Julian Assange a pu quitter la prison de haute sécurité de Belmarsh où il était incarcéré depuis 2019 dans l’attente d’une éventuelle extradition vers les États-Unis. Il aurait pu y être jugé en vertu de l’Espionage Act et écoper d’une peine de 175 ans de prison. Mais un accord avec les autorités US a pu être trouvé. Le fondateur de WikiLeaks a accepté de plaider coupable de "complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale". En route pour comparaître devant un tribunal US des îles Mariannes, Assange devrait écoper d’une peine de 52 mois de prison, déjà purgée en détention préventive à Belmarsh. Après cette formalité, il pourra regagner son pays natal, l’Australie. Mobilisé depuis de nombreuses années pour la libération d’Assange, Viktor Dedaj réagit à cet ultime rebondissement. (I’A)
Dans le Contrat de législature du Nouveau Front Populaire on trouve, entre autres :
– "Agir pour la libération des otages détenus depuis les massacres terroristes du Hamas, dont nous rejetons le projet théocratique, et pour la libération des prisonniers politiques palestiniens"
suivi de
– "Permettre l’organisation d’élections libres sous contrôle international pour permettre aux Palestiniens de décider de leur destin".
Cher lecteur, voici une mise en garde : je vais me lancer dans une généralisation et vous peindre, à grands coups de pinceau, un tableau qui, vu de près, paraîtra confus mais, vu de loin, se révélera être une composition très réaliste. C’est parti.