’ignorance crasse. En effet ne vous y tromper pas malgré ses dires, le bon citoyen ne souhaite pas vraiment l’éradication définitive de la misère, car comment dans tel cas se situer sur " l’échelle sociale " (encore un poncif propaganda). Le bon citoyen souhaite simplement ne jamais faire parti de cette "fange" qui le différencie d’autrui et lui fait croire à son illusoire " réussite" (sans compter ses rêves secrets de grande richesse "pour faire le bien") ... Donc pas la peine de vous époumoner sur le parfait laquais nobélisé par ses pairs et banquiers, lui voyage déjà en première. Les cafés du commerce du coin de chez vous pullulent de Tirole, les études en moins et le mot gras en plus (il n’y a qu’à tendre l’oreille). On est encore loin d’une pensée et organisation similaire à la commune de Paris. Alors que l’oligarchie elle, a déjà ses tiroirs plein d’Adolphe Tiers en herbe. Eh oui, les maîtres sont prévoyant et ont toujours un coup d’avance sur le bon citoyen. Ils ne jouent aux échecs qu’avec les blancs. C’est pour cela d’ailleurs que le bon citoyen est toujours mat ... Excepté de peau bien entendu ...
Ah ça ira, ça ira, ça ira ...

Si certains, comme moi, ont écouté l’intéressé pendant une demi-heure su France-culture et s’ils en ont tiré quelque chose, qu’ils disent ici : quoi ?

@ Dwabala
Moi ce que j’en ai tiré c’est que c’est un menteur ou un incompétent car je l’ai entendu dire que tous les pays avaient augmenté l’âge de départ à la retraite.
La Bolivie a baissé cet âge de départ à la retraite de 65 ans à 58 ans.