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Notre dieu grec

Macronos

Chez les grecs il est un dieu des origines qui s’appelle Cronos ( à ne pas confondre avec Chronos dieu du temps).

Le plus jeune des Titans, il met fin à la première génération des dieux en tranchant les testicules de son père. Pour ne pas être détrôné à son tour par sa progéniture, suivant les prédictions de ses parents, il dévore ses propres enfants dès leur naissance. Rhéa à la fois sa sœur et son épouse s’enfuit en Crète pour accoucher de Zeus ( Jupiter chez les romains).

A la place de Zeus Rhéa donne à Cronos une pierre à manger.

Adulte, Zeus administre à son père une drogue qui lui fait restituer tous les enfants engloutis et, avec leur aide il enchaîne Cronos , l’émascule et ouvre l’ère de la deuxième génération des dieux.

Cronos est le souverain incapable de s’adapter à l’évolution de la vie et de la société.Sans doute veut-il le bonheur de ses sujets et la paix d’un âge d’or : mais c’est lui seul qui gouverne, il rejette toute idée de succession, il ne conçoit pas d’autre société que la sienne.

Pour se transformer , le monde doit se révolter et Cronos, ou est émasculé par son fils, ou s’en retourne au ciel. Autrement dit, ou il est expulsé, ou il refuse de servir un autre ordre que celui qu’il a conçu et voulu. C’est l’image même du conservatisme aveugle et obstiné.
...
(IN : Dictionnaire des symboles)

Alors ce portrait m’a fait penser à un autre dieu plus actuel.

On peut ainsi comprendre maintenant pourquoi notre Macronos n’a pas d’enfant et ne veux surtout pas que la société lui en fasse dans le dos et se révolte !

Alors Jupiter ou Macronos ?

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« Marine Le Pen amène le pire » (*)
Maxime VIVAS, Frédéric VIVAS
(*) Anagramme imparfaite cueillie sur Internet. Ce livre (publié par les éditions Golias) est une compilation de documents révélateurs de l’analogie entre le FN d’hier et celui d’aujourd’hui. Y sont démontrées la difficulté pour Marine Le Pen, malgré les habiletés tribuniciennes, à se dépouiller des oripeaux paternels les plus exécrables, la distorsion entre le discours du FN ripoliné et son programme, entre son programme et ses objectifs. Sont mis en relief le fiasco du FN dans les (…)
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"De toutes les ironies exprimées par la politique étrangère américaine, notre position vis-à -vis de Cuba est la plus paradoxale. Une forte dégradation de la situation économique a provoqué une poussée du nombre de Cubains entrant illégalement aux Etats-Unis.

Nous faisons tout ce que nous pouvons pour détériorer la situation économique et ainsi accroître le flux. Nous encourageons également cet exode en accordant aux Cubains, qui arrivent illégalement ou qui s’approchent par voie de mer, un statut de résident et une assistance pour s’installer.

Dans le même temps, nous n’avons pas respecté les quotas de visas pour les Cubains désireux d’immigrer aux Etats-Unis [...] quand Castro tente d’empêcher des cubains malheureux de quitter leur pays infortuné, nous l’accusons de violer des droits de l’homme. Mais quand il menace d’ouvrir grand les portes si nous continuons à accueillir sans limites des cubains sans visas - y compris ceux qui ont commis des actes de violence pour aboutir à leurs fins - nous brandissons des menaces imprécises mais aux conséquences terribles. "

Jay Taylor, responsable de la section des intérêts américains à Cuba entre 1987 et 1990, in "Playing into Castro’s hands", the Guardian, Londres, 9 août 1994.

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