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Thème : Guerre bactériologique

La Russie affirme avoir trouvé deux autres laboratoires militaires sur les territoires libérés du Donbass

Karine BECHET-GOLOVKO

L’avancée de l’armée russe permet de découvrir, ce qui se passait sur les territoires ukrainiens contrôlés par les forces américaines et de l’OTAN. Encore deux laboratoires militaires biologiques ont été découverts sur le territoire libéré de Lougansk, à Rubejnoe et Severodonetsk. Par ailleurs, des informations concernant l’état de santé des militaires ukrainiens montrent qu’ils ont manifestement servi de souris de laboratoire. Voyons combien de temps ce texte restera publié, sans être retiré, comme le précédent sur ces programmes étasuniens de financement des laboratoires biologiques militaires en Ukraine.

Selon des sources russes, pour l’instant discrètes, l’armée russe aurait trouvé deux laboratoires biologiques étasuniens dans les villes de Rubejnoe et de Severodonetsk, dans la région de Lougansk. Le retrait de l’armée ukrainienne ayant été rapide, il n’a pas été possible ni d’emporter, ni de détruire le contenu de ces laboratoires, mais tout a été soigneusement miné. Les représentants des forces de l’ordre sont sur place, ainsi que les experts, afin de comprendre ce qui se tramait dans ces laboratoires. Rappelons que, documents à l’appui, le ministère russe de la Défense a déclaré le 6 mars de cette année, que les EU ont dépensé plus de 200 millions de dollars pour des laboratoires militaires biologiques ukrainiens. Comme il ressort du rapport, le Pentagone et le Department of Defense Threat Reduction Administration (DTRA), ainsi que Black & Veatch (Overland Park, Kansas) et CH2M Hill (Englewood, Colorado) ont participé au programme du côté des EU, et l’Institut de recherche Kievsky Gromashevsky sur (...) Lire la suite »
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Les démocrates aux États-Unis ont utilisé les laboratoires biologiques ukrainiens pour financer leur campagne électorale.

Georges RODI

RT, 11 mai 2022. Les grandes compagnies pharmaceutiques, le Pentagone et les leaders démocrates sont impliqués dans un mécanisme de financement et de recherche secret.

Lors de son dernier Briefing sur les laboratoires biologiques, l'armée russe a déclaré que les démocrates étasuniens ont utilisé ce programme de recherche pour recueillir des fonds pour les élections. Cela en collaboration avec les Fondations dirigées par George Soros et Bill Gates et les grandes sociétés pharmaceutiques qui ont mené des recherches biologiques en Ukraine. "Il est important de souligner que les parrains de la recherche biologique militaire en Ukraine sont les leaders du Parti démocratique américain" a déclaré le lieutenant-général Igor kirillov, chef des forces russes de protection contre les menaces chimiques, nucléaires et biologiques. Kirillov a ajouté que le gouvernement des EU a non seulement mis en place un moyen de financer directement la recherche biologique militaire à partir du budget fédéral, mais qu'il a également utilisé un montage pour recueillir des fonds à travers des "ONG contrôlées par des dirigeants pro-démocrates". À titre d'exemple d'une telle organisation, (...) Lire la suite »
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Une réponse aux laboratoires biologiques et aux programmes militaires secrets des États-Unis

Vladimir PLATOV

L’expansion incontrôlée du réseau de laboratoires biologiques militaires secrets américains le long des frontières russes est un sujet de préoccupation non seulement pour Moscou mais aussi pour de nombreuses républiques post-soviétiques et la communauté internationale. À ce jour, les États-Unis ont créé une véritable toile d’araignée de laboratoires biologiques secrets dans le monde entier. Depuis 1997, le Pentagone a entraîné dans ce programme plus de 30 pays comme partenaires de cette « initiative » étasunienne. Sans compter les 400 installations situées sur le territoire des États-Unis qui sont également impliquées dans un travail sur des agents pathogènes.

Divers virus et bactéries sont capables non seulement de tuer des civils, mais aussi de provoquer la panique et des conséquences économiques désastreuses. L’utilisation constante de ces « troupes invisibles » peut miner n’importe quel pays, même un pays puissant. L’utilisation d’agents pathogènes devient donc un superbe outil de sabotage. Et les États-Unis semblent l’avoir parfaitement compris. En fait, personne ne suit les traces de l’unité japonaise 731 en essayant de larguer des bombes en céramique remplies de puces, car dans le monde moderne, le travail avec les vecteurs pathogènes locaux est au premier plan. Les moustiques, les mouches et autres insectes ne reconnaissent pas les frontières des États et sont capables d’apporter en Russie ou en Chine, pays officiellement désignés par Washington comme « les principaux adversaires des États-Unis », des souches de virus et de bactéries particulièrement dangereuses. Le refus de Washington de soutenir la création d’un mécanisme de vérification dans le cadre (...) Lire la suite »

Histoire secrète de l’expérimentation humaine aux États-Unis

Cogiito
1931 LE DR CORNELIUS RHOADS, SOUS LES AUSPICES DU ROCKEFELLER INSTITUTE FOR MEDICAL INVESTIGATIONS, INFECTE DES SUJETS HUMAINS AVEC DES CELLULES CANCÉREUSES. Il a ensuite créé les installations de guerre biologique de l’armée des EU dans le Maryland, l’Utah et le Panama, et est nommé membre de la Commission de l’énergie atomique des États-Unis. Là-bas, il commence une série d’expériences d’exposition aux radiations sur des soldats étasuniens et des patients hospitalisés civils. 1932 Début de l’étude sur la syphilis de Tuskegee. 200 hommes noirs diagnostiqués avec la syphilis ne sont jamais informés de leur maladie, se voient refuser un traitement et sont à la place utilisés comme cobayes humains afin de suivre la progression et les symptômes de la maladie. ILS MEURENT TOUS PAR LA SUITE DE LA SYPHILIS, LEURS FAMILLES N’ONT JAMAIS SU QU’ILS AURAIENT PU ÊTRE SOIGNÉS. 1935 L’INCIDENT DE LA PELLAGRE. Après que des millions d’individus meurent de la pellagre (La pellagre est une maladie due à la (...) Lire la suite »
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Un avant-goût des horreurs d’une guerre bactériologique.

Eric MARGOLIS
Le monde est malade d’avoir été contaminé au COVID -19. Les Américains du Nord et les Européens sont aujourd’hui aussi horrifiés que les Chinois par ce tueur invisible qui a mis leurs hôpitaux en état de siège. Ils peuvent ainsi apprécier un avant-goût sinistre de ce que pourrait représenter une guerre bactériologique. Ceux qui ne sont pas terrés dans leurs foyers pourraient être amusés d’apprendre que quelques-uns de leurs gouvernements produisent à la chaîne quelques agents chimiques et bactériologiques hautement toxiques dans des usines secrètes. Mais assurément, n'est-ce pas, nos innocentes démocraties blanches comme neige ne s'abaisseront pas à produire des gaz toxiques et des microbes ? En 1990-91, j’étais cantonné à Bagdad afin de couvrir la première Guerre du Golfe. Les EU menaçaient d’attaquer l’Irak car il osait envahir les puits de pétrole du Koweït, le Koweït qui était connu pour être une partie de l’Irak qui avait été « détachée » de celui-ci par l’Empire Britannique. Au même moment, la Guerre (...) Lire la suite »

Manipulations génétiques, chauve-souris et armes biologiques …

Whitney WEBB

Des expériences récentes de la DARPA augmentent les préoccupations en cas d’évolution du coronavirus. Le point sur les recherches mondiales dans la guerre bactériologique. La DARPA a dépensé des millions récemment pour la recherche sur les chauve-souris et les coronavirus, ainsi que pour des manipulations génétiques « d’armes biologiques » avant la récente évolution du coronavirus. Maintenant, des « alliés stratégiques » de l’agence ont été choisis pour développer un vaccin à base de matériaux génétiques pour mettre fin à l’épidémie potentielle.

Le 30 janvier 2020 − Au cours des dernières semaines, l’inquiétude suscitée par l’émergence d’un nouveau coronavirus en Chine a augmenté de façon exponentielle alors que les médias, les experts et les représentants des gouvernements du monde entier craignent ouvertement que cette nouvelle maladie ait le potentiel de se transformer en pandémie mondiale. Au fur et à mesure que les inquiétudes concernant l’avenir de l’épidémie en cours se sont accrues, le nombre de théories, spéculant sur l’origine de l’épidémie a également augmenté, dont bon nombre blâment divers acteurs étatiques et / ou milliardaires controversés. Cela a inévitablement conduit à des efforts pour réprimer la « désinformation » liée à l’épidémie de coronavirus, à la fois dans les médias grand public et les principales plateformes de réseaux sociaux. Cependant, alors que bon nombre de ces théories sont clairement spéculatives, il existe également des preuves vérifiables concernant l’intérêt récent d’une agence gouvernementale américaine controversée pour (...) Lire la suite »

Les États-Unis et les armes bactériologiques…

Moon of Alabama

Le 6 octobre 2018 …des scientifiques tirent la sonnette d’alarme au sujet du programme d’armes bactériologiques étatsunien. Des preuves récentes d’essais de substances biologiques létales à Tbilissi, en Géorgie, ont suscité l’inquiétude au sujet de la recherche américaine sur les armes biologiques dans certains pays étrangers. Des scientifiques européens sont extrêmement préoccupés par un douteux programme de recherche, financé par le Pentagone, qui semble destiné à propager des maladies aux cultures, aux animaux et aux humains à l’étranger. La création de telles armes et des moyens spéciaux de les distribuer est interdite par le droit national et international.

Les États-Unis mènent des recherches sur les armes biologiques dans le monde entier : Des scientifiques de la guerre biologique utilisant la couverture diplomatique testent des virus d’origine humaine dans des laboratoires biologiques du Pentagone, disséminés dans 25 pays à travers le monde. Ces biolaboratoires étasuniens sont financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) dans le cadre d’un programme militaire de 2,1 milliards de dollars – Cooperative Biological Engagement Program (CBEP), et sont situés dans des pays de l’ex-Union soviétique comme la Géorgie et l’Ukraine, le Moyen-Orient, le Sud-Est asiatique et l’Afrique. Jusqu’au milieu des années soixante-dix, l’armée des EU a testé des armes de guerre biologique sur la population étasunienne, parfois à grande échelle et sur des races spécifiques. Après qu’une enquête du Congrès eut révélé l’ampleur du programme, de tels tests ont été transférés à l’étranger. Des entreprises privées utilisent des laboratoires contrôlés par le gouvernement des (...) Lire la suite »