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Par où commencer ?

Par où commencer ?

L’Empire, comprenez « le leadership étasunien » ses vassaux occidentaux et leurs satellites, les inconditionnels de la doctrine dominante, seront confrontés (de toutes manières) "au reste du monde" - les "B.R.I.C." sont pour le moment maintenu fermement à l’écart, mais de très probables liens croisées sont et seront activés (malgré d’inévitables "intérêts contradictoires", notamment ceux liés à la concurrence sur le marché des ressources naturelles ou celui de l’énergie, etc.,) de plus, vous connaissez l’adage, « l’Union fait la force ! » - .

D’autre part, les peuples agressés subissent de plein fouet la sauvagerie "civilisatrice" au nom d’une certaine vision de la liberté (voler la terre des autochtones, piller les richesses nationales des pays sous le joug des néo-colonialistes inavoués, ou tuer sans sourciller toutes celles et tous ceux qui oseraient résister à leurs exactions), et de la démocratie (privatisée par le personnel politique au profit d’une élite), les prétextes ne manqueront évidemment pas, il suffit de piocher dans le sac des fausses- justifications, et pour ne citer que les plus usités, par exemple des raisons "humanitaires", ou *l’évitement supposé de "massacres" de populations civiles (les casques bleus ont laissé faire en Côte d’Ivoire lorsque des milices de tueurs fous s’acharnèrent sur une population civile sans défense - si chères aux chevaliers occidentaux et en particulier à monsieur Ban Ki-Moon, chef de l’ONU -, où les hommes furent particulièrement visés, y compris des garçonnets d’à peine cinq ans !), la communauté internationale - comprenez les pays occidentaux - laisse faire au Yémen, au Bahreïn, en Arabie saoudite et plus généralement au sein des monarchies du Golf, etc. (*nous savons que les Etats-Unis ont des intérêts vitaux dans la région - l’une de leur base est la plus importante du continent - et sauvegarder les monarchies pétrolières), un constat sans appel au vu des résultats particulièrement désastreux pour les populations civiles - le chaos, la misère et la mort à tous les étages -, suite aux interventions militaires occidentales.

Après cela, comment peut-on prétendre sauver des populations civiles de désastre - humanitaire et autres - à coup de canons, de bombardements (soi-disant ciblés) ou d’autres exactions - dont les viols massifs de femmes et de jeunes filles ou de pillages systématiques - , sans être convaincu du contraire ?

* Lors d’une allocution télévisée en direct, le dirigeant étasunien, Obama, a aussi reconnu qu’une transition démocratique en Libye serait une "tâche difficile" et a mis en garde ses compatriotes contre une réédition des "erreurs" commises par son pays en Irak.

(il oublie de mentionner l’Afghanistan, le Pakistan et un soutien logistique sans faille aux dictateurs amis de l’Amérique, " pays de la liberté ! " )

 "Conscients des risques et des coûts d’une action militaire, nous sommes naturellement réticents à faire usage de la force pour résoudre les problèmes mondiaux. Mais quand nos intérêts et nos valeurs sont menacés, nous avons la responsabilité d’agir", a déclaré Obama lors de cette allocution depuis l’Université de Défense nationale à Washington.

(le cynisme de cette phrase dépasse l’entendement… Est-ce de la " Novlangue" ?)

 "C’est ce qui est arrivé en Libye", a-t-il ajouté, soulignant que "depuis des générations, les Etats-Unis jouent un rôle unique de point d’ancrage de la sécurité mondiale et de défenseurs de la liberté".

(un rôle unique en effet…, le monde va de mieux en mieux depuis que les Etats-Unis sont LE point d’ancrage de LA sécurité mondiale et défenseurs de LA Liberté, made in USA !)

 "En tout juste un mois, les Etats-Unis et leurs partenaires internationaux ont mobilisé une large coalition, obtenu un mandat international pour protéger les civils, arrêté une armée en marche, empêché un massacre, établi une zone d’exclusion aérienne", a-t-il souligné.

(c’est tout l’art de la propagande, faire croire tout et le contraire. L’Angleterre et la France se plaignent d’être bien seules pour donner des leçons de démocratie à coup de bombes et d’assassinats ciblés au peuple libyen. Les partenaires internationaux, sont les mêmes voyous qui opèrent en Irak ou en Afghanistan, toujours dans un soucis de Liberté de démocratie et pour éviter des massacres de populations civiles, comme au Rwanda , en 1994, où la France fut accusée (selon un rapport rwandais) d’avoir participé au massacre ..).

 "Certains pays peuvent faire la sourde oreille aux atrocités dans d’autres pays. Les Etats-Unis sont différents. En tant que président, j’ai refusé de voir des images de massacres et de charniers avant d’agir", a-t-il plaidé.

(curieusement, le président Obama refuse de voir les images de massacres et de charniers, alors qu’aucun support médiatique n’ a pu fournir de preuves contradictoires à ce jour ! D’un côté, ils interviennent pour éviter un massacre de population civile, de l’autre il refuse de voir les images de massacres et de charniers que l’intervention « d’une large coalition internationale » à soi-disant éviter. Y’a qué’que chose qui cloche la’dans ?)

 Mais le président est resté fidèle à la ligne énoncée depuis le début du conflit, affirmant qu’il n’était pas question d’outrepasser le mandat de l’ONU pour chercher à renverser le dirigeant libyen par la force.

(Nous sommes totalement rassurés ! les Etats-Unis vous envoyés des drones surarmés sur Libye, des troupes au sol sont déjà opérationnelles de puis le début de ce conflit, et Obama s’engage à respecter fidèlement l’énoncé du mandat onusien, 1973, en précisant ne pas outrepasser ledit mandat, pour renverser le dirigeant libyen par la force.
C’est pas ce qui dit le mandat onusien, 1973 ! Celui-ci autorise la création d’une zone d’exclusion aérienne (le blocus maritime a été ajouté au dispositif militaire en place) « par tous les moyens appropriés » (???) pour éviter le soi-disant massacre de population civil. Le reste, est pure spéculation interprétative de la résolution onusienne,1973. )

Tout le monde a en tête cette formule particulièrement débile, *« Faire la guerre, c’est faire de la politique autrement ! ».

Cette *stratégie guerrière de l’impérialisme (décadent, mais malheureusement encore…) conquérant est la "marque de fabrique" du camp occidental, (bien qu’il faille apporter un sacré bémol dans l’autre camp, notamment en ce qui concerne certains pays dont « le principal moteur de l’économie mondiale », la Chine, qui ne se fait pas prier lorsqu’il s’agit de réprimer ou d’écraser la moindre révolte populaire ou de tuer la plus petite contestation (même diffuse), à coup d’emprisonnements, de balles réelles et de chars…), qui impliquera inévitablement de nouveaux rapports de force qui se profile déjà à l’horizon de la seconde décennie de ce millénaire (la décadence de Empire et de ses vassaux enclenchera quasi automatiquement une opposition frontale avec les puissances montantes - le reste du monde, c-à -d, à peu près les deux tiers de l’humanité - ) camp apparemment plus faible militairement - rien n’est moins sûr puisqu’il s’agit de pure propagande occidentale - (sauf si des alliances secrètes s’opéraient au sein même des puissances montantes) pour aboutir à un rééquilibrage géostratégique mondial conséquemment plus fragile, et, ô affront suprême, une opposition ouverte à l’hégémonie et aux diktats de l’Empire déclinant.

* Cette donne est liée à la nature consubstantielle de l’impérialisme qui ne peut y échapper sans dévoyer ou remettre en cause les prérogatives du leadership mondial. L’Empire et ses vassaux, confrontés au forces montantes, qui, à tout moment pourraient remettre en cause les règles constitutives du rapport de force mondial (version « communauté internationale », puisqu’aucune instance réellement internationale ne les a entériné) - ces règles sont imposées « au reste du monde » par l’Empire et ses vassaux en créant et en alimentant des conflits sans fin (2) hors des frontières de l’Empire, mais aussi proche que possible de frontières des puissances montantes (Chine, Russie, Inde, etc.) - et pire que tout, contester l’hégémonie impériale.

Il n’est que de se remémorer ces paradigmes stupides : « le ticket "gagnant-gagnant" », « La guerre totale, de tous contre tous » - tels l’Angleterre, la France, le Canada, l’Australie et quelques pays nordiques européens, pour en être convaincu.

Le roi des menteurs déclare la guerre au peuple français !

Pourquoi, le « va-t-en guerre » sarkozy, s’est-il entêté à entraîner les alliés de la France dans cette galère légale mais illégitime ?

Les Etats-Unis ont longuement hésités avant de céder aux injonctions du matamore français, ils doivent déjà "entretenir" trois conflits majeurs armés en plus de deux voire trois conflits plus ou moins larvés, ça commence à faire beaucoup pour le « leadership mondial », même surarmé… (1)

N’en doutons pas, qu’il s’agisse de la Côte d’Ivoire ou de la Libye - comme le déclarait il y a peu Maître Vergès, le chaos ne fait que commencer car les Français (il faut lire sarkozy, puisqu’il décide de tout et toujours seul, la représentation nationale il s’en moque éperdument croyant incarner la mosaïque du peuple français) rencontrerons rapidement quelques difficultés, entre-autre, celle de "vendre" aux pays africains une énième guerre coloniale qui ne dit pas son nom (les militaires français de la force « Licorne », si prompte à faire le coup de feu démocratique, devront changer de casquette pour se substituer (pardon, conseiller) les corps de police et de gendarmerie très défaillants et totalement désorganisés grâce l’intervention de nos forces dans le conflit ivoirien, et essayer de maintenir un semblant d’ordre sur tout le territoire… c’est pas gagné ! Ingérence néo-coloniale quand tu nous tiens !)

sarkozy aime bien humilier, c’est plus fort que lui !

D’aucun pense que grâce à ce grossier stratagème, il tenterait de faire oublier une kyrielle de fiascos à répétitions et de scandales qui se sont gravement accumulés (pas seulement la bérézina économique ou le "Waterloo" social), pour se présenter à nouveau à l’élection présidentielle.

Il ne manque pas d’air le coco.

Près de 80 % des Françaises et des français le détestent (pour ne pas dire plus), la France vit dans un bordel indescriptible, que se soit en matière de Justice, de Sécurité (j’écris bien Sécurité (logement, prestations sociales, revenus, etc.) et non « sécuritaire » qui est l’exact opposé (privation de droits, restriction de libertés, précarité en tous genres, etc.), ou l’Hôpital Public, l’Education Nationale, la Recherche fondamentale, etc., etc., (la liste serait beaucoup trop longue pour la "caser" dans un seul article), dans toutes ces administrations publiques règnent un bordel sans nom, et il ose se présenter à nouveau devant le peuple français, il est fou ou quoi ?

Remenber : il a copieusement méprisé et humilié le peuple français - pour de soi-disant raisons idéologiques alors que tout le monde (ou presque) avait compris qu’il s’agissait d’un bras de fer personnel entre lui et « le peuple de gauche » (une vengeance en quelque sorte, suite aux déconvenues électorales successives. Ce monsieur n’aime pas perdre !), alors que le conflit pour le maintien des retraites par répartition dépassait largement les clivages partisans habituels (communément désignés par « familles politiques ») car un peu plus de 70 % avouait se sentir concerné et impliqué dans ce conflit majeur. Ce monsieur avait des impératifs contre-réformistes, et celui de la contre-réforme des retraites devait "ouvrir" le passage d’un convoi de contre-réformes autrement plus anti-sociales que celles des retraites par répartitions (son demi-frère à l’affût derrière un conglomérat ad hoc d’assurances privées devait profiter de l’aubaine ourdie par le chef de clan en personne pour se goinfrer… mais son coup a manqué, et il fut fort heureusement retoqué ! ) Il en faisait une affaire personnelle et n’hésitait dans les dîners en ville, en comités restreints, de s’en vanter auprès d’amis sûrs (certainement les futurs bénéficiaires de ses contre-réformes) ainsi qu’auprès des membres du Medef, à qui il se gaussait sans retenue d’imposer une volonté de "fer" « au peuple de gauche ». Ce dénie de réalité était doublé d’un mépris sans borne pour le peuple français, car - et bien au-delà du clivage gauche-droite - le peuple dans sa grande majorité soutenait activement cette lutte.

Il ne changera jamais !

Comment ose-t-il croire que le peuple français ait pu oublier une telle humiliation ? Pense-t-il sérieusement qu’il ait si peu de mémoire pour oublier l’affront ?

Faut-il si peu de conscience et de dignité pour oser croire qu’un menteur sans vergogne, psychorigide de surcroît, puisse duper à nouveau le peuple français avec de minables coups de "j’arnaque" et emporter le morceau… sarkozy incarne le comble du mépris !

sarkozy ne sera pas présent au second tour de l’élection présidentielle de 2012

Non seulement, sarkozy, ne sera très probablement pas présent au second tour de l’élection présidentielle de 2012, mais dès que les caciques de son camp auront l’intime conviction qu’il est fini, grillé (comme il aime à le croire de ses adversaires), la peur de tout perdre - prébendes républicaines et autres fromages "démocratiques" - sera plus forte que tout et emportera les dernières traces de réticence ou de culpabilité, si toutefois ils en avaient.

Ils ne manqueront pas de le piétiner et de le trahir promptement (toute honte (???) bue) tout comme sarkozy aime le faire subir à ses "amis" politiques, tout particulièrement au temps où on le surnommait « l’homme qui trahit plus vite que son ombre », et ce ne sera que justice !

Entraîné la France dans des merdiers à répétitions, la piller méticuleusement au profit des membres de son clan et de quelques amis profiteurs (les Bolloré, Pinault, Dassault, le fils du père Lagardère ou Bouygues, et bien d’autres charognards encore, la liste serait - là aussi - trop longue pour un seul article).

L’abstention massive fera la différence !

La fille du père, Le Pen, sait que le pire ennemi du FN, c’est la clique sarkosienne et ses affiliés (ils ont quasiment le même programme), que les centristes (du moins ceux qui se font passer pour tels) c’est le désert de Gobi en plus désertique (certain dirait que c’est « l’Arlésienne », mais dans le désert de Gobi rien ne pousse pas même l’ombre d’un centriste), la gauche (du moins celle que l’on dénomme ainsi, PS et consorts…) à de grande chance de "bénéficier" l’effet de répulsion qu’inspire le matamore sarkozy, ce qui ne signifie aucunement une adhésion franche et massive pour le candidat du PS, mais un pis aller…

* c’est répandre consciencieusement le malheur, la désolation et la misère dans le monde, au profit d’envahisseurs sans scrupule (il est vrai que d’autres opèrent beaucoup plus discrètement et sans effusion de sang, pillant systématiquement les pays piégés par leur dette nationale et entre les griffes du FMI de l’OMC via la mondialisation financière), qui, n’ont doutons pas un instant, profitent/et profiterons paisiblement de leurs forfaits, loin, bien loin des foyers de guerre qu’ils auront méthodiquement allumés, tout en évoquant devant un parterre de bons citoyens - l’arme à l’oeil et quelques trémolos dans la voix - « un monde plus juste » et « toujours plus libre ».

Ce monde pourri on n’en veut pas, qu’ils se le garde pour eux, et qu’ils nous fichent définitivement la paix !

Si Obama, Cameron, sarkozy/B-H Lévy et consorts veulent faire la guerre, qu’ils ne se gênent pas et s’emparent prestement de fusils et qu’ils aillent - avec leur peau et leur sang - faire la "guéguerre" au monde entier s’ils le veulent…

Qu’ils dégagent et nous laissent vivre tranquillement en paix !

NON A LA GUERRE !

NOTES

1) des choses ont été dévoilées sur le sujet et les plus pertinentes admettent que des commandos spéciaux ont opérés directement (et secrètement) en Libye, peu avant la déclaration officielle des hostilités, afin de guider au sol la cible des missiles alliés - majoritairement étasuniens et bourrés d’uranium appauvri - (puces, laser et autres procédés du même genre) pour éliminer les objectifs (humains et matériels) du commandement libyen. A ce jour ils parlent d’officialiser ces commandos spéciaux au sol (représentés essentiellement par trois pays, les Etats-Unis, l’Angleterre et la France) . Et une escalade, une !

2) la méthode est maintenant bien rodée. D’abord, ils choisissent un pays plus ou moins isolé diplomatiquement et politiquement sur le plan international - pour éviter de possibles conséquences néfastes pour les prédateurs (on dit aussi la « communauté internationale » pour « voyoucratie internationale », ça en jette et ça réduit les velléités de vengeance) on n’est jamais trop prudent. La proie doit être rentable ( sous-sol riche en minerais ou en ressources naturelles, pétrole etc. Le top en la matière, c’est d’occuper une terre en chassant les autochtones - si ceux-ci se rebiffent, les tuer sans aucune pitié, mais si malheureusement ils s’avéraient beaucoup trop nombreux (pour éviter l’accusation de génocide ethnique), il faudrait se résoudre à les emprisonner en évoquant la défense et la sécurité territoriale, le veto américain couvrira toutes ces exactions -, d’y installer ses propres colonies, d’exploiter le sol et ses ressources naturelles, l’eau etc. ), et le peuple divisé en tribus ou en ethnies multiples sera fort apprécié. l’Afrique s’avère (malheureusement) le terrain idéal pour l’envahissement des pays visés par les membres de la « communauté internationale », sous mandat onusien bien entendu, (toujours la même trilogie occidentale : les Etats-Unis en tête, appuyés de ses complices, l’Angleterre et la France), et dans un proche avenir nous assisterons impuissant (si nous ne faisons rien pour stopper cette folie meurtrière) à l’invasion systématique de tel ou tel pays africains, pour soi-disant virer un dictateur local (qui aura fait son temps et rendu bien des services malgré tout), ou pour sauvegarder la population civile d’un massacre éminent (comme récemment en Côte d’Ivoire…), mais au fait, qui fournit les armes et les munitions aux belligérants avec lesquelles ils s’entretuent et massacrent les populations civiles si consciemment ? Qui détient les créances de ces pays endettés jusqu’au coup ? Le beurre et l’argent du beurre, ça vous rappelle rien ?

Conclusion provisoire : la crise (quelle crise ?) et ses conséquences directes ou indirectes, n’a pas fini de semer la désolation dans nos foyers, car comme chacun sait, rien, ou quasiment rien n’a été fait pour modifier les causes qui provoquèrent le désastre social et les tragédies humaines (nos dirigeants n’ont rien en magasin pour changer ce foutu système, du moins un système inégalitaire qui tienne encore la route un certain temps. Alors, plutôt que de tout perdre, ils préfèrent tenir en collant de bonnes grosses rustines sur le bousin en croisant les doigts pour que tout ça tienne le coup, ou du moins que ça ne foire pas trop vite !). Les banques ont été largement renflouées (pour soi-disant éviter *l’effondrement du système), et les pauvres péquins que nous sommes, payons sans trop rechigner pour l’instant ; « There is not alternative ! » soi-disant, on verra bien, mais il semblerait que cette affaire craque de partout… Est-ce bien normal tout ça ?

* si mes souvenirs sont exacts (et ils le sont…), ce système est basé sur la CONFIANCE ; apparemment tout laisse croire que les banquiers et les spéculateurs ont à peu (beaucoup ?) repris du poil de la bête, et ont retrouvé une certaine CONFIANCE (on devrait plutôt parler de « capacité de nuisance »), mais le peuple, lui qui a si largement contribué au renflouement de cette foireuse affaire, a grandement été grugé et doublement floué ! (en remboursant la dette et en se serrant la ceinture) D’ailleurs, à ce sujet, il semblerait qu’il n’ait plus du tout confiance dans le personnel politique, et encore moins dans les banquiers et leurs complices, les spéculateurs. Aussi, il est à peu près certains que le prix à payer par tous ces charognards n’a été que très momentanément et très provisoirement différé, la suite leur prouvera qu’ils avaient tort de se croire tirer d’affaire et d’afficher une telle insolence !

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