A deux ans (2012) d’une échéance électorale, qui n’a en vérité que peu de sens, (supprimez la fonction de Président de la République, vous verrez qu’il ne se passera... rien !), mais qui est présentée au « bon peuple » comme la quintessence de la démocratie, tout ce que le système dispose de moyens d’information, de faiseurs d’opinions, de piétaille politicienne,... se mobile pour conditionner l’opinion publique.
Il faut qu’à l’échéance fatidique les « esprits » soient disponibles pour (…)